Les stéréotypes sur la Grèce ont la peau dure, surtout en plein hiver. Les plus téméraires ont certes surfé dès ce janvier sur les vagues de l’Attique, sauf que depuis, les températures se situent autour ou en dessous de zéro Celsius et à Athènes, déjà il neigeote. Rien de très exceptionnel en réalité, sauf que nous représentons dignement en cette capitale près de ce 40% du parc que l’on appelle encore immobilier, dépourvu de chauffage central, voire, sans chauffage tout court. Et dire que nous devrions peut-être nous occuper de façon très urgente de la météo du futur… ce n’est pas gagné.
Car décidément, l’époque se montre de plus en plus cruelle, pour ne pas dire impitoyable, aux plus apathiques, comme autant aux mieux pathétiques de l’esprit d’entre nous tous. La vergogne domine et sa vermine avale alors tout. Le dernier méta-capitalisme, celui que les initiés de la Fabian Society ont copieusement mijoté depuis 1884 ne ressemble plus à grand-chose… de traitable, tant il est déjà énorme.
L’Hybris, elle est globale, et elle est autant acosmique. En ce long hiver grec, les scandales liés aux crimes politiques, économiques, sexuels, en somme satanisés comme ontologiques, d’ailleurs perpétrés sous une petite musique déjà transhumaniste, défrayent largement la chronique depuis plusieurs semaines. Toute la crème brûlée des politiciens marionnettes, des ecclésiastes démoniaques et des jeunes loups de la ploutocratie sont de la partie, sans oublier aussi ceux d’en bas, Grecs ou allogènes, lesquels alors sombrent aussi parfois dans l’infamie.
Il y avait un peu moins de deux siècles car sitôt après sa Révolution nationale des Grecs contre l’atroce joug ottoman, que les initiés internes comme xénocrates en étaient devenus les maîtres, toute cette bande des politiques dont l’usage touche à sa fin, vu qu’ils seront remplacés dans pas longtemps par les véritables automates si rien n’arrête les… démons de la planète.
Depuis une semaine donc, toute la presse finit par évoquer… malgré elle, l’affaire de Georgía Bíka, jeune femme de 24 ans, victime de viol collectif et qui vient d’éclater étant donné que la victime a eu le courage de témoigner. Attirée d’abord dans un hôtel de luxe par un barman complice, lequel lui aurait servi un verre d’alcool… augmenté par ces substances neutralisant largement sa conscience.
La dite Justice n’a pas pu fermer les yeux une fois n’est pas coutume, ou en tout cas, elle fait semblant. Car les coupables présumés font partie de la crème des initiés richissimes, dont les deux fils de la famille Khazaro-grecque des Levéntis-David, propriétaires pour la Grèce et pour Chypre du… célèbre Coca-Cola, ainsi que leurs amis également satanisés et fils d’armateurs.
Le crime a eu lieu à Thessalonique et ce n’est pas la première fois et encore moins une affaire d’amateurs. Il s’agit en réalité d’une filière… accomplie de violeurs, de drogués et potentiellement de grands criminels. Tous proches, ou amis du pouvoir politique, encore et toujours. D’après le reportage, une patrouille de Police, y était sur place à proximité, au moment du crime… pour plutôt couvrir ces salopards. Et l’affaire grossit encore et chaque jour davantage.
D’abord, il y a eu Lina Mendóni, cette initiée de ministre de la Culture ayant accepté avec allégresse le don de la fondation des Levéntis, destiné à moderniser le musée de Délos. Elle a même signé l’accord avec le fiston violeur présumé, au moment même où l’affaire venait d’éclater. Quelques jours après, et seulement sous la pression… du scandale, elle a fait marche arrière. Rappelons enfin que c’était sous la signature de cette même Mendóni, que Dimítris Lignádis, violeur et pédophile désormais en prison, l’ami de Mitsotákis, avait été placé à la direction du Théâtre dit national.
Ensuite, il y a ce jeune, dit « follower » sur Instagram qui prend la défense des violeurs mais qui est tout de même suivi par Mitsotákis, ce qui ne passe guère inaperçu il faut dire. Et ce n’est pas tout. Certains, à l’instar de Zóis Béglis du mouvement « Ellas 21 », prétendent ouvertement que la famille David représente l’encrage permanent de Bilderberg en Grèce, quand une certaine presse surnommée populaire, comme le journal appartenant à Stéphanos Chios, journaliste disons habitué des services de renseignement, avance « que l’affaire serait alors en train d’être étouffée si possible d’en haut ».
« Antónis Samarás, ancien Premier ministre de la Nouvelle Démocratie, placé depuis quelques années à la tête d’une ONG… caritative, fondée par la famille David-Levendis, de même que Níkos Déndias, l’actuel ministre des Affaires étrangères, tous deux, exerceraient-ils des pressions pour que l’affaire puisse être étouffée ou sinon minimisée ».
« Dans le même ordre… d’actions caritatives, ceux de le Grande Loge de Grèce, en tant que courroie locale de la… Loge mondiale, auraient téléphoné au Chef de la Police en charge du dossier à Thessalonique, lui demandant… l’allègement de l’instruction en cours. En échange, le bonhomme serait promu chef de la Police ». Inutile de rappeler que Samarás et Déndias appartiennent au groupe des Khazars hellénisés, et ils sont également bien importants parmi ceux de la bande des… initiés « en local », comme on aime dire parfois d’après la novlangue du Régime.
Puis, les photos déjà publiées ces dernières années circulent de nouveaux, pour montrer les deux violeurs accusés, accompagnés de leur mère en bimboïde plutôt mûre, posant aux côtés du gotha actualisé du méta monde médiatique, politique et culturel. On y découvre pêle-mêle, l’acteur pédophile et violeur Lignádis, ami de Mitsotákis et incarcéré, dont un premier procès pour quatre viols aura lieu en février prochain, le chanteur Daláras, l’animateur Aliagas, entre autres. Visiblement, tout ce monde connaissait de près ou de loin ces jeunes loups de la ploutocratie… prometteuse et promotrice.
Déjà, l’avocat de Georgía Bíka se dit inquiet, « car certains éléments lesquels auraient pu alimenter l’instruction du futur procès disparaissent déjà mystérieusement », tandis que l’avocat des violeurs… visiblement plus à l’aise dans sa démarche que son confrère, alors agresse physiquement Georgía Bíka à sa sortie du Tribunal. Comme ce dernier était membre de SYRIZA, Tsípras s’est tout de même précipité pour le rayer des listes de son parti. Donc tout va bien.
Dans sa lutte, Georgía, apparaît dans les médias de manière éponyme, elle dénonce des actes criminels, révèle les noms des auteurs et attend que la… Justice grecque fasse ce qu’il faut. Son courage est mémorable, malgré les menaces dont elle est déjà victime. Il est très difficile pour une jeune fille de composer avec les monstres, ces petits riches ayant de leurs « connaissances » politiques et culturelles un peu partout.
« Surtout, quand elle dénonce les chambres de luxe que ces criminels louent dans les hôtels en Grèce et à l’étranger pour pratiquer les viols collectifs et la consommation de drogues, à travers un comportement finalement banalisée pour cette supposée élite de la société grecque ».
Les auteurs plus que présumés, semblent s’être échappés sans encombre jusqu’à présent, car personne, et en particulier encore moins une jeune femme orpheline et de province, ne pourrait les renverser de leur trône. Disons que c’est raté, ainsi, la célèbre société de boissons gazeuses Coca Cola en Grèce s’est empressée d’annoncer que les fistons de la famille Levéntis, « n’ont aucune implication directe au sein du groupe ». Les bulles gazeuses auront donc pour leur grade.
L’affaire fait tout de même penser au film « Eyes Wide Shut », le dernier de Stanley Kubrick, sorti en 1999. Au-delà de ce que Wikipédia, l’encyclopédie des initiés écrite pour les… goyim, rapporte au sujet du film, son action est bien plus profonde, déjà du point de vue de l’histoire.
Ce qui impressionne le plus dans le film, tient de la scène du rituel sexuel « magique », au son d’un chant ecclésiastique roumain lu et enregistré… à l’envers. Ce secret de la scène nous ramène plutôt dans le temps, d’il y a au moins trois siècles. Car le scénario est basé sur le roman « Dream Story » du dramaturge juif Arthur Schnitzler, né en 1862 à Vienne de parents aisés… dont la famille avait en quelque sorte baigné dans les vagues toujours perceptibles d’un certain frankisme.
Rappelons que les frankistes ont été nommés de la sorte d’après leur chef Jacob Frank, lesquels dès le milieu du XVIIe siècle avaient – soi-disant – embrassé le catholicisme romain chrétien, mais en fait, ils suivaient un certain gnosticisme orgiaque juif, dont la pratique de cérémonies sexuelles furent appelées « Éteindre les lumières ».
En Autriche, plusieurs centaines de francistes sont baptisés chrétiens et acquièrent ainsi des titres de noblesse et appartiennent sitôt aux couches sociales aristocratiques supérieures et puissantes du territoire des Habsbourg. Arthur Schnitzler a donc grandi près de ces couches sociales, et des aspects de ce monde du rêve cognitif, déguisé en symbolisme psychanalytique, figurent justement dans le roman de « Dream Story » – « La Nouvelle rêvée ».
Et bien sûr, le réalisateur Stanley Kubrick, connaissant les pratiques rituelles de ces cercles viennois particuliers, a apporté ses propres touches. Les… gourous du cognitivisme par la sexualité, auront donc tenté de se débarrasser des conséquences de la Chute primordiale, d’éliminer les contradictions et le stress existentiel qu’elles engendrent afin de vivre l’état prétendu premier de l’androgynie.
C’est alors sous cet angle de l’histoire mieux parallèle que jamais, qu’il va falloir lire ou relire les affaires courantes… des fils à Baphomet du moment, à Thessalonique comme alors partout ailleurs. Notons au passage que Thessalonique est la ville natale de Bourla… le vétérinaire en chef de Pfizer et des vaccins visiblement bientôt à usage « ésotérique ». Et il serait peut-être temps pour notre grand nombre d’hypnotisés et à terme exterminés sur Terre et de plusieurs manières… que de sortir enfin de la remorque de l’Histoire. Pas si facile…
Enfin, et pendant que nos chats chercheront toujours à se faire les griffes à un endroit immédiatement visible par nous autres encore habitants du pays réel, ce n’est pas un hasard non plus, si par exemple, le concert des satanisés Iron Maiden prévu à Athènes en juillet 2022, affiche déjà pratiquement complet. Sur 69 618 places à vendre seules 400 sont encore disponibles ; donc d’en bas aussi, l’adhésion à l’Hybris demeure disons-le, « émouvante ».
Les stéréotypes sur la Grèce ont donc la peau dure, même en plein hiver. Il a neigé du côté des Cyclades comme il va reneiger à Athènes. Et entre tant de viols collectifs et simultanés… c’est alors ce bien peu qui reste de l’âme et du corps du pays qui disparaît. Pays sinon « collecté » à jamais si rien ne les arrête, par les envahisseurs instrumentalisés sous l’autre branche des satanisés, c’est-à-dire, Soros et la classe politique, dont la famille Mitsotákis qui travaille avec et pour Soros, pour ne rien oublier du petit reste au Grand Reset.
Car pendant que les médias se focalisent sur l’affaire des fistons violeurs, les habitants de Chios en lutte contre la construction chez eux d’un nouveau campement-ville pour envahisseurs dits « migrants », diffusent comme ils le peuvent une courte vidéo qui résume à elle seule la situation qui prévaut chez eux en mer Égée, de même qu’en Thrace. Partout, on y construit ces villes nouvelles… pour une population nouvelle.
Et ce remplacement de la population grecque est désormais visible à l’œil nu, surtout dans les grades villes et du côté des îles, de même que la crise qui frappe bien largement l’économie… déréalisée. L’un, ira comme on sait avec l’autre. Ainsi, la presse locale de Tríkala en Thessalie, publie la photo du coin des tavernes locales… pratiquement sans clients un vendredi soir, le pass vaccinal étant aussi passé par là.
L’hiver donc. Loin, très loin de janvier 1966, quand le grand acteur Thanássis Véggos, partageait les morceaux de la Vassilópita, gâteau incontournable du moment en Grèce, l’équivalent de la galette des rois en France, c’était au sein de son théâtre. Notre acteur regretté, incarne pourtant toujours l’archétype du Grec d’en bas, faisant face aux transformations de la société des années 1950-1960, exprimant sur un ton comique et ironique les mêmes dénonciations, que celles formulées par la composante mieux directement politique du cinéma grec de l’époque.
Ou, pour le redire ainsi, nous devrions nous occuper de façon enfin urgente de la météo du futur, car ce n’est pas gagné.
Et dire aussi que Mimi de Greekcrisis vient d’entrer dans la dix-neuvième année de sa vie de chat, et que Psipsíka d’en bas, chatte adespote du coin, sort tout juste de la remorque de sa petite et bien mystérieuse histoire.
source : http://www.greekcrisis.fr
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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