Le mardi 25 janvier 2022 est une journée historique pour le sport français, et précisément pour ce nouveau sport, pas encore validé par le CIO, qui consiste à obtenir un pass sans se faire vacciner. On pourra appeler ça le pass antivaccinal, tant la course au pass – à tout prix ! – est devenue le quotidien de millions de Français. Ce jour-là, 500 000 « cas » de covid ont été dénombrés par les autorités, qui ne s’attendaient pas à un tel succès. Hélas, cela confirme l’insuccès de cet autre sport, beaucoup plus dangereux, qui consiste à se faire injecter dans l’épaule une substance indéfinie aux origines peu connues et aux conséquences possiblement désastreuses pour la santé.
La presse, en retard comme toujours sur les mouvements sociaux ou sociétaux, qui avait encouragé les tests de masse sous la pression du gouvernement, s’est donc retrouvée à jouer contre ce même gouvernement qui voulait juste pousser les gens à la vaccination. C’est le contraire qui s’est passé, et la vaccination, que ce soit pour la dose 1, 2, 3 ou même 4, est au point mort. Il semble que la mode de l’injection à ARN messager soit passée, après un bel été 2021 où le Président en personne avait mis le marché entre les mains de ses compatriotes : pas de piqûre, pas de vacances ! Eh bien, les vacances, les Français ont fini par en prendre de force, éjectés qu’ils ont été de leurs boulots, de leurs bureaux. La Macronie peut alors claironner que jamais les (ré)embauches n’ont été aussi nombreuses !
Maintenant, dès qu’on a réussi son test – ce nouveau jeu de grattage qui peut rapporter 6 mois de tranquillité pour seulement 20 à 40 balles, la fin de la gratuité n’ayant rien changé à l’engouement –, on a le droit à 10 jours d’ITT, à quelques appels à fonds perdus de la Sécu, et ensuite au retour à la vie sociale complète : resto, café, ciné, théâtre et compagnie. On peut parier que dans ces 500 000 contaminations miracle, il doit y avoir pas mal de doublons, mais ça, c’est la faute à la répression sanitaire. La tyrannie finit toujours par se tirer une balle dans le pied. Le Monde rend compte du miracle mais semble ne pas comprendre :
Selon les chiffres publiés mardi 25 janvier par Santé publique France (SPF), 501 635 nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés en vingt-quatre heures – du jamais-vu depuis le début de la pandémie. Mais pour lisser les à-coups statistiques, il faut considérer la moyenne quotidienne sur sept jours, qui est stable par rapport à la veille, avec 366 000 cas.
En effet, si on multiplie cette moyenne de 366 000 gagnants par jour, mettons sur 30 jours, on obtient 11 millions de gagnants au pass antivaccinal. Ces 11 millions pouvant, on dit bien pouvant, correspondre aux double vaccinés qui ne veulent pas de la 3e dose. Même chez les octogénaires, ça renâcle. Chez les enfants, la vaccination forcée est au point mort. Quant aux double vaccinés, on sent une réticence atomique devant les rassuristes du pool médico-gouvernemental.
45% de triples doses !! A ce rythme – macron aura la moitié des français à emmerder !! Réveillez vous !! Ce sera bientôt votre tour pic.twitter.com/lrjJD6UJ0V
— . Or-well.BⓩH (@GillesWell) January 26, 2022
Ironie de l’histoire, les rassuristes étaient l’an passé ceux qui disaient que la grande masse des gens (98 %) ne risquait pas grand-chose avec ce virus grippal. Aujourd’hui, ce sont les agents médiatico-politiques qui jouent les rassuristes pour faire gagner plus d’argent à Bancel & Bourla, et pour faire de chaque citoyen européen, à terme, un numéro numérique suivi par toutes les autorités imaginables. Ce certificat numérique arrive à grands pas, et on peut dire merci à la grande corrompue à la tête de la Commission, qui ne cache même pas son inclination pour Bourla. C’est énorme !
« Ils ne peuvent pas mettre en place le système du crédit social à la chinoise en Europe d’un coup…sinon les gens se révolteraient.Donc ils le font par étapes. Le but du #covid19 était de créer le système : la technologie et l’infrastructure… C’était la première étape… » https://t.co/cTVDblstzW
— La Contrerévolution en marche (@bmichel7) January 26, 2022
Heureusement pour l’oligarchie, la paire Véran-Delfraissy nous prépare l’après-Omicron, qui n’a pas vraiment cartonné pour leurs affaires, qui a même fait baisser les profits de leurs sponsors.
Bye bye Omicron. Du coup, les VRP de Pfizer nous sortent le nouveau produit : le Ba.2 ! Que nous dit l’homme en meilleure santé de France, pétant de santé par tous les pores, notre exemple à tous de clarté et de sincérité ?
Sous-variant d’Omicron ➡️ “Le BA.2 est un petit cousin d’Omicron. Il est plus transmissible encore mais la question : quelle va être sa gravité ?” dit Jean-François Delfraissy. “Il est déjà en France et serait en train de devenir majoritaire en Inde.” pic.twitter.com/onVe9uWcCb
— franceinfo (@franceinfo) January 25, 2022
BA.2, c’est le nom de la nouvelle entube de l’hiver, retenez-le bien, pour votre prochain jeu de grattage.
C’est nouveau !! Ça bien de sortir —/ Le gouvernement l’a rêvé .. BFM l’a fait au Danemark on a trouvé un variant indetectaaable. !!! pic.twitter.com/FJmdn9juom
— Or-well.BⓩH (@GillesWell) January 26, 2022
Mais que les Français qui se font tester (positifs) en masse ne se réjouissent pas trop vite : les pharmaciens ont quelque chose à vous dire.
Mince, on espèce que les millions de gagnants récents au pass antivaccinal ne vont pas être disqualifiés pour cause de froid ! France Info, comme à son habitude, est là pour dénoncer les mauvais citoyens et remonter l’info aux gouvernants de la tyrannie sanitaire :
Les test antigéniques n’aiment pas le froid. Les autorités sanitaires alertaient déjà il y a un an et elles le rappellent alors que le nombre de dépistages anti-Covid-19 explosent. Ces tests exposés à une température trop basse, en dessous de 2°C, peuvent générer une série de faux positifs. En cause : la délicate réaction chimique au moment où l’on verse le diluant sur la petite cassette qui nous indique si on est porteur du virus.
En plein hiver, ce risque existe, surtout que de nombreux Français vont se faire tester dans des barnums de pharmacie installés dans la rue. Pour en parler, capuche sur la tête, les pieds collés au petit chauffage d’appoint, Alan attend les patients sous l’une des deux grandes tentes blanches installées sur la place du Trocadéro, dans le 16e arrondissement de Paris, serré contre sa collègue. « Ici, on est fort frigorifiés ! Par exemple, là bas, c’est ma tente, mais comme on n’a qu’un chauffage, du coup, je me suis mis avec elle », avoue-t-il.
Covid-19 : les tests réalisés dans le froid sont-ils vraiment fiables ? Les explications de Lionel Barrand, président du Syndicat national « Les Biologistes médicaux », sur franceinfo pic.twitter.com/Ss3yitbIAs
— franceinfo (@franceinfo) January 28, 2022
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation