Après deux ans de pandémie, nous sommes en mesure d’exploiter les statistiques officielles de décès de l’INSEE pour estimer l’impact du covid et de la vaccination.
Par Eric L. – Après deux ans de pandémie, nous sommes en mesure d’exploiter les statistiques officielles de décès de l’INSEE pour estimer l’impact du covid et de la vaccination. Il y a deux camps sur l’impact de la vaccination: ceux qui disent que les effets secondaires sont massifs et ceux qui disent qu’ils n’existent pas. Qu’en est -il sur la mortalité? L’INSEE publie des statistiques des décès individuels chaque mois. Il est donc possible de les étudier dans le détail.
Impact du covid
Nous avons été confinés à mi Mars 2020 pour éviter une catastrophe. Voyons l’impact du virus et du confinement sur la mortalité en comparant 2018 et 2019 à 2020 et 2021.
Pour les 11 à 18 ans, on constate une baisse de la mortalité due à la réduction de la circulation automobile :
Pour les 18 à 30 ans, l’impact est presque nul :
Pour les 30 à 50 ans également :
Pour les 50 à 60 ans également :
On constate même que la mortalité de 2018 était supérieure ! Confiner la force de travail était tout simplement totalement inutile !
Pour les plus de 60 ans, on constate une mortalité supérieure en 2020 mais relativement peu flagrante :
Qualifier le covid de pandémie catastrophique parait donc, à regarder les données réelles massifiées de décès, assez discutable. Il y a eu moins de morts en plein pic en Mars 2021 qu’en Mars 2018 !
Les données sont identiques pour Avril 2020 et 2021, sauf pour les 50-60 ou on observe une petite surmortalité.
Impact de la vaccination
La vaccination a commencé en Janvier 2021 et n’a concerné les jeunes qu’à partir de Juillet « grâce » au discours du président.
Voyons tout d’abord comment la vaccination a réduit la mortalité chez les plus de 60 ans en Décembre 2021 par rapport à 2020 :
L’impact, malgré 90 % de vaccination à jour, est pratiquement invisible. On peut donc douter du chiffre de 95 % d’efficacité alors que les variants du deuxième semestre 2021 étaient nettement moins dangereux. Bien sûr, les chiffres varient beaucoup d’un mois à l’autre.
Voyons maintenant chez les 11 à 18 ans :
La mortalité apparait inchangée.
Chez les 18 à 30 ans :
On a une augmentation incontestable de 10 %.
Chez les 30 à 50 ans :
La mortalité apparait inchangée.
Il n’y a une surmortalité que dans la tranche de 18 à 30 ans, dont font partie les sportifs. Il est difficile de conclure sans avoir le détail par origine du decès dont nous ne disposons pas. La recherche des effets secondaires à court terme devrait se concentrer sur des populations réalisant des efforts extrêmes.
Il n’y a pas en France à ce stade d’augmentation massive de la mortalité due aux vaccins, mais une présomption sur certaines populations.
Et une petite chose encore…
Pour la plaisir, nous avons souhaité, toujours à partir de données officielles, d’établir la corrélation par pays entre la mortalité covid et la vaccination. Tous les chiffres ci-dessous :
Les chiffres sont à prendre avec précaution, étant tous largement sujet à caution.
Mais il est évident que l’obésité est un facteur décisif de mortalité.
La liaison entre taux de vaccination et mortalité est positive, c’est-à-dire que plus un pays vaccine plus il a de morts covid ! Ce n’est pas une preuve, mais on aurait quand même attendu l’inverse.
L’âge de la population ne semble par contre pas être important, ce qui est intéressant !
On peut enfin noter que ceux qui argumentent que la Suède a eu une surmortalité par rapport au Danemark devrait intégrer que le Danemark, pour des raisons que nous ne détaillerons pas, a deux fois moins d’obèses que la Suède.
Conclusions
- Il n’y a presque pas de surmortalité en 2020 / 2021 sur les moins de 60 ans. Les confiner était une grossière erreur.
- La surmortalité chez les jeunes post vaccination n’est visible que dans la tranche 20-30 ans. Des études sont nécessaires pour comprendre ce fait. A ce stade en France on ne peut pas observer un danger massif lié à l’injection, ce qui est logique puisque les effets secondaires se déclarent en moyenne 4 ans après l’administration des traitements. Nous sommes à peine en moyenne à 7 mois !
- L’obésité apparait comme un facteur principal de risque de décès.
- Le taux de vaccination a un impact négatif sur la mortalité.
A quoi ont servi toutes les mesures liberticides dont on ne voit aucun impact dans les données de décès ?!
Source : ns2017
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