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Campagne de dons Février 2022
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par Marie-France de Meuron.
Je base mes réflexions sur ce vocable selon son étymologie latine : ex = sortant de, et gregs-gregis = le troupeau, la foule, l’ensemble. Il s’agit de l’énergie émergeant d’une assemblée de personnes animées par une même disposition d’esprit.
Un analyste géopolitique décrit très bien le syndrome du mouton vécu actuellement : Les gens sont malheureux. Oui, mais pas assez pour arrêter cette tyrannie ! – Je ferais mieux de bien me comporter, sinon je vais être puni. – LA PEUR ! – La peur conduit au syndrome du mouton, cette maladie sociale profonde qui nous frappe aujourd’hui. Ils s’en tiennent au récit – ils DOIVENT porter un masque – ils DOIVENT garder une distance de sécurité de 2 mètres – la police veille à faire respecter ses règles…
Un sociologue, directeur de recherche au CNRS, expose lors d’une conférence très dense différents aspects de la gestion de la population : les individus se comportent comme un X abstrait : la peur a été organisée par des projections informatiques abstraites, des modélisateurs qui ne sont par ailleurs pas des médecins, par conséquent déconnectés de la réalité d’une épidémie au sens du suivi de son expression tant au niveau de l’agent pathogène que du vécu de la population.
Il mentionne combien l’attention du peuple a été focalisée sur un « berger » – le « druide marseillais » – afin de faire une immense diversion pour contourner la question centrale qui était celle des traitements précoces, à la fois sur le plan médical et le plan éthique. En même temps, l’espace de soins du troupeau est resserré puisque le système a mis la médecine de ville hors jeu dans une stratégie d’hospitalo-centrisme dramatiquement erronée.
Et pour ceux qui restent en bonne santé, on leur impose aussi un enclos avec le confinement.
Avec des distractions qui laissent songeur : Un magistrat a montré qu’entre octobre 2020 et début avril 2021, il y eut 38 modifications dans le détail des règles jusque dans le détails des annexes du décret.
Pour maintenir les moutons dans un espace bien défini, on leur impose aussi la nouvelle religion vaccinale, point d’arrivée de la doxa, le discours des dominants donc discours dominant la société qui justifie ainsi leur position de domination de diverses façons : c’est nous qui sommes compétents, avec une narration globale qui ressemble à un conte pour enfants : peur du grand méchant loup. La façon dont ce conte est mis en scène provoque une croyance de type miraculeuse.
De la sorte, le « vaccin » revient à un slogan politique d’un simpliste idéal. Certains discours n’ont rien d’autre à dire et le répètent en boucle : « vaccinez-vous ! »
Une autre stratégie est développée de façon globale, ne tenant pas compte de la diversité des être humains : le techno-solutionnisme, en relation avec la techno surveillance qui relève à la fois du solutionnisme et du slogan.
Le côté religieux est visible aussi dans le fonctionnement : Toutes les idéologies divisent le monde en deux : amis-ennemis a fortiori les idéologies religieuses mais pas que. Dans cette métaphore religieuse, on retrouve aussi les boucs-émissaires ce qui permet aux émotions de se défouler.
En fait, il faut tenir compte que tout troupeau a un propriétaire plus ou moins fortuné selon la taille du cheptel. Ainsi, une fondation plus riche que certains états du globe déploie une immense stratégie de trafic d’influence internationale depuis des années, qui rejoignent les stratégies des industries pharmaceutiques. Leur point commun : l’idée simpliste de marketing consistant à dire : « Il faut vacciner pour sauver l’humanité ». Je fais un parallélisme hasardeux avec la situation d’un propriétaire de moutons qui recherche un bénéfice maximal avec la laine et la viande… La Fondation évoquée affirme : « Nous sommes les bienfaiteurs de l’humanité » comme un propriétaire de bétail qui cherche à développer l’économie de la région, voire de la nation !
La vaccination de la masse que représente la population évoque aussi des ressemblances avec celles qui sont généralisées pour les moutons.
Évidemment, on ne leur demande pas un consentement éclairé ! Mais pour la vaccination anti-covid des humains, peut-on parler d’un tel consentement ? Tout d’abord qui est vraiment éclairé parmi les médecins, les préposés à l’injection, les décideurs politiques et autres intervenants ? Apparemment, ils sont tous consentants mais à quel niveau ? Avec un savoir purement mental ou avec des connaissances biologiques du produit injecté et des multiples possibilités réactionnelles des personnes injectées ? D’autre part, peut-on parler d’un réel consentement quand il s’agit d’obtenir un pass sanitaire pour travailler ou voyager, ce qui n’a plus rien à voir avec l’effet vital du contenu de l’inoculation ?
Que reste-t-il de la notion de l’inviolabilité du corps humain qui le distingue en principe de celle d’un mouton ?!
Tient-on compte de la mortalité suite au vaccin anticovid ? Ce qui distingue clairement un mouton d’un humain, est exposé dans une entrevue Debriefing de France Soir (retirée de google) La réalité des humains c’est la complexité. On a 2 idéologies, tout aussi absolues l’une que l’autre. Au milieu des gens raisonnables qui pensent qu’il y a de bons et de moins bons vaccins, des catégories de personnes qu’il faut vacciner et d’autres pas, des âges où il faut vacciner et d’autre pas. où cela peut être utile ou dangereux. Que chaque chose se discute comme pour tous les médicaments d’ailleurs !
Les personnes âgées pensionnaires d’institution ont aussi eu droit à des traitements uniformisés et ne tenant pas compte de leurs besoins individuels : Mourir seul en temps de Covid : rupture de civilisation. « Abrutis par la peur et la douleur, nous avons accepté l’inacceptable […] Elle est partie nue dans un body bag. Elle est partie seule et humiliée. Elle est partie seule, sans faire de bruit. Elle est partie seule et le deuil est impossible ». D’une voix claire et précise où, par moments, l’émotion affleure, Catherine Frot lit le témoignage poignant de Français endeuillés, en colère, qui n’ont pas pu assister leur mère, leur père, dans ses derniers moments… Depuis plus d’un an, par la faute d’une gestion « sanitocratique » de la crise de la part d’une administration ayant établi des protocoles absurdes et inhumains, des milliers de personnes se sont vues interdire de voir leurs familles, dans les EHPAD comme dans les hôpitaux.
Les troupeaux sont aussi représentés par des chiffres : Vacciner les enfants pour améliorer le taux de vax. Non seulement on ne tient pas compte des besoins des enfants de cet âge mais encore on leur porte préjudice.
Un égrégore d’un type nouveau a vu le jour : Dépisteur de Covid : le nouveau job étudiant qui rapporte gros. Depuis que le Covid-19 s’est installé en France, un nouveau job a la cote auprès des étudiants, celui de dépisteur. Les petites tentes blanches ont envahi nos rues, elles se sont installées pour une durée indéterminée devant nos pharmacies. Les Français s’y précipitent afin de savoir s’ils sont porteurs de la maladie. Selon l’enquête de France Info, « plus de 220 millions de tests de dépistage du Covid-19 ont été réalisés, en France, depuis le début de la crise sanitaire ». Il existe un point commun entre tous ces petits centres de dépistage : les « testeurs » ont une vingtaine d’années. On pourrait croire que ces jeunes gens sont en études de santé. Ce n’est pas le cas, loin de là, à en croire France Info : « Les étudiants croisés dans les barnums de Paris viennent de tous bords : architecture, ressources humaines, coiffure, etc. ». Ceux qui ont créé et dirigent un tel égrégore semblent utiliser ces étudiants uniquement pour mener à bien leur entreprise, sans se soucier de limiter le pouvoir de créativité de ces jeunes afin qu’ils puissent jouir plus tard d’une vie professionnelle épanouissante.
Un égrégore de certains journalistes a pris de l’ampleur. Un article signé Jean Paul Baquiast qui nous présente le livre du journaliste allemand Udo Ulfkotte, ancien journaliste d’investigation du grand média allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung. Son titre traduit en français : « Journalistes achetés – Comment les politiciens et la finance dirigent les médias de masse ». Bien sûr, les médias de masse ne se sont pas bousculés pour faire la promotion de cet ouvrage …
Bien des enseignants sont entrés dans le jeu des mesures sanitaires, en les imposant et se soumettant docilement à la doxa, tout en scotomisant leurs sentiments. Un réalisateur en illustre les dérives possibles dans Dérapage, un petit court métrage pour introduire un fascisme qui ne dit pas son nom mais dont Laurent Firode brocarde les dérives de trois personnes qui relatent cela avec l’émotion du devoir accompli.
Les êtres humains possèdent des potentiels et des capacités bien plus élargies que les animaux. Ainsi, certains se réveillent et se révèlent vivement après avoir traversé 2 ans de covidémie; ils se posent la question, forts de leurs observations en eux et autour d’eux : Dois-je faire ma prochaine dose ? Une spécialiste en génétique développe une question très peu étudiée jusqu’à présent : Question fondamentale et non résolue : Jusqu’à quand peut-on stimuler notre capacité immunitaire ? En effet, chacun devrait récupérer son immunité totale et ne pas la conditionner à des aléas qui forcent notre système à produire des AC inadaptés.
De leur côté, des officiers sortent résolument du troupeau de l’armée : 3 hauts gradés de l’US ARMY dévoilent le scandale des vaccins.
Ceux qui ont eu l’illusion de croire qu’un peuple se laissait mener comme un troupeau ont oublié que lorsque des moutons se rassemblent volontiers, ils peuvent se mettre en route selon leurs impulsions motrices et leurs élans de vie. En effet, contre toute attente, ce ne sont pas les professionnels de la santé qui sont montés au front mais bien les camionneurs qui en ont ras-le-bol de « toutes les mesures » anti-Covid liberticides
Parmi le troupeau des médecins, il peut se trouver des béliers (mouton mâle non castré et capable de procréer !) : qui définissent l’hypocrisie d’un système moribond : Que vaut une vie ? Poser cette question est déjà violence… La violence est partout dans notre monde, mais la pire n’est-elle pas celle qui avance sans montrer son vrai visage ? Ce médecin dénonce également l’objectif cynique et pervers servi par une bonne intention de façade.
Il existe même un égrégore de scientifiques qui fréquentent les hautes sphères de l’esprit humain ! Parmi eux, un médecin décortique avec brio dans une conférence du Conseil scientifique indépendant, dès 1h11’30’’ sur quels moyens le système s’arrogeant le droit de dominer la situation coronavirale s’est appuyé pour réduire la population en un troupeau soumis.
source : Le Blog de Bien-être-soi
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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