Dr Dermot Kearney.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Protect Life/YouTube
10 février 2022 (LifeSiteNews) — Dans notre monde à l’envers, les médecins qui tuent les enfants à naître dans l’utérus sont protégés par la loi, leur perpétration du fœticide ayant été qualifiée de « service essentiel » pendant la pandémie de COVID-19. Les médecins qui tentent de sauver des vies, quant à eux, sont constamment pris pour cible par les militants de l’avortement et leurs alliés dans les médias.
Au cours des deux dernières années, les pays ont, les uns après les autres, généralisé l’utilisation de la pilule abortive, que certains qualifient de façon grotesque d’avortements « à faire soi-même » ou « à domicile ». Dans plusieurs cas, des femmes ont fait l’objet d’enquêtes pour meurtre au Royaume-Uni pour avoir pris des pilules abortives après la limite de 24 semaines fixée pour l’avortement légal. Beaucoup d’autres s’en sont probablement tirées à bon compte.
Il y a quelque temps, sur le podcast de LifeSiteNews, j’ai interviewé l’un des pionniers de la méthode d’inversion de la pilule abortive (Abortion Pill Reversal ou APR), qui consiste à administrer de la progestérone aux femmes qui ont pris la pilule abortive et ont changé d’avis. La progestérone, une hormone naturelle, inverse les effets de la première pilule abortive, la mifepristone. Des milliers d’enfants ont été sauvés grâce à cette méthode de sauvetage (des centaines au Canada), et des photos de bébés nés sains et saufs après que leur mère ait pris la pilule abortive sont devenues virales.
Les médecins désireux d’aider les femmes qui souhaitent inverser les effets de la pilule abortive ont fait l’objet de vives critiques. Les médias progressistes ont systématiquement mené des dizaines d’« enquêtes » au cours desquelles on demandait aux médecins s’ils étaient prêts à prescrire de la progestérone, puis on les « démasquait » comme étant des médecins anti-avortement qui suivaient des méthodes pseudo-scientifiques « dangereuses ». Je connais personnellement des médecins qui ont fait l’objet de telles enquêtes. Les militants de l’avortement veulent rendre impossible aux femmes désespérées de changer d’avis.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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