Dans l’enfer des banlieues islamisées de Grigny, une jeune femme nous raconte son quotidien, bien loin de la présentation impersonnelle qu’en font souvent les médias. Son prénom a été modifié pour conserver l’anonymat, par crainte de représailles verbales et physiques. Tribune.
Je m’appelle Naïma* et je suis en détresse. Je vis à Grigny dans l’Essonne et je n’en peux plus. Le reportage de « Zone interdite » diffusé samedi n’en finit plus d’alimenter la polémique. Je ne comprends pas pourquoi « Zone interdite » ne s’est pas intéressé à la ville de Grigny, sachant que la situation y est encore pire qu’à Roubaix.
Grigny, c’est la ville ou Coulibaly a grandi, c’était déjà un petit voyou, et les barbus qui recrutent les jeunes perdus se sont régalés avec lui. Quand ces jeunes revenaient de Syrie, ils nous disaient à nous, les jeunes femmes, de nous marier et de porter le voile.
Nous ne sommes que du bétail : on nous demande en mariage quand nous passons entre les étals des marchés – lorsque nous sommes célibataires sans enfants et considérées comme vierges bien sûr. Aujourd’hui, ils mettent le voile aux petites-filles même lorsqu’elles sont encore bébé, pour les « habituer », « leur apprendre la pudeur ». Leur vie est déjà tracée du berceau jusqu’au cercueil : elles devront se taire, être soumises, et toujours dépendre d’un homme comme au bled.
Lire aussi : Révélations : Les ex-musulmans convertis en France ou l’enfer des persécutions
Philippe Rio, notre maire, a été élu « meilleur maire du monde » : c’est une plaisanterie qui ne me fait pas rire du tout. Ce maire qui a fait un jumelage avec la Palestine – pourquoi cet attachement à la Palestine ? – est un pur islamo-gauchiste, et ce n’est pas parce que je suis d’origine maghrébine que je vais me priver de le dénoncer. Notre édile ne vit même pas dans la ville. Il dispose d’un appartement à Grigny et fait croire que c’est sa résidence principale. Il réside en réalité à Paris dans le IVe arrondissement, pendant que nous devons subir quotidiennement des agressions sexuelles. Parce que quand vous n’êtes pas voilée et que vous marchez sans mahram (tuteur de la femme en islam) dans la rue, vous êtes « la reine des putes ». Les femmes voilées essayent d’ailleurs de ramener les autres dans le « droit chemin », un chemin de silence et de souffrance.
Ne pas porter le voile, c’est se faire injurier pour un oui ou pour un non. Que l’on travaille, que l’on fasse des études, peu importe : si vous n’êtes pas voilée, vous n’êtes pas une femme bien. De ce fait, les hommes s’autorisent à vous faire des propositions indécentes et vous agressent sexuellement. Si vous n’êtes pas voilée, vous méritez d’être violée et de recevoir des coups. C’est cela la charia.
À Grigny, c’est le KGB islamique qui fait la loi. Même lorsque je fais mes courses, ils surveillent ce que j’achète : si c’est du vin ou du porc. Et si je n’achète que de la viande halal, ils se permettent encore de me reprendre sur mon « absence de pudeur » : « Maintenant, habille-toi correctement ! » Ils vont même jusqu’à surveiller ce qu’il y a dans le fond de nos culottes, c’est-à-dire si nous avons des amants, si nous sommes mariées, avec qui et pourquoi.
Ce que l’on ne vous dira jamais dans les médias, c’est que certains meurent d’avoir observé le ramadan alors qu’ils étaient gravement malades
Nous n’avons pas une seule boucherie, ni même une boulangerie, ou un restaurant qui ne soit pas halal. Ce sont toujours les mêmes communautés qui tiennent les commerces.
Durant le ramadan c’est la catastrophe, la police religieuse se sent pousser des ailes. On m’interpelle : « Pourquoi tu fais pas le ramadan, t’as pas honte ? ». On ne peut même pas manger dehors sans subir des réflexions. Certaines mangent en cachette, disent qu’elles ont leurs règles ou bien qu’elles sont malades.
Ils poussent même les diabétiques à jeûner. Ce que l’on ne vous dira jamais dans les médias, c’est que certains meurent d’avoir observé le ramadan alors qu’ils étaient gravement malades. Faites un constat durant les périodes de ramadan : les urgences sont remplies de jeûneurs !
L’Aïd : au secours. Le maire fête toujours l’Aïd avec les communautés musulmanes. Il se maintient en place grâce aux intégristes qui veulent la charia à tout prix (à tel point qu’en 2007, ils avaient transformé un local poubelles en mosquée). Maintenant, ils ont plusieurs salles de prière et une mosquée à côté du commissariat. L’imam de Grigny fait des prêches pour que les musulmans votent en faveur du maire, alors que Grigny est la ville la plus pauvre de France.
Lire aussi : Saïd Oujibou, un pasteur qui a la rage
Ici, les gosses deviennent dealers dès l’âge de 10 ans et des petits de 5/6 ans font la « chouffe » (guettent la police). Les écoles sont des déserts éducatifs et les écoles coraniques en profitent pour prendre le relais. Soit les gosses sont livrés à eux-mêmes, soit ils sont encadrés par des dealers ou des salafistes. Or bien souvent, les barbus sont aussi des dealers. C’est grâce à l’argent de la drogue qu’ils ouvrent des commerces.
Les jeunes adolescentes de 12/13 ans, si elles ont le malheur d’être vues en train de fréquenter des garçon, finissent violées dans des caves, ou même dans les toilettes du collège. À partir du moment où elles ont été violées, elles sont considérées comme des moins que rien et n’importe qui peut abuser d’elles puisque ce sont des « filles faciles ». C’est ce qui est arrivé à la pauvre Shaïna. Où sont les féministes de gauche pour dénoncer ces atrocités ? Beaucoup de filles violées sont ensuite prostituées ou mariées de force, quand elles ne sont pas tuées pour « sauver l’honneur de leur famille ». Je rappelle que nous sommes en France. Elles sont aussi nombreuses à finir par se voiler de la tête aux pieds pour ne plus être violentées.
Il ne se passe pas une journée sans que je ne sois sur mes gardes. J’ai été suivie en voiture, agressée plusieurs fois et, désolée de le dire, c’était par des Maghrébins ou des convertis. Ceux-là deviennent aussi obsédés sexuels que ceux qui naissent dans des familles musulmanes.
Combien d’adolescentes françaises de confession musulmane partent « en vacances au bled » et ne reviennent jamais ?
Je connais Roubaix et croyez-moi, Grigny c’est pire, c’est l’enfer ! L’enfer du salafisme, de la drogue, de la prostitution et de la pauvreté. Il y a encore beaucoup à dire sur cette ville épouvantable. En 2001, l’imam a forcé sa propre fille de 13 ans à épouser un blédard de 30 ans ! Évidemment, tout le monde avait donné raison à l’imam, sauf la justice. J’ai moi-même échappé à ce sort de justesse. Mon père voulait me marier à l’âge de 11 ans. Heureusement que j’étais en France. Combien d’adolescentes françaises de confession musulmane partent « en vacances au bled » et ne reviennent jamais ? Là-bas, on brûle leur passeport, puis on les emmène chez leur futur mari (souvent choisi pour elles à leur naissance). Pour la « nuit de noces », si elles ne sont pas dociles, elles seront au pire attachées, au mieux droguées. C’est d’ailleurs le sort subi par ma propre mère à l’âge de 16 ans.
Ma mère a quitté le bled pour que je puisse échapper à l’islamisme, en France. Mais c’est l’enfer pour une femme de vivre à Grigny. Impossible d’avoir des activités normales et des plaisirs simples comme s’installer à la terrasse d’un café, ou porter une robe, sans être considérée comme une traînée, avec toutes les conséquences que cela implique. Je ne cède pas, même si c’est très dur car je suis isolée. Mais je ne survivrai pas encore longtemps dans cette jungle islamiste et communiste.
Source : L’incorrect.org
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme