La thématique COVID est épuisée. L’argumentaire sophiste hautement intéressé amplifié par les médias semble tourner à vide face à la réalité. Il a surtout servi à bâtir des fortunes colossales et à observer in Vivo des expérimentations de manipulation sociales de masse.
Pour reprendre les éléments de la sémantique officielle, la pandémie supposée du SARS-COV-2 est terminée. Le système de manipulation de masse tente maintenant de récupérer les mouvements opposés aux mesures sanitaires et à la vaccination. Un tropisme inhérent à tout système de gouvernance basé sur la tromperie et le double mensonge permanent.
Le mouvement des routiers entamé au Canada est probablement déjà infiltré et il sera manipulé avant de subir deux options possibles: la première pourrait prendre la forme d’une implosion de l’intérieur après un début de répression de type policier. La seconde est une ingénierie sociale susceptible de rendre le mouvement, en apparence sans leadership fort, en un outil des services spéciaux et donc du pouvoir réel, lequel n’hésitera pas à l’utiliser à d’autres fins (hameçonnage, manipulation, COINTELPRO, propagande, etc.)
Le principe consiste essentiellement à laisser à encourager le développement du mouvement de façon à le liquider plus complètement par la suite. Cette méthode éprouvée de par le passé comporte toutefois des risques de débordement.
Des pays appartenant au groupe du monde dit “libre” sont des systèmes en apparence libéraux mais où tous les aspects de la vie en société sont sous un contrôle étroit et permanent. Ce type de contrôle inspiré par les méthodes de l’Okhrana russe, la Gestapo allemande puis de la Stasi est-allemande ainsi que les méthodes expéditives françaises est bien plus évolué qu’il ne le fut dans tous les pays classés comme totalitaires et bénéficie d’un début d’ubiquité relative avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Ce totalitarisme nouveau basé sur la connectivité forcée des personnes et l’obssession du contrôle social permanent même à travers le jeu met à nu le mensonge permanent de la narration-système sur une quelconque vertu démocratique dont la valeur devait égaler celle de la notion abstraite de la liberté scandée par le régime de la Terreur en France (1793-1794).
Les chaînes des esclaves n’ont jamais disparu. Elles sont devenues plus ou moins invisibles avec le déni du réel imposé comme la principale doxa du système et comme un des piliers de l’éducation des enfants en vue de leur adaptation à leur futur statut d’esclaves d’un système anachronique freinant tout développement humain et allant contre le sens réel de l’histoire.
Un tel système nous a fait régresser de 200 ans en arrière. C’est la raison pour laquelle tout système alternatif à ce système aurait pu permettre à l’humanité d’envoyer des missions habitées sur les lunes de Jupiter et de Saturne entre 1995 et 2005 et une installation sur la lune dès les années 80. Mais ceci est une tout autre histoire.
Source: Lire l'article complet de Strategika 51