Ces comportements irrationnels de diplômatie française, ne sont point nouveaux en Afrique. Figurez-vous qu’en Côte d’Ivoire, du 19 Septembre 2002 au 11 Avril 2011, la France a tellement usé de subterfuges incongrus pour faire tomber le Pouvoir d’alors incarné par SEM Koudou Laurent GBAGBO. Pour ceux d’entre les africaines et africains de la CEDEAO qui ont suivi et analyser objectivement la situation politique de cette période, de la rébellion à la crise post-électoral, point n’est besoin de microscope pour savoir que tout ce qu’il se passe au Mali à pour un seul responsable : la France. Ce qui paraît encore bizarre, la présence des mêmes voyous au Mali, au Niger et en Côte d’Ivoire, même si pour le moment cette tendance n’est pas à un niveau critique c’est-à-dire un niveau de massacre de populations civiles comme militaire tel que nous le voyons notamment au Burkina-Faso. 《On ne change pas une équipe qui gagne》 dit l’adage. L’occupation des pays par la projection militaire sur des territoires tiers fait partie de la nouvelle doctrine de la néo-colonisation des États africains par les puissances occidentale coalisées au sein de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Ceci rentre dans ke cadre d’une nouvelle géopolitique visant à mettre la main sur les pays d’Afrique Centrale et d’Afrique de l’Ouest avant les nouvelles puissances émergentes telles que la Russie, la Chine et pourquoi pas la République Islamique d’Iran qui s’affirme de plus en plus comme une puissance avec laquelle il faut compter. Ceci n’a été possible qu’à cause du réveil économique de la Chine. Les puissances occidentales avec à leur tête Washington, constatant la montée fulgurante de la Chine dans l’économie mondiale, et celle de la Russie au plan militaire qui devient vraisemblablement une très grande puissance militaire, sinon la plus grande devant l’US Army avec de nouvelles technologies militaires que même les États-Unis d’Amérique ne possèdent pas dans ses arsenaux, alors il faut les contenir dans ma mesure du possible,en les privant des matières premières africaines. Seulement, en l’état actuel des choses, nous n’allons plus nous laisser berner par les chants d’allouettes de ces vautours.
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