Quand c’est comme cela, je me remets (ou me remémore) la fumeuse Marche « The Stars and Stripes Forever » à l’instant de la reprise, à une minute cinq environ, si l’orchestre philharmonique respecte la partition, et qui s’entame comme ceci :
« Hurrah for the flag of the free !
May it wave as our standard forever.
The gem of the land and the sea,
The banner of the right ! »
Mais qu’il faut traduire comme cela, en langue de Quenellier, qui est une langue verte de (drôles) d’oiseaux :
« Cett’ fois Sébastien, tu m’ l’a mise
Ce n’est plus ton p’tit doigt qui m’ chatouille… ♫ »
Cela vaut pour les Sébastien, les Pierpoljack et même les Éric, qu’ils portent un truc sur la tête de leur E par sionisme annoncé ou non… Éric que l’on ne fêtera donc pas/plus avec Erika, la petite fleur de bruyère d’une autre Marche du lieu de l’origine, du reste. Enfin, c’est au mois de Mai, alors fais ce qui te plaît…
Et tout de suite, cela passe mieux, qui te confirme que dans le monde des encartés il n’y a pas de doublures.
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