Amour, covid, gloire et beauté
« Je ne m’attendais pas du tout à trouver l’amour sur un plateau de télé, c’était une époque où je travaillais beaucoup, j’étais tout seul dans un petit appartement aux Lilas… Donc c’est vraiment ça qui a le plus changé ma vie. C’est le bon truc que m’a apporté la pandémie. »
Là, c’est carrément le mélange du people et du covidisme, du sexe et de la politique, ça va cartonner chez les gonzesses et chez les mecs ! Le docteur Blachier vient d’avouer qu’il est tombé fou amoureux de l’antivax Marie-Estelle Dupont, la jolie psychologue qui ferraille sur les plateaux contre tous les agents – on a failli dire les virus, comme dans Matrix – covidistes ! Cette love story devrait faire les gros titres de la presse people, mais ce qui nous intéresse, c’est le poids de la femme dans le changement – la transition ! – de Blachier, qui était autrefois provax, et qui devient un anticovidiste de choc. Franchement, y a qu’en France qu’on voit ça.
Voici ce qu’écrit Femme actuelle le 4 février 2022 :
Le couple s’est rencontré en octobre 2020, « une situation assez drôle » aux yeux de Martin Blachier. Car bien qu’ils n’aient pas le même domaine d’expertise, l’épidémiologiste et sa compagne interviennent tous deux régulièrement à la télévision pour parler des effets collatéraux du coronavirus. « Elle a pris très à cœur cette crise, parce que son travail est très impacté également, le Covid est venu envahir ses consultations. Elle a donc une approche plus de terrain, et plus philosophique aussi. On regarde beaucoup les données sur la santé mentale », nous a confié le désormais célèbre chroniqueur. Et d’ajouter, sourire aux lèvres : « Ça nous prend tellement qu’on a du mal à parler d’autre chose, et parfois ça peut créer des grosses tensions. Il y a eu des fois où on n’était pas du tout d’accord ! »
Retour au sérieux : on s’était demandé, sur E&R, ce qui pouvait expliquer le revirement anti-pass et aussi antivax, mais pour les enfants, de l’épidémiologiste qui vendait si bien le covidisme et la psychose aux Français en 2020. Depuis, c’est le contraire : il envoie du bois contre Véran et Macron. Est-ce la force de l’amour, ou la conscience progressive qu’il faut mieux être du côté de la résistance que de la collaboration aujourd’hui ?
Dérapage du PR ce soir qui dit que le pass vaccinal est là pour emmerder les non-vaccinés.
C’est de la lâcheté. Si on veut obliger une partie de la population, on l’assume et on en prend la responsabilité.https://t.co/1RkWxCZXF8
— Martin Blachier (@MartinBlachier) January 4, 2022
Parce que la collaboration, ça commence à coûter, et on ne parle pas seulement de la pression des réseaux sociaux sur les députés LREM. La preuve avec un autre chroniqueur télé, issu de la presse people justement, le pauvre Thierry Moreau. Lui, on dirait que les trois injections ont eu des effets secondaires – voire primaires – directement sur son cerveau…
Tout est parti d’une invitation chez Estelle Denis :
Malheureusement, quand on insulte des Français dans leur globalité, quand on pique le Gaulois, c’est comme avec le vaccin, on provoque des effets secondaires.
Attablé tranquillement, en famille, à la terrasse d’un café parisien.
Un homme s’approche et me dit :« vous êtes un collabo. Le collabo d’un régime dictatorial. Il faut vous taire. Il faut arrêter de parler. Le jour venu on vous retrouvera. Et vous paierez ! »
Ça c’est fait…— Thierry Moreau (@ThierryMoreauTM) February 3, 2022
On appelle ça l’arroseur arrosé : il veut pourrir la vie des non-vax, il se retrouve à se faire pourrir la vie. C’est pour ça que chez nous, jamais on n’insultera les vaccinés. C’est un choix personnel, qui a des conséquences, qu’il faut ensuite assumer. Les effets secondaires désastreux sur les vaccinés, c’est pas la faute des non-vaccinés !
Ceci étant posé, le pauvre Thierry est venu chialer chez son patron, Cyril Hanouna… Où il s’est pris une seconde volée par le pas très « bobo » Raymond.
Tous nos vœux de bonheur à Marie & Martin dans un monde où les Thierry Moreau pullulent, mais la guerre, c’est ça aussi. On vit dans une hostilité permanente, du coup l’amour n’en prend que plus de valeur. Nous aussi, on sépare bien les choses : la guerre le jour, l’amour la nuit, l’un donnant du piquant et de la force à l’autre.
Marie-Estelle, résistante
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation