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Ceux qui avaient suivi les derniers jours de la chaîne Youtube de l’humoriste Dieudonné, en juin 2020, se rappelleront que sa fermeture avait été précédée d’une chute brutale de son audience affichée… La censure s’était également abattue peu de temps après sur la page Facebook de l’humoriste. « Le « Mur » de la Page Facebook de Dieudonné M’Bala M’Bala est enfin tombé. C’est pour nous une grande victoire et l’aboutissement d’un long combat. L’air est plus respirable ce matin sur les réseaux sociaux. Un antisémite a cessé d’émettre ! », s’était alors publiquement réjoui le puissant lobby sioniste qu’est la Licra… Nous craignons que la chaîne de l’IHU Marseille ne soit aujourd’hui victime du même syndrome annonciateur d’une future censure, bien que Didier Raoult ne se soit jamais aventuré sur le périlleux terrain de l’antisionisme…
Le 2 février 2022 à 7 h 56, soit moins de 24 heures après sa sortie, la vidéo mise en ligne le 1er février par Didier Raoult avait déjà été visionnée plus d’un demi million de fois… Le 6 février à 16 h 29, soit plus de 5 jours après sa sortie, le compteur de vues avait très nettement ralenti et affichait désormais à peine plus d’un million de vues… Si nous n’avons pas de preuve irréfutable de triche, la baisse brutale de l’audience des vidéos du professeur Didier Raoult observée au cours des deux dernières semaines écoulées, alors même qu’il n’a jamais aussi peu mâché ses mots et que le nombre d’abonnés s’est accru, ne peut qu’entretenir un très fort soupçon de comptage frauduleux de son audience !… La vidéo du 22/01/2022 affiche ainsi aujourd’hui 1,1 million de vues, celle du 18/01/2022 en affiche 1,5 million, et enfin celle du 11/01/2022 en compte plus de 3,3 millions… N’oublions pas que le Capital financier et ses relais sont coutumiers des manipulations statistiques à des fins de manipulation de l’opinion…
Alors que depuis le 12 janvier dernier, les larbins de la macronie ne cachent plus leur fureur de voir Didier Raoult demeurer à la direction de l’IHU, vouloir faire croire que le « gourou marseillais » perdrait de son attractivité serait bien le minimum syndical à mettre en œuvre pour tenter de démoraliser la résistance…
Ci-contre : Quand le professeur Didier Raoult dénonce « la censure » systémique des « vecteurs médiatiques » mainstream, la soumission obéissante à la « religion » vaccinale et le « totalitarisme »… Dans cette remarquable intervention, Didier Raoult insiste sur le danger d’une obéissance aveugle à des décisions politiques scientifiquement non fondées accompagnées de la montée de la « violence » « extrême » face aux non-vaccinés comme un pas vers une « dictature » faisant appel dans son essence aux ressorts psychologiques du fascisme, et enjoint ceux « qui résistent » à poursuivre la lutte, notamment informationnelle, en croisant les sources et en recherchant une information réellement plurielle et alternative, bien moins discordante avec la réalité que celle, pré-mâchée et aseptisée (« acceptable et restreinte »), véhiculée par les mass-médias sous l’influence des « lobbys »… |
Alors que la totalité des résistants au fascisme vaccinal ont largement commenté et fait circuler la dernière intervention choc de Didier Raoult, on voit mal, hormis une manipulation de comptage d’audience, comment celle-ci aurait pu contre-performer à ce point… Nier la réalité, jusqu’au bout du bout, telle est donc la voie dans laquelle s’obstine le détachement du choc du fascisme vaccinal occidental qu’est la macronie ! En Chine impérialiste Parlons donc maintenant des faits, et en particulier des plus dérangeants. Au cours de la seule et unique vague épidémique de Covid-19 qu’a connu la Chine (de janvier à mars 2020) et qui a contaminé aux alentours de 80 000 chinois (soit les 4/5 du total des contaminations enregistrées jusqu’à aujourd’hui), les autorités du pays ont traité pas moins de 92 % des patients infectés à l’aide de la médecine traditionnelle chinoise (MTC) : pas moins de trois traitements de la MTC se sont en effet révélés très efficaces contre le Covid-19. L’un d’entre eux a même été « la seule prescription recommandée pour traiter tous les patients allant des cas légers aux cas critiques ». « L’étude a examiné plus de 8 900 cas de Covid-19 qui ont été traités dans 15 hôpitaux de la province du Hubei (centre de la Chine), la région la plus durement touchée par l’épidémie, de janvier à mai de l’année dernière, avec près de 30 % d’entre eux ayant pris du Qingfei Paidu dans le cadre de leur thérapie. Les résultats suggèrent que le taux de mortalité pour ceux qui ont bénéficié d’un traitement de MTC est de 1,2 %, tandis que le taux pour les autres patients est de 4,8 % ». En septembre 2020, c’est ainsi Xi Jinping en personne qui avait tenu à « saluer les modèles dans la lutte contre le Covid-19 » « combinant la MTC et la médecine occidentale ». Conscient d’avoir gagné haut la main une Guerre contre le Covid-19, sans aucun doute mise en œuvre sciemment comme ultime tentative occidentale de mettre à terre la Chine, il en concluait que « Le peuple chinois et la nation chinoise iront certainement de l’avant dans le grand voyage de la nouvelle ère. (…) Aucun individu ou force ne peut stopper la marche du peuple chinois vers une vie meilleure ». Notons au passage que depuis début 2020 jusqu’à aujourd’hui, les autorités chinoises n’ont publiquement cessé d’émettre des doutes sur l’origine réelle du Covid, des pistes sérieuses pointant notamment avec des arguments factuels vers le laboratoire P4 de Fort Detrick… Parmi les trois traitements efficaces de la MTC utilisés avec succès par la Chine contre le Covid-19, l’un contenait au moins 60 % d’artemisia annua, dont la Chine est, avec Madagascar, l’un des deux principaux producteurs mondiaux. Nous venons pour notre part d’expérimenter nous-mêmes dans la pratique l’efficacité du traitement Covid-19 selon la recette du « Covid-organics » malgache (tisane d’artemisia annua). Le week-end dernier, c’était « l’hécatombe » Covid chez moi (des enfants avaient été testés positifs la semaine passée à l’école), et mes trois enfants ont déclaré des symptômes entre vendredi et dimanche (mal de tête, un peu de toux, de la fièvre, des courbatures). J’ai pour ma part déclaré de légers symptômes dimanche soir et lundi matin (un peu de toux légère et un petit mal de tête intermittent)… Dans tous les cas, c’était zéro panique : je me suis contenté de mettre tout le monde immédiatement sous tisane d’artemisia annua ! Un bol 3 fois par jour (dosé à 5 g de feuilles sèches par litre d’eau), et le résultat ne s’est pas fait attendre : grosse amélioration des symptômes en moins de 12 heures sur les enfants, et plus de symptômes du tout au bout de 24 heures…. Et sur moi (traité depuis lundi matin), juste un peu de toux légère, et plus du tout de mal de tête… Un test antigénique réalisé lundi matin sur mon enfant le plus symptomatique a confirmé le diagnostic Covid-19. Il n’y avait donc à l’évidence pas de quoi sombrer dans la psychose… Avec l’artemisia annua, c’est donc expéditif… J’avais commandé des graines d’artemisia annua à l’étranger en mai 2020, avant même que le professeur Christian Perronne ne recommande publiquement l’artémisinine comme traitement précoce efficace contre le Covid-19, en me disant que si le président malgache (traditionnel larbin de l’Occident) affirmait disposer d’un traitement efficace, c’est parce qu’il était sûr de lui… Le scandale de l’artemisia annua boycotté par Big Pharma En dépit de la très grande pauvreté de sa population et de l’absence quasi-totale d’accès aux soins médicaux, Madagascar ne compte ainsi aujourd’hui qu’un total de 1 300 décès imputés au Covid-19, soit un chiffre cent fois inférieur à celui déclaré par la France… Certes, Madagascar ne compte que 27 millions d’habitants et sa population est jeune, mais le différentiel n’en reste pas moins abyssal… Dès la fin du printemps 2020, l’artemisia annua poussait donc dans mon jardin auquel elle s’est parfaitement acclimatée. COVID-19 Le Président de Madagascar lance un nouveau médicament – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/254300 Au printemps 2020, nous avions publié un article sur l’artemisia annua. Il prenait appui sur le remarquable documentaire Malaria Business – L’OMS et les laboratoires contre la médecine naturelle, étonnement (partiellement) diffusé sur France 24 en janvier 2019… Sa version intégrale est également disponible. Le président de Madagascar dénonce l’OMS et retire son pays de cette officine mondialiste. – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/264997 « En racontant l’histoire de l’Artemisia et de ceux qui se battent pour que cette plante soit largement diffusée, Malaria Business met au pied du mur les institutions qui tentent de lutter contre le paludisme depuis cinquante ans. En 2017, la maladie continue de tuer un enfant toute les deux minutes, le parasite qui la provoque devient résistant aux médicaments, les moustiques contournent les moustiquaires, et le vaccin promis pour 2018 s’avère décevant. Pendant ce temps, des chercheurs africains, américains et européens révèlent qu’une simple tisane d’Artemisia peut prévenir et soigner le paludisme. Utilisée depuis deux millénaires en Chine, cette plante est pourtant déconseillée par l’OMS et interdite en France et Belgique ». Au cours des deux années écoulées, la presse atlantiste a fait ses choux gras des morts du Covid-19, dont il s’avère aujourd’hui qu’ils ont été pour une large part frauduleusement recensés à des fins de création d’une psychose collective destinée à justifier l’instauration du fascisme vaccinal, et qui étaient pour la plupart des sujets âgés et/ou souffrant de comorbidités auxquels on a en outre refusé une prise en charge précoce efficace qui aurait considérablement diminué la charge hospitalière et la mortalité. A l’inverse, cette même presse aux ordres du Capital financier ne s’offusque guère que depuis des décennies, des centaines de milliers d’individus meurent chaque année de la malaria (essentiellement des enfants en Afrique), maladie pour laquelle il existe pourtant des traitements naturels aussi accessibles que redoutablement efficaces (artemisia annua et artemisia afra)… A leur décharge, il est vrai que la diffusion populaire croissante de l’artemisia ne fait les affaires ni des lobbys pharmaceutiques occidentaux, ni des milliardaires pseudo-philanthropes adeptes de la religion vaccinale qui les soutiennent… Cette parenthèse étant close, il apparaît évident que le Capital financier chinois a une approche beaucoup plus rationnelle de l’usage des médecines traditionnelles éprouvées : ses monopoles pharmaceutiques ne sont pas tout-puissants, et ce sont les intérêts généraux de l’impérialisme chinois qui priment sur les intérêts particuliers à court terme de telle ou telle branche d’industrie. Or, comme nous l’avions souligné en 2010, l’intérêt fondamental de l’impérialisme chinois est le développement économique et industriel du continent africain. Une médecine populaire locale efficace et peu coûteuse est indéniablement un élément clef de cette stratégie, car elle tend à abaisser le coût d’entretien de la force de travail… La bête noire biélorusse Les traitements anti-Covid-19 de la MTC ont d’ailleurs déjà été utilisés avec succès non seulement dans divers pays d’Afrique et d’Asie, mais également en Biélorussie, pays souverain dont le dirigeant est l’une des bêtes noires du Capital financier occidental… Alexandre Loukachenko assume d’ailleurs totalement son non-alignement sur l’Occident impérialiste et tenait d’ailleurs il y a peu de temps des propos particulièrement réalistes sur le fond de la pandémie sanitaro-sécuritaire occidentale, et ce devant une assemblée attentive de 2 500 biélorusses : « Aujourd’hui, pour la première fois, le virus est devenu un outil de contrôle. Il y a deux ans, j’avais prédit qu’on en arriverait là. Le covid a été bénéfique aux milliardaires du monde entier dont les fortunes ont considérablement augmenté. L’écart s’est creusé entre les très riches et le reste de la population. Les riches sont devenus plus riches et les pauvres sont encore plus pauvres. Selon le forum de Davos, ceux qui ont les plus gros profits sont l’industrie informatique et pharmaceutique. Et ils sont à présent interconnectés. Ils ont ordonné à tout le monde le confinement, vous ont donné des gadgets, ont remplacé la réalité en espace virtuel (métaverse) et vous ont incité à prendre des médicaments. Et vous pensez que cette mafia va abandonner des milliards de profits ? Ils vont continuer d’aggraver la peur afin que les vaccins deviennent l’enjeu principal de la « grande politique » du monde ». Cette politique dans le dos des peuples ne peut à l’évidence pas se faire au grand jour, et les mass-médias aux ordres du Capital financier ont donc un rôle de tout premier plan à jouer dans le travestissement de cette réalité, afin de faire accepter l’inacceptable aux peuples en cours de déclassement. Bien que l’utilisation du prétexte pandémique commence à s’essouffler dans plusieurs pays qui semblent aujourd’hui partiellement reculer sur la mise en œuvre du pass vaccinal, certains attelages politiques ne s’obstinent pas moins à nier l’évidence scientifique que les injections expérimentales ont intégralement échoué, non seulement à prévenir les contaminations, mais également les formes graves et la mortalité, sans même parler des effets secondaires à court terme, déjà sans précédent par rapport à ceux recensés pour l’ensemble des autres vaccins depuis plus de trois décennies. (Cf. graphe du VAERS aux USA) Quand aux effets secondaires possibles potentiellement cataclysmiques à moyen et long terme, ils ne sont tout simplement même pas évoqués… (Vaccins à ARNm inefficaces : https://les7duquebec.net/?s=vaccin NDÉ) Le scandale ivermectine Pour passer sous silence cette réalité, les mass-médias au service du Capital financier ne reculent plus devant aucun mensonge. Nous nous contenterons d’en citer un récent : l’utilisation à grande échelle de l’ivermectine au Japon, pays dont les statistiques sont à priori au-dessus de tout soupçon, puisque certains s’interdiront toujours de penser qu’un pays comme la Chine puisse publier des statistiques fiables… (Voir Ivermectine : Résultats de recherche pour « ivermectine » – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/?s=ivermectine NDÉ). Bien que les autorités sanitaires japonaises n’aient pas publiquement recommandé l’ivermectine, des scientifiques japonais de renom ont encouragé les médecins à la prescrire, ce qu’ils ont massivement fait. Les autorités japonaises n’ont pas non plus demandé aux malades de rester chez eux jusqu’à l’insuffisance respiratoire et l’hospitalisation en soins critiques… Signalons au passage que bien que les japonais aient d’eux-mêmes massivement décidé de se faire vacciner (76 %), en prévision des Jeux Olympiques d’été de Tokyo, il n’y a eu aucune forme de contrainte : pas de pass sanitaire ni d’obligation vaccinale. La capacité hospitalière du pays a également été considérablement renforcée (+ 30 % en 2021). L’hygiène de vie des japonais (en particulier leur alimentation) est plus saine que celle de nombre de pays occidentaux, d’où une très faible obésité. A l’inverse, la population japonaise est sensiblement plus âgée que celle de la France ou des USA. La première conclusion à tirer de ces graphes, est que les injections expérimentales (ARNmessager) n’ont prévenu ni les contaminations, ni la mortalité, qui sont toutes deux à leurs plus hauts niveaux en deux ans, et ce alors même qu’il est reconnu que les variants du Covid-19 sont de moins en moins létaux… Il n’en apparaît pas moins qu’en dépit de cette vague de contamination facilitée par les injections expérimentales, la mortalité du Japon reste de très loin inférieure à celle de la France, bien que la population japonaise lui soit sensiblement supérieure. Tel est le résultat fondamental de l’approche rationnelle japonaise. En ayant en vue ces faits, la pressituée aux ordres de la macronie parvient à titrer sans honte « Coronavirus : L’ivermectine a-t-elle prouvé son efficacité contre le variant Omicron ? Non ! » Et tout cela parce que l’efficacité de l’ivermectine n’aurait été prouvée jusqu’à présent que dans le cadre d’une phase de recherche « non clinique »… Que son efficacité soit déductible des simples faits observables, de la pratique médicale, est quelque chose qui n’effleure pas une seule seconde les larbins du fascisme vaccinal… Les observateurs intelligents demandent donc : « Comment expliquer l’extraordinaire résilience du Japon face à la crise sanitaire ? Ce modèle est-il réplicable ailleurs ? » Le Japon capitaliste convoité par les deux blocs impérialistes Pour l’essentiel, la réponse à cette question appartient au registre de l’économie et de la politique, pas à celui de la médecine. Cela fait en effet plus d’une douzaine d’années que le Capital financier japonais attend de se libérer de l’oppressive tutelle américaine. Les élites japonaises sont d’ardentes partisanes du RCEP, et comptent bien se lier étroitement au moteur de la croissance indigène chinoise pour garder la tête hors de l’eau et ne pas sombrer. Comme nous l’avions montré en 2010, le Japon détient l’industrie mécanique (machines-outils et robotique) la plus high-tech au monde, et le Capital japonais sait qu’il a donc encore de bonnes affaires à faire en Chine, surtout quand l’Oncle sénile d’amérique ne regardera plus par-dessus son épaule… En d’autres termes, pas de « Grand Reset » prévu par la grande bourgeoisie japonaise, d’où l’absence de pass vaccinal et l’utilisation de traitements précoces ayant fait leur preuve. Ce total non-alignement du Japon sur la politique sanitaro-sécuritaire occidentale est un signe supplémentaire de l’imminence de la totale dislocation de la sphère d’influence américaine et occidentale… Il n’y a absolument aucune surprise dans ce choix du Capital japonais : dès février 2020 (comme à Taïwan d’ailleurs), certains grands médias avaient publiquement osé aborder la dérangeante question de la variabilité des souches du Covid… une variabilité qui pouvait raisonnablement mettre en cause le laboratoire P4 américain de Fort Detrick comme berceau du Covid-19 ! Cette question des variants du Covid était alors complètement taboue aux USA et en Europe où la thèse officielle était que le virus provenait de l’accouplement d’une chauve-souris et d’un pangolin sur le marché de Wuhan… (sic) Si cette fable animalière n’a aujourd’hui plus trop le vent en poupe, cela ne signifie pas pour autant que les mass-médias atlantistes aient fait baisser d’intensité le niveau de leur désinformation de masse. Il est évidemment important de démystifier de temps à autres quelques gros mensonges, mais il ne faut pas oublier que le Capital paie des armées d’écrivailleurs (qu’il remplacera peut-être avantageusement bientôt par des IA !), afin de les produire à un rythme industriel… Or « un imbécile peut poser à lui seul plus de questions que dix sages ensemble ne pourraient en résoudre », avertissait Lénine… Il faut donc cibler les principaux mensonges pour ne pas s’épuiser… Il y a quelques semaines, nous avions averti que la lutte entre l’information (alternative) et la désinformation institutionnelle des mass-médias allait prendre des formes de plus en plus aigües. C’est indéniablement ce que constatent aujourd’hui les résistants au fascisme vaccinal : « Les duperies des médias de grand chemin paraissent sans limites. Dans un numéro d’hypocrisie digne de rester dans les annales, Patrick Monay, rédacteur en chef adjoint de la Tribune de Genève larmoie sur les accusations de « propagande » adressés aux médias tels que le sien. Se drapant dans une dignité outragée un peu comme une vieille courtisane dont on questionnerait la vertu, le rédacteur se fait grandiloquent : « L’accusation de propagande est une insulte faite aux médias ! » tonne-t-il. Ce serait amusant si ce n’était aussi grave. (…) Dans un texte factuel et documenté, comme il convient, que je re-publie avec son aimable autorisation, le Dr Gérard Delépine montre ici comment l’AFP produit des « fake news » à la pelle tout en prétendant lutter contre les «fake news». Comme le vertueux M. Monay et l’ensemble de la presse subventionnée». (Consulter : Résultats de recherche pour « Gouysse » – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/?s=Gouysse NDÉ). Les « classes moyennes » petites-bourgeoises De ces remarques critiques particulièrement pertinentes, il ressort que les classes moyennes sont hautement malléables, mais dans les deux sens : dans un sens favorable au capitalisme quand les affaires sont florissantes, et dans un sens dangereux pour le grand Capital quand les conditions économiques se dégradent. Ces classes sont versatiles. Karl Marx remarquait ainsi que « les classes moyennes deviennent révolutionnaires lorsqu’elles se voient exposées à tomber bientôt dans la condition des prolétaires », à la condition qu’elles parviennent à s’arracher à leurs préjugés petit-bourgeois et à comprendre qu’il est dans l’intérêt de s’allier sincèrement avec les masses travailleuses moins favorisées. Ces classes sont en outre en moyenne plus cultivées, et dans les temps de crise, cette culture est un danger, car c’est la voie de la connaissance et de la prise de conscience… Les laminer économiquement et les terroriser psychologiquement est à l’évidence le seul moyen d’annihiler les capacités de réflexion et d’entraver ce processus de conscientisation au moment où le grand déclassement frappe à la porte… (Pour notre part, nous pensons que le prolétariat doit se méfier et tenir en respect les éléments petits-bourgeois de la dite «classe moyenne» qui, de par leur position dans le procès de production capitaliste, sont invariablement porté à chercher à rétablir les conditions du « paradis » perdu… du temps de l’État providence déchu… La petite-bourgeoisie sera toujours prête à sacrifier des millions de prolétaires dans des guerres mondiales devant imposées le «Great Reset» qui n’est autre que la réinitialisation (remise à zéro) des rapports sociaux de production capitalistes comme aux temps de son émergence barbare et sanglant. L’Allemagne Nazi et l’Italie fasciste et le Japon militariste ont tenté le coup en 1939-1945. NDÉ) L’exemple grec Après le Liban dont nous avons parlé récemment, c’est la Grèce qui montre la voie… Si la Grèce avait été déjà durement éprouvée par les politiques d’austérité appliquées sous la tutelle de Bruxelles après la crise de 2008, la situation économique s’y aggrave désormais à une vitesse accélérée. Le prix des loyers augmente « comme jamais auparavant » : « Au lieu de 600 € de loyer, le propriétaire leur exige désormais 980 € ». La situation du marché énergétique n’est pas meilleure : « L’autre jour j’ai failli faire un AVC après avoir reçu ma facture d’électricité, 650 € au lieu de 350 €… avant l’augmentation des tarifs ». Et enfin, l’alimentaire n’est pas non plus épargné : « Le prix de la viande a augmenté de 30 %, autant que celui des fruits et des légumes ». C’est donc sans surprise que la dictature vaccinale y est jusqu’à aujourd’hui l’une des plus dures au monde. Rien de plus naturel au demeurant, car comme nous l’avions souligné il y a une décennie, la Grèce est l’un des pays d’Europe dont le degré de tertiarisation de l’économie est le plus important, vivant essentiellement du tourisme et du transport maritime, deux secteurs évidemment immédiatement condamnés par le Grand Reset. La Grèce se trouve ainsi en toute première ligne du grand déclassement économique occidental qui vient de débuter. En dépit de la paupérisation accélérée du peuple grec et de l’instauration d’une amende mensuelle inique de 100 euros pour tous les non-vaccinés âgés de plus de 60 ans depuis la mi-janvier, ce sont plus de 320 000 grecs qui viennent de voir leur pass vaccinal annulé pour n’avoir pas consenti à faire leur injection de rappel… C’est à l’évidence un peuple grec aujourd’hui économiquement laminé et moralement résigné qui vient d’entamer la descente aux enfers de son grand déclassement. La Grèce n’est à l’évidence qu’un premier domino européen, qui en entrainera rapidement d’autres dans sa chute… Les prochains pourraient être le Portugal, l’Espagne, l’Italie, … et la France! En d’autres termes, les « pays du Sud » de l’Europe jugés déjà si peu vertueux il y a une décennie, quand avait éclaté la crise de la dette souveraine… Ce sera donc bientôt le sauve-qui-peut généralisé pour les pays membres de l’UE, et le triomphe du « chacun pour soi, Dieu pour tous! » La bourgeoisie de chaque pays reprendra alors sa souveraineté pour tenter de ne pas suivre un voisin plus mal en point que soi dans sa chute… La question fondamentale est : quelle sera donc la réaction des peuples face aux bouleversements mondiaux en cours, en particulier ceux qui seront frappés de plein fouet par un brutal déclassement économique et social ? Cela dépendra pour une bonne part de leur niveau de conscience… La situation idéologique actuelle est à l’évidence éminemment complexe du fait de l’extrême degré d’anéantissement idéologique. Au sein des larges masses des peuples occidentaux, le degré de conscience politique est souvent embryonnaire ou nihiliste, ce qui signifie en réalité dans les deux cas la soumission à l’idéologie dominante, et qui complique considérablement la tâche de conscientisation. Pour ne rien arranger, la fraction partiellement éveillée mais hystériquement anti-communiste de la petite bourgeoisie a bien du mal à éviter les amalgames idéologiques les plus grossiers. Elle peine notamment à comprendre que des communistes révolutionnaires puisse sincèrement vouloir en finir avec le pouvoir du Capital financier : « Pourquoi attaquez-vous ces « capitalistes » ? Ils ne veulent que ce que vous voulez vous-même : un seul peuple (métissé et docile) et une seule culture (woke)! » Ce à quoi nous pourrions répondre :« Pourquoi attaquez-vous donc ces mondialistes ? Ils ne veulent être que des bourgeois, et exploiter librement le travail d’autrui ! N’est-ce pas également tout ce à quoi vous aspirez ? » … Dans un cadre national étriqué hélas incompatible avec la grande industrie et la robotique ! Les communistes n’aspirent d’abord certainement pas à une seule culture, le socialisme signifiera d’abord inévitablement l’épanouissement de formes de cultures nationales (et de fond socialiste), à l’inverse du capitalisme qui tend à uniformiser autant de par la forme que par leur contenu… Et s’il y aura certainement in fine métissage des peuples, dans une phase supérieure, ce ne sera pas au mépris de leurs intérêts fondamentaux, et cela ne se fera pas non plus contre l’épanouissement des sciences et de la culture… La docilité des masses, c’est indéniablement le capitalisme qui la crée à chaque instant : la société socialiste, et plus encore le communisme, ont à l’inverse besoin d’êtres humains hautement cultivés, sachant penser par eux-mêmes et libérés des entraves intellectuelles léguées par les sociétés de classe multimillénaires. Les éternels amalgames de la petite bourgeoisie, qui peinant à comprendre le monde qui l’entoure, peine encore davantage à comprendre celui qui est économiquement et historiquement déterminé à le remplacer… (Pour notre part, tout ce que nous avons observé dans les pays sous gouvernement dit socialistes ou dit «communistes» entre 1930 et aujourd’hui nous répulse et ne saurait servir de modèle pour la création d’un nouveau mode de production et de ses rapports sociaux de production prolétariens communistes. Tout cela reste à inventer et seul la classe prolétarienne y parviendra après de nombreux essais. NDÉ). Perdue dans ses illusions idéalistes et anti-matérialistes, la petite bourgeoisie occidentale en cours de déclassement rêve encore d’une « troisième force » alternative qui ne soit ni celle du grand Capital, ni celle du socialisme marxiste qui auraient tous deux pour dénominateur commun « l’économie planifiée »… La planification Cet amalgame confondant la concentration de la propriété entre des mains bien différentes (celles de l’Etat de dictature du prolétariat d’un côté, et celles du Capital financier mondialisé de l’autre côté), ignore superbement le fait que la planification est foncièrement impossible sur la base de la propriété privée des moyens de production ainsi que de l’anarchie et de la concurrence qui lui sont intrinsèques, donc sur la base du capitalisme… Les « plans » capitalistes sont semblables à de la divination dans le marc de café… Les keynésiens américains et les nazis ont prétendu pouvoir copier l’économie planifiée soviétique, au moyen de politiques de grands travaux creusant la dette et de la militarisation de l’économie en vue du pillage colonial et de la destruction de la concurrence et du péril rouge. L’économie soviétique n’en était pas moins la seule à ignorer superbement la dépression économique mondiale consécutive à la crise de 1929 et à ne pas recourir au colonialisme… La nouvelle crise de 1937-1938, dont seules les florissantes affaires offertes par une nouvelle guerre mondiale permirent de sortir pour les capitalistes occidentaux et en particulier américains, en témoigne éloquemment… Quant à la « troisième voie », celle d’un capitalisme à visage prétendument humain, la vie a fait litière de cette utopie : le Capital financier n’a pas émergé du néant, mais est né de l’inéluctable processus de différenciation économique accompagnant la marche normale des affaires sous le capitalisme… Si l’aile souverainiste de la petite bourgeoisie occidentale en cours de déclassement a ses travers, elle n’est à l’évidence pas la seule à blâmer… C’est ainsi qu’il y a peu, à l’exact opposé des justes postions défendues sans discontinuer par les 7 du Québec, nous recevions un document envoyé par « Reconstruction communiste Québec » dans lequel on pouvait entre autres lire ceci sur le blocage d’Ottawa par le « Convoi de la liberté » : « Leur objectif immédiat est la suppression de toutes les restrictions liées à la COVID-19, ce qui entraînera des millions d’infections supplémentaires et des milliers de morts inutiles ». Que des traitements précoces efficaces existent (comme la chroroquine, l’ivermectine, l’artémisinine, etc.) est quelque chose que ne soupçonnent pas un seul instant nos « marxistes » en herbe… Les discours sur les « milliers de morts » ne sont donc que du vent, et la reprise sans le moindre esprit critique de l’argument massue du Capital financier et du fascisme vaccinal pour terroriser et soumettre les populations… Combien de morts en Chine depuis février 2021 ? Zéro ! Strictement 0 ! Il serait peut-être temps de se demander pourquoi… « Trudeau sera dénoncé pour avoir échoué à « prévenir la violence » en « parlant » aux manifestants, c’est-à-dire en faisant des concessions à leurs exigences fascistes ». Justin Trudeau est un représentant direct du Capital financier occidental aux abois, c’est un mondialiste élevé à l’école du FEM de Klaus Schwab et suivant docilement la feuille de route du Grand Reset visant à laminer les couches populaires dans leur ensemble ! Et vouloir vivre normalement, sans restrictions stupides, non fondées scientifiquement, c’est fasciste ? Le pass vaccinal qui fait des non-vaccinés des sous-citoyens, ou les deux semaines de quarantaine à la frontière imposées aux routiers non piqués, c’est ça le fascisme! Le degré de divorce d’avec la réalité de certains « marxistes » ou devrions-nous plutôt dire étiquetés comme tels (provenant de leur complet abandon de la méthode d’analyse matérialiste-dialectique au profit du ressassement religieux de dogmes et de théories opportunistes déconnectés de la lutte de classes réelle), est aujourd’hui proprement ahurissant, emmurés dans de vieux schémas (révisionnistes) périmés qui leur interdisent de comprendre la réalité qu’ils ont pourtant sous les yeux… Le fascisme, le vrai, c’est celui mis en œuvre depuis maintenant près de deux ans par le Capital financier mondialisé qui avance même plus masqué, avec par exemple la suppression des indemnités aux chômeurs non vaccinés… Et cette pseudo-« extrême gauche » s’obstine pourtant à ne voir que le fascisme (fantasmé) du prolétariat bourgeois occidental et de la petite bourgeoisie souverainiste en cours de déclassement qui s’opposent aujourd’hui légitimement à lui!? Oui l’idéologie de ces couches populaires présente une facette anti-communiste, mais ce n’est pas en emboîtant le pas à la propagande du fascisme vaccinal qu’on va arranger les choses, bien au contraire, car ces résistants petit-bourgeois auront alors raison de dire « regardez les communistes, ils font front commun avec les mondialistes »… Nous déclarons pour notre part n’avoir rien de commun avec cette espèce de « communistes »… (Pour notre part nous pensons que ce salmigondis de sectes gauchistes – socialistes – communistes – trotskystes – anarchistes – nationalistes – souverainistes – mondialistes – etc. – parfaitement décrites ci-haut sont l’héritage de la révolution paysanne «bolchévique» et de la 3e Internationale nationaliste. Le prolétariat international ne surmontera ce handicap que le jour ou il conviendra que la Révolution prolétarienne ne peut survenir sans une classe prolétarienne internationaliste majoritaire et révolutionnaire, regardant vers l’avant, basé sur les apprentissages du passé oeuvrant à construire un avenir qu’il nous reste à inventer. À bas le sectarisme, le dogmatisme, le chauvinisme et l’intellectualisme petit-bourgeois réactionnaire. NDÉ) Cette situation, où l’on voit ce qui devrait être « l’avant-garde » du peuple tout entier être aussi terriblement en retard par rapport au niveau de conscience de son avant-garde petite-bourgeoise, est proprement pathétique ! Il faut se réveiller urgemment ! Ou il faudra que ces « marxistes » de pacotille rendent des comptes devant un tel aveuglement… Staline disait qu’à certains tournants majeurs de l’Histoire, certains « communistes », ne s’en tenant pas suffisamment fermement aux principes, en venaient à tomber en dehors de la charrette… Comme nous l’avons souligné à maintes reprises, cela fait désormais des décennies que la plupart des « communistes » ont intégralement renoncé à l’application vivante de la théorie marxiste-léniniste de la connaissance. Incapables de comprendre les profondes mutations du monde qui les entoure, ils tombent ainsi aujourd’hui sans surprise en dehors de la charrette de la résistance au fascisme vaccinal… pour se ranger, sans même en avoir conscience, dans le camp de la réaction la plus noire, celui du Capital financier occidental entré dans la phase finale du grand déclassement de son propre peuple ! Notre camarade Berthe Poggiale Avidor, fille de déporté, avait pour sa part bien compris, et immédiatement, le sens du fascisme vaccinal, en particulier son utilisation à des fins de ségrégation et de mise en œuvre d’un contrôle fasciste sur les peuples… Si beaucoup n’ont pas immédiatement vu le danger, les deux années écoulées ont malgré tout contribué à éveiller toute une frange de la population. On pouvait ainsi récemment lire dans un article publié sur le média alternatif Réseau International que « Si les gens pouvaient comprendre le fossé massif et béant entre le monde tel qu’il existe réellement et les récits dont on nous abreuve à son sujet depuis l’enfance, il y aurait une révolution immédiate. Le monde réel est aussi différent du monde de la propagande qu’il l’est de n’importe quelle œuvre de fiction ». Nous avions pour notre part répondu qu’il s’agissait d’une très juste remarque dont les communistes (révolutionnaires) savent quelque-chose et pour laquelle ils étaient déjà intensivement entraînés, étant eux-mêmes victimes de l’agression idéologique permanente de cette propagande multi-facettes de tous les instants… Chaque esprit éveillé a pu en effet se rendre compte, par sa propre expérience, en quoi cette propagande pouvait consister en deux ans de plandémie Covid… Alors, qu’on s’imagine résister à cette pression idéologique permanente pendant 10 ans, 20 ans, 30 ans, 40 ans, et ce en étant beaucoup plus isolés que les résistants au fascisme vaccinal ne le sont aujourd’hui… Les communistes albanais avaient d’ailleurs écrit sur le sujet de l’agression idéologique à l’échelle de leur minuscule pays dépeint par la bourgeoisie internationale comme «la sentinelle de Staline»… Cette conscience de l’importance du facteur subjectif ne fût cependant pas suffisante à prévenir leur sous-estimation de la profondeur de l’attrait de la société de consommation occidentale (surtout au moment de l’effondrement du social-impérialisme soviétique et des turbulences économiques mondiales qui l’accompagnèrent), événements et mutations qu’ils ne furent pas capables d’analyser en temps réel d’une façon complètement matérialiste-dialectique, avec les conséquences funestes que l’on connaît… (Pour notre part nous pensons que le terme «société de consommation occidentale» est une appellation moraliste – non-matérialiste – pour désigner la «société capitaliste à son stade impérialiste décadent». L’exploitation maximale du prolétariat occidental et du prolétariat des pays sous-développés (y compris sous régime socialiste) a temporairement permis aux capitalistes hégémoniques (au développement économique plus avancé) de tricotter des «chaînes dorées» à certaines catégories de travailleurs et de petits-bourgeois. Les pays du capitalisme-socialistes et les pays du capitalisme-libéral sous-développés ne pouvaient offrir ces «chaînes dorées» et devaient maintenir un joug de répression fasciste sur leurs populations d’où les vagues de migration Est-Ouest et Sud-Nord des travailleurs de la misère. Le mode de production capitaliste mondialisé génère ainsi des flux migratoires entre ses zones en expansion et ses zones en dépression. NDÉ) Notre avantage décisif est aujourd’hui d’observer et de comprendre quasiment en temps réel le processus de déclassement des puissances impérialistes longtemps dominantes d’occident. Alors qu’il commence à être refoulé de son pré-carré colonial françafricain, l’impérialisme français renforce ainsi sa contribution à la guerre coloniale (US) livrée au Yémen par l’Arabie Saoudite et les Émirats arabes unis en aidant les agresseurs à se protéger des frappes de représailles (drones et missiles) de la résistance yéménite : « La France va aider les Émirats arabes unis (EAU), son allié majeur dans le Golfe, à sécuriser leur espace aérien, soumis à des attaques des rebelles yéménites houthis », indiquait ainsi vendredi dernier la sinistre française des Armées, Florence Parly. L’Etat fasciste français, ainsi que tous les collabos de parlementeurs silencieux vendus aux lobbys, sont complices de ce que la presse atlantiste elle-même est forcée de qualifier de « l’une des pires catastrophes humanitaires au monde, avec notamment un risque de famine à grande échelle » : « Selon l’ONU, la guerre au Yémen a fait au moins 377 000 morts et des millions de déplacés », dont une majorité de civils, de femmes et d’enfants, victimes de la famine et des épidémies. Mais après tout, ce génocide du peuple yéménite dont est complice l’impérialisme français n’est-il pas le sacrifice à consentir pour continuer d’exporter par milliards d’euros les produits de son complexe militaro-industriel (CMI) aux pétromonarchies ultra-réactionnaires du Golfe?… Assurément, tous les acteurs et larbins du colonialisme, depuis les grands banquiers d’affaires aux dirigeants du CMI en passant par leurs marionnettes politiques devront répondre de leurs nombreux crimes contre l’humanité et devront payer concrètement pour cela : non seulement du crime actuel perpétré contre leur propre peuple (via le Grand Reset), mais aussi du martyr et du génocide du peuple yéménite ! A l’évidence, l’Etat impérialiste français ne cesse de franchir constamment de nouveaux caps dans l’ignominie ! A chaque fois, on se dit que ça ne peut pas être pire et qu’on ne peut pas tomber plus bas… Mais si! Il n’y a strictement aucune différence entre les armées du IIIe Reich qui affamèrent le peuple de Leningrad assiégé durant près de 900 jours, et la politique coloniale FASCISTE de notre impérialisme à l’égard des peuples colonisés ! Que les peuples endormis d’occident aient bien conscience du fait que quand ils ferment les yeux sur cela, quand ils laissent aux commandes une « élite » psychopathe dégénérée capable de tels actes, il faut s’attendre un jour à un sévère retour de bâton, car fondamentalement, pour le Capital financier, les peuples d’occident sont tout aussi sacrifiables que les peuples des pays colonisés quand il en va de ses profits !… Cette indifférence et ce racisme atlantiste latents à l’égard des autres peuples du monde, les peuples occidentaux longtemps privilégiés sont aujourd’hui sur le point de commencer à le payer… Sur la scène géopolitique internationale, le redoublement de rage des puissances impérialistes occidentales met toujours davantage en évidence leur totale impuissance devant la dislocation accélérée de leur sphère d’influence, à l’instar de l’obsession américaine à voir la Russie préparer « une invasion de grande ampleur de l’Ukraine »… L’impérialisme américain n’a évidemment pas la moindre intention de s’impliquer dans cette guerre qu’il appelle de ses vœux : ce serait pour lui un pur suicide… Or les USA ont toujours préféré « suicider » les autres ! (Consulter : LE «CONFLIT UKRAINIEN» NE POINTE PLUS VERS «UNE GUERRE EUROPÉENNE» MAIS MONDIALE – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/270180 NDÉ). La sphère d’influence de l’impérialisme occidental Mais au moins, pendant ce temps, les mass-médias atlantistes n’ont pas à s’épancher sur les faits les plus importants et les plus dérangeants de notre tumultueuse époque. On a ainsi appris récemment que l’Argentine avait reconnu «le principe d’une Chine unie», en échange de quoi Pékin s’engageait à soutenir « les revendications territoriales de Buenos Aires sur les îles Malouines », un vaste territoire maritime riche en ressources qui lui avait été arraché par le Royaume-Uni en 1982. Comme on le voit, la diplomatie des « loups guerriers » poursuit inexorablement son passage à l’offensive… et fait reculer les puissances impérialistes d’Occident jusque dans ce qui a longtemps été leur chasse gardée exclusive ! Et comme la diplomatie accompagne traditionnellement les affaires, personne ne sera surpris d’apprendre que la filière nucléaire chinoise va mettre le pied en… Argentine, comme le rapportait il y a quelques jours un observateur attentif de l’actualité chinoise ! A l’évidence, ce début d’année 2022 témoigne de la dislocation accélérée de la sphère d’influence occidentale, depuis l’Asie au Moyen-Orient, en passant par la Françafrique et l’Amérique latine, confirmant les observations précoces que nous avions faites en 2007. Nous soulignions alors déjà l’influence croissante de la Chine sur l’échiquier géopolitique mondial, notamment par l’étude de la voie choisie par le Venezuela qui était alors à l’avant-garde de cette nouvelle tendance structurelle. En juillet 2007, un camarade latino-américain nous avait d’ailleurs appris que notre site internet était jugé « fabuleux » par l’élite souverainiste chaviste qui l’utilisait « pour l’industrialisation socialiste du Venezuela », ajoutant que « les camarades qui travaillent au ministère chargé de cette tâche » avaient notamment « lu avec intérêt le dossier sur l’industrialisation socialiste en Union Soviétique ». Ce à quoi nous avions répondu qu’à défaut d’édification d’une économie réellement socialiste, les dirigeants vénézuéliens n’en pouvaient pas moins « s’instruire de certains enseignements du marxisme-léninisme, comme l’importance d’édifier une industrie lourde, condition nécessaire pour accroître la puissance de leur pays et s’affranchir du diktat des puissances impérialistes ». Nous estimions alors que cette industrialisation visait « à évincer les positions dominantes de la bourgeoisie compradore vénézuélienne au profit d’une bourgeoisie nationale plus indépendante », et d’ajouter que cela ne pourrait « aboutir qu’à un durcissement des contradictions inter-impérialistes » : « C’est ce qui s’est produit avec la Chine et qui va amener dans les années à venir à des bouleversements internationaux, la Chine évinçant aujourd’hui ses principaux concurrents ». Nous en concluions que « ce processus d’industrialisation bourgeoise » n’en était pas moins « progressiste dans le sens où il accroît les contradictions internes du système impérialiste mondial », mais qu’il ne fallait pour autant pas nourrir « d’illusions sur son caractère de classe au Venezuela »… Il est aujourd’hui évident que le Venezuela chaviste est un Etat souverain non-aligné, où la bourgeoisie souverainiste fait des concessions réelles aux travailleurs et cherche à diversifier l’économie du pays, notamment via une véritable industrialisation, car soucieuse de ne pas rester éternellement un état néo-colonial exportant des matières premières… Un choix qui déplait depuis longtemps au plus haut point à Washington, qui a perdu depuis longtemps son contrôle exclusif sur le pays, en dépit d’innombrables et continuelles tentatives de déstabilisation, la dernière en date étant le soutien indéfectible à Juan Guaido, autoproclamé président par intérim en 2019, avec le soutien des USA… De l’aveu même de la grande presse atlantiste, la marionnette US n’a pour seule fonction que de légitimer le hold-up occidental sur les actifs étrangers du pays : « Les Etats-Unis et plusieurs de leurs alliés ont renouvelé leur soutien à celui qu’ils considèrent comme le seul président légitime du Venezuela. M. Guaido peut donc garder son titre ronflant et le contrôle des actifs de l’Etat vénézuélien à l’étranger, à commencer par Citgo, filiale aux Etats-Unis de l’entreprise pétrolière PDVSA. Le sort des lingots d’or vénézuéliens détenus par la Banque d’Angleterre est également en jeu. Au total, il y a en a pour quelques milliards de dollars. Mais, dans son pays, M. Guaido n’exerce aucun pouvoir et ne fait plus illusion. Son discrédit est à la hauteur de l’immense espoir qu’il avait suscité en promettant, dans un pays dévasté par la récession, de déboulonner l’héritier d’Hugo Chavez pour ramener prospérité et démocratie. Le président Nicolas Maduro est toujours là et semble même solide. (…) « Les Américains soutiennent Guaido parce qu’ils n’ont tout simplement pas de plan B », considère la politologue vénézuélienne Colette Capriles. Fin 2021, aux Nations unies, seuls 15 pays sur 193 ont suivi Washington et refusé de reconnaître l’ambassadeur désigné par Caracas. En Amérique latine, le front anti-Maduro s’est délité. En Europe, les capitales qui ont reconnu Juan Guaido il y a trois ans peinent à cacher leur embarras diplomatique. « Guaido est devenu inutile, mais personne ne sait comment le lâcher », résume un diplomate ». Un aveu qui témoigne de l’échec complet des menées occidentales contre le Venezuela chaviste, et par ricochet à l’égard de ses soutiens indéfectibles : l’Iran, la Russie et la Chine… « La Russie et le Venezuela sont favorables au développement d’un ordre mondial moderne et juste, un ordre mondial dans lequel notre avenir ne dépend pas de la volonté ou le désir d’un quelconque pays, de son bien-être ou de son humeur », avait ainsi déclaré en octobre 2010 le président russe Dmitri Medvedev à l’occasion d’une visite d’Hugo Chavez à Moscou… Ce nouvel ordre mondial, avec à sa tête le leadership (économique) pour le moment pacifique de l’impérialisme chinois, est aujourd’hui en train d’advenir sous nos yeux. Ce passage de relais majeur de l’Occident à l’Orient promet des bouleversements économiques et géopolitiques majeurs dans les mois et années à venir. Pour traverser la tempête actuelle et à venir à moindres frais, la Chine fera (à plus grande échelle) ce qu’elle a fait avec la répétition générale de 2008 pour compenser l’effondrement du commerce international avec l’occident, et elle ira en outre investir ses capitaux partout dans le monde sans entraves. Elle devrait donc pouvoir compenser les grosses turbulences. La fin de la propriété privée (pour le prolétariat et la petite bourgeoisie d’occident), c’est la clique occidentale mondialiste qui va la mettre en œuvre, bien plus radicalement que ne l’auraient fait les communistes (qui auraient au moins toléré la propriété de l’habitation individuelle)… Le Capital financier occidental, lui, va ruiner les masses populaires et exproprier tous ceux qui ne pourront pas rembourser leur crédit, payer leurs factures, etc.… Et ce, alors que le chômage explosera et que l’hyperinflation saignera le peuple… « L’inflation dans la zone euro devrait rester élevée plus longtemps que prévu », avertissait cette semaine encore la présidente de la BCE, alors qu’à la Commission européenne on juge d’ores et déjà « préoccupante » « la flambée des prix de l’énergie » et « notamment son impact sur les ménages les plus vulnérables et sur les petites et moyennes entreprises ». La clique mondialiste occidentale va ainsi « partager » la pauvreté à une échelle inconnue jusque-là dans l’Histoire… Comment donc réagir face à cette perspective désormais imminente ? Pacifisme et Résistance Les peuples du monde ont assurément le droit et le devoir de résister sans délai, faute de quoi l’avenir de beaucoup d’entre eux promet d’être bien sombre… Résister, mais comment ? Si Gandhi est connu pour son adhésion privilégiée (pour ne pas dire exclusive) aux méthodes non-violentes de résistance, et qu’il estime qu’il faut essayer en premier lieu de « résister au mal en refusant d’imiter le méchant », il n’en a pas moins reconnu la possibilité et la légitimité de s’affranchir du pacifisme dans certains cas extrêmes : « Je crois vraiment que là où il n’y a que le choix entre la lâcheté et la violence, je conseillerais la violence […]. C’est pourquoi je préconise à ceux qui croient à la violence d’apprendre le maniement des armes. Je préférerais que l’Inde eût recours aux armes pour défendre son honneur plutôt que de la voir, par lâcheté, devenir ou rester l’impuissant témoin de son propre déshonneur ». (Gandhi, The Collected Works of Mahatma Gandhi, Ahmedabad, The Publications Division, Ministry of Information and Broadcasting, Government of India, 1965, Vol. 18, pp. 132-133. En d’autres termes, il existe pour Gandhi lui-même des causes et des circonstances qui justifient le recours ultime à la violence : en particulier quand l’ennemi recoure lui-même le premier à la violence pour réprimer les formes de résistance non-violentes et ne vous laisse donc d’autre choix que la voie de la résistance armée, ou bien celle de la capitulation… La résistance contemporaine au fascisme vaccinal, quand les forces de répression de l’Etat impérialiste se jettent sur les manifestations et l’occupation populaires pacifiques, ne constitue-t-elle pas justement un de ces cas particuliers qui appelle une réponse populaire musclée légitime ? (Consulter : LE MOUVEMENT POPULAIRE DES TRUCKERS CANADIENS S’ÉTEND! La gauche et la droite désespèrent – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/270127 NDÉ) » Les bolchéviques ne s’embarrassaient pour leur part pas des illusions véhiculées par le pacifisme petit-bourgeois, qui se fait une fierté de rejeter la violence par principe en tout temps et en toutes circonstances, et s’ils ne se sont jamais refusés à employer d’abord les moyens de lutte légaux et pacifiques, ils n’en n’ont pour autant jamais perdu de vue le fait que le Capital n’hésitait pas en général à employer préventivement la violence et à opter pour la dictature terroriste dès lors que sa forme de domination « démocratique » n’arrivait plus à brimer et à contenir les revendications légitimes du peuple. Les bolchéviques ont ainsi toujours insisté sur le fait qu’il était donc de leur devoir d’être prêts à répondre à la violence des classes exploiteuses sous peine de désarmer et de trahir la cause de libération des masses populaires de l’oppression capitaliste… Aujourd’hui plus que jamais, nous devons affirmer à la suite de Lénine que « dans une société fondée sur le pouvoir de l’argent, tandis que quelques poignées de riches ne savent être que des parasites, il ne peut y avoir de « liberté », réelle et véritable ». Nous sommes tous des Truckers canadiens! Nous sommes des Résistants à l’État totalitaire! – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/270099 Selon nous, les masses populaires des pays impérialistes occidentaux en cours d’effondrement doivent bien avoir en vue ces enseignements. Nos camarades du Burkina Faso, disent, à l’instar de Thomas Sankara, qui fût assassiné en 1987 par Blaise Compaoré sur ordre de l’impérialisme français (sous la présidence de François Mitterrand), que : « Le bulletin de vote et un appareil électoral ne signifient pas, par eux-mêmes, qu’il existe une démocratie. Ceux qui organisent des élections de temps à autre, et ne se préoccupent du peuple qu’avant chaque acte électoral, n’ont pas un système réellement démocratique. (…) On ne peut concevoir la démocratie sans que le pouvoir, sous toutes ses formes, soit remis entre les mains du peuple ; le pouvoir économique, militaire, politique, le pouvoir social et culturel ». Le combattant anticolonial progressiste qu’était Thomas Sankara insistait également sur le fait qu’ « un militaire sans formation politique patriotique [populaire] n’est qu’un criminel en puissance ». De tout cela, nos camarades burkinabés en concluent qu’« on ne libère pas un peuple, un peuple se libère lui-même!» (Idem pour une classe sociale. NDÉ) Que les masses populaires opprimées par le Capital, et converties en spectatrices impuissantes de leur propre déchéance économique, sociale et morale, cessent donc d’attendre leur salut de l’au-delà, de politiciens corrompus ou des super-héros inondant la TV, et prennent elles-mêmes en main la défense de leurs propres intérêts !
Vincent Gouysse, le 09/02/2022, pour www.marxisme.fr
Source : Les 7 du Quebec
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