Temps terminal, celui des derniers héros. Au bout de cinq jours, nos routes ont été presque dégagées et nous avons pu… enfin sortir de chez nous. Les pompiers ont coupé les arbres tombés, le retour à la normale est donc annoncé… pour ce dimanche. D’où le virage dans la propagande, déjà perceptible à travers les médias du Régime et pas seulement. COVIDisme, morts et hôpitaux sérieusement effondrés. Entre temps en Argolide les oranges ont gelé par milliers, et le pays risque autant de perdre… son dernier vrai jus. La Grèce à sec, y compris à Épidaure.
Chaos installé, d’ailleurs sous forme de dépossession généralisée comme d’effondrement provoqué, tel est notre Régime de la nouvelle terreur ; il faut dire largement intériorisée par tant de moutons humains sur le point d’être abattus, après leur ultime déconnexion. À Athènes, dans certains hôpitaux le courant a été coupé, les générateurs n’ont pas fonctionné, personne n’avait prévu ce qu’il fallait pour dégager la neige… ou la vie, et l’approvisionnement n’est pas venu non plus.
Les langues se libèrent désormais chez certains hospitaliers pour nous apprendre par exemple “que les malades COVID sont restés sans chauffage et sans nourriture, de même que les hospitaliers”. Et quand le Régime applique son Grand Reset méta-médical jusqu’au bout, plusieurs milliers d’hospitaliers seront exclus du système dès le 1er février, puisqu’ils ne souhaitent pas passer par la troisième dose vacciniste.
Une certaine presse… non conventionnelle, rappelle à son tour combien la figure historique de Claus Schwab traverse notre actualité depuis près de cinquante ans, publiant des photos du personnage, tantôt aux côtés de Kissinger, tantôt auprès des politiciens marionnettes, ou marionnettisés de jadis comme de toujours.
On y découvre donc ce Schwab en préparateur de commandes au service de la caste des initiés satanistes, avec Mitsotákis le vieux parasite et Premier ministre dans les années 1990, avec Samarás le lugubre, pion au même poste sous les premières années de la Troïka éternelle, comme enfin, aux côtés d’Andréas Papandréou, alors Premier ministre du PASOK socialisant, quand par exemple ce dernier rencontra son homologue Turc Turgut Özal, leur rencontre avait été très précisément organisée par Schwab.
La caste des préparateurs, prépare alors… les jeunes espoirs qui incarneront la vitrine politique vingt à trente années plus tard, enfants d’abord issus de la sous caste des familles arrivistes Khazaro mafieuses ou alors recrutés auprès des “nationaux”, si possible un peu bâtardisés, et au besoin rituellement sodomisés donc violés durant leurs études harvardiens, pour bien faire entrer dans leur cervelle de moineau, le vieux mode d’emploi d’exécutants sociopathes… face aux peuples des humbles et des gentiles. Ainsi, nous sommes passés de la catastrophe, celle déjà du capitalisme métastasé… au méta-capitalisme socialisant, conduisant tout droit à la catastrophe pour tous, sauf pour la caste.
Ainsi, comme le révèle cette photo d’un vieillard hospitalisé et en réalité abandonné, divulguée à travers la presse et prise par un hospitalier quelques instants avant le trépas ; on réalise qu’en Grèce, la dernière même dignité est aussi morte sous le Régime actuel.
Ou sinon, comme alors le suggère un dessin paru dans la presse, “on ne meurt pas de froid mais de pauvreté”. Au même moment car c’est de saison, la gouvernance des parasites annonce la suppression prochaine de nombreux hôpitaux régionaux, voire athéniens. Retour donc à la Grèce des années 1950… en attendant les prochaines suites dans la zombisation OTANesque de l’Europe depuis l’Ukraine des années 2020. Après tout, le temps n’est qu’illusion, et d’abord pour les éternels martyres asynchrones.
Le Resetisme est de mise partout décidément, quand par exemple, les funds rapaces ayant récupéré le cadavre provoqué de la Banque Agricole, bradée pour 90 millions d’euros, rapaces omnivores introduits dans le fruit grec par les salopards de Tsípras, de Mitsotákis, de Samarás et de Papandréou, pour ne citer que les mafieux dont la tête dépasse alors bien trop, menacent de saisies, désormais sur l’ensemble des éleveurs du pays, étant donné que l’augmentation de coûts que ces derniers subissent depuis trois ans, font qu’ils ne peuvent plus affronter leurs dettes, et cela de manière comme on dit… définitive.
“Nous prévenons que si certaines mesures minimales ne sont pas prises, nos fermes ayant couté plusieurs milliards, construites avec notre sang et notre travail deviendront des cercueils, des milliers de paysans supplémentaires seront déracinés, les grandes productions de lait et de viande seront remplacées par des importations et le déficit de la balance des paiements du pays sera aggravé”.
Peine perdue, car tel est le but de la manœuvre. Et sur le terrain, les génocides s’arment de patience… “au lieu de s’armer tout court”, comme me le dit mon cousin agriculteur depuis notre Thessalie, terre natale.
Temps passé, épisode neigeux, et la mort, pas que dans l’âme. Pourtant, ces Grecs que les initiés veulent exterminer jusqu’au dernier, n’auront pas dit leur dernier mot, ou en tout cas, leur dernier chant populaire.
Cette semaine, ce qui en reste du pays réel, a pleuré Yórgos Tromáras, son dernier héros populaire de la… pauvre force physique, comme surtout de l’intégrité morale. Emporté par un AVC à l’âge de 75 ans, les amis de Tromáras ont composé un chant, fredonné pendant ses obsèques ; un authentique chant Rebétiko pour ainsi honorer notre Patrocle bien à nous.
Temps terminal, celui des derniers héros. Chez nous, Hermès a fait l’apprentissage de la neige, quand ils ne s’occupe pas des cartons, pendant que Mimi s’est mise au soleil, derrière la fenêtre, devant les cartons.
La trajectoire de l’hitlérisme nouveau est en soi claire et irrationnelle ; Athènes que nous sommes sur le point de quitter est déjà synonyme d’un creux alors béant.
En Argolide les oranges ont donc gelé par milliers, à l’image des hôpitaux. Grèce qui perd son dernier jus, ce que nos futurs et hypothétiques touristes devront peut-être avoir en vue en visitant ce pays de… Damoclès et des tyrans, de préférence comme on sait sous le seul soleil.
Décidément, dernier jus.
source:http://www.greekcrisis.fr/
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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