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La « pandémie du coronavirus » proclamée à la face du monde au début de l’année 2020 a permis de mettre en lumière les grands acteurs et lobbyistes de l’industrie pharmaceutique. Avec le désormais célèbre Covid-19, les grandes firmes liées au secteur de la santé ont eu l’occasion de démontrer au grand public l’étendue de leur pouvoir corrupteur et leur capacité à mettre en œuvre diverses manipulations pour imposer un narratif favorable à leurs « actions ».
En effet, depuis maintenant deux années nous vivons sous l’égide d’une véritable dictature sanitaire mondiale. Cette pandémie pro-vaccin était néanmoins prévue de longue date comme l’avait annoncé la revue Nexus ou comme l’avait encore « demandé » Jacques Attali dans une tribune publiée à l’occasion de la grippe H1N1 en 2009.
Évidemment attirés par les profits colossaux, les géants de la santé n’ont pas hésité à jouer un rôle fondamental dans le récit que les grands médias et les gouvernements servent aux populations depuis maintenant 24 mois. En cette époque post-démocratique d’instauration du pass vaccinal en France, il nous est quand même encore permis de nous demander en quoi ces sociétés ont eu un intérêt à collaborer à ce nouveau paradigme (qui in fine décrédibilise une grande partie de leurs activités) au-delà de la seule question du profit.
Face à la colère populaire qui monte, ne sont-elles pas en train de scier la branche sur laquelle elles sont assises ?
On le voit chaque jour, la tyrannie sanitaire amène des gens éveillés à se questionner sur leur propre santé et sur un système immunitaire naturel. Nombreux sont ceux qui se tournent vers des réflexions et des connaissances historiques plus proches de la médecine traditionnelle ou l’humain avaient encore une place centrale.
D’ailleurs cette pandémie a également révélé qui étaient les véritables médecins et soignants, jetant un grand nombre de professionnels de santé du côté de la corruption et du mépris des populations à leur égard. Alors pourquoi les sociétés pharmaceutiques, au-delà de la logique des profits colossaux engendrés, perdurent à se vautrer dans la fange des manipulations et du mensonge autour du Covid-19 ?
La réponse est simple et vous la connaissez déjà ! Big Pharma, comme tous les autres secteurs, ne peut plus être pensée comme une industrie indépendante. Elle est en réalité l’une des têtes de l’Hydre du système oligarchique qui souhaite nous imposer le projet de Nouvel ordre mondial.
La santé : un marché colossal en pleine expansion
Avant la crise du coronavirus, en 2019, d’un point de vue financier, il est vrai que le marché pharmaceutique représentait déjà presque 1 000 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
Les cinq premiers groupes à l’échelle mondiale par le chiffre d’affaires global étaient Johnson and Johnson, Roche, Pfizer, Bayer ou encore Novartis. Ces sociétés mastodontes du secteur pharmaceutique représentaient à elles seules environ un quart du marché, et seule une vingtaine d’entreprises de ce même secteur réussissaient à atteindre les 10 milliards de chiffres d’affaires.
Mais autant vous dire que l’année 2020 (début de la pandémie) – et 2021 (année du vaccin) écoulées, ont constitué un âge d’or pour l’ensemble de ces firmes. Évidemment, l’un des cœurs de l’industrie pharmaceutique, est le secteur des vaccins qui est particulièrement concentré. Cela s’explique par le fait que sa production nécessite des investissements considérables (notamment des flux financiers importants vers la recherche et développement, qui représente à elle seule, bien souvent jusqu’à un cinquième voire un quart des chiffres d’affaires d’une société).
Les vaccins, une affaire rentable
Avant la « pandémie », cinq laboratoires se partageaient 80% du marché : Johnson & Johnson, Pfizer, Merck, GSK et le laboratoire français Sanofi. Au total 27 milliards d’euros en 2019, représentaient le secteur du vaccin soit 3% du marché du médicament.
En 2020 le marché du vaccin a évidemment explosé, l’ensemble des grands laboratoires et firmes de la santé s’est lancé dans une course pour produire des vaccins contre le nouveau coronavirus. Elles ont dû adapter leurs productions industrielles à l’échelle planétaire, par conséquent le chiffre d’affaires de ces firmes composant Big Pharma a explosé.
La firme américaine Pfizer a logiquement atteint en 2021 un chiffre d’affaires proches des 36 milliards de dollars, porté évidemment par ses ventes de vaccins anti-Covid. Le laboratoire start-up Moderna a de son côté, vu ses ventes annuelles atteindre une somme proche de 20 milliards de dollars. Tandis que le grand groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson a engrangé 2,5 milliards de dollars de revenus issus de son vaccin anti-covid.
Évidemment ces chiffres ont de quoi donner le tournis, quand avec le recul on constate une efficacité très médiocre, selon les spécialistes sans conflits d’intérêts. Bien sûr, à écouter les très crédibles Jean Castex Premier ministre et son ministre de la Santé Olivier Veran, les vaccins à ARNm sont efficaces et ne sont pas dangereux. Il nous faut donc impérativement faire confiance à la vaccination de masse et à la « sainte Science »…
D’ailleurs, on le constate avec les autres exécutifs des pays occidentaux (Mario Draghi, Biden, etc.), le combat contre le coronavirus (peu dangereux) n’est en réalité pas du tout l’objectif de nos dirigeants. Leur mission est relativement simple : vacciner l’ensemble des peuples du monde avec une injection expérimentale sur plusieurs périodes répétées. Pour quels motifs me direz-vous (en dehors de la domestication des populations et des profits de Big Pharma) ? Nous ne le savons pas encore…
Ce « plan » pourrait être taxé de « complotisme », néanmoins il avait déjà été minutieusement décrypté dans une revue intitulée Nexus en avril 2019, soit quelques mois seulement avant la pseudo pandémie mondiale…
Une industrie aux nombreux scandales
Pourtant quand on s’y intéresse quelques instants, on pourrait quand même avoir quelques doutes légitimes sur les fabricants de ces injections expérimentales (contrairement à ce que dit notre Pinocchio national Oliver Véran) censées sauver le monde depuis plusieurs mois, d’une épidémie qui ne tue que peu de personnes (120 000 morts en 2 ans en France) et qui voit les cas flamber depuis la vaccination de la quasi intégralité de la population.
Dans cet article nous ne parlerons évidemment pas du scandale ayant impliqué l’entreprise pharmaceutique Johnson & Johnson accusée d’avoir favorisé la dépendance à des médicaments antidouleurs (Oxycontin) au moyen de campagnes de promotion trompeuses et qui a été déclarée coupable et condamnée par des tribunaux américains.
D’ailleurs dans cette affaire au retentissement médiatique important plusieurs laboratoires ont été poursuivis devant les juridictions US dont le célèbre Purdue Pharma, qui a dû régler quand même 270 millions de dollars avant le procès. Grâce à ce scandale, en 2019, l’opinion publique US et même Occidentale, a pris conscience de la responsabilité de l’industrie pharmaceutique dans la crise de santé publique qui a fait plus de 400 000 morts en 20 ans, selon les chiffres du centre américain de prévention des maladies (le fameux CDC du docteur Fauci).
Nous ne parlerons pas non plus du plan de faillite du laboratoire Purdue de septembre 2021 validé par la justice Américaine qui a fait que la famille Sackler, accusée d’avoir alimenté la crise des opiacés aux États-Unis, a proposé 4,3 milliards de dollars pour solder les poursuites, le plan prévoyant également d’accorder l’immunité aux membres de cette même famille.
Du côté des sociétés pharmaceutiques stars de la vaccination anti-covid-19, nous n’évoquerons pas non plus les condamnations de Pfizer qui s’est vu obligée à verser une amende record de 2,3 milliards de dollars aux autorités américaines pour avoir fait notamment la promotion abusive de plusieurs médicaments.
Ou encore une amende de 60 millions de dollars pour la corruption de médecins et de représentants de gouvernement, afin d’y accroître ses affaires et ses ventes. Ces dernières années de multiples condamnations concernant Pfizer ont été prononcées aux États-Unis, Grande-Bretagne, enquêtes portant sur des pots-de-vin en France (affaire Cahuzac-Rocard), Grande-Bretagne, Chine, République tchèque, Italie, Serbie, Bulgarie, Croatie, Kazakhstan et Russie… ce qui n’empêche pas notre gouvernement de mettre Pfizer sur un piédestal.
Pour ce qui des autres grands groupes nous ne citerons pas non plus une affaire vieille de plus de deux décennies, qui a vu en 1999, la société Hoffmann-Roche devenue Roche a plaidé coupable et a été condamnée à rembourser une amende de 500 millions de dollars pour entente illicite avec BASF et Rhône Poulenc. notamment sur les prix de diverses vitamines. Ou encore une affaire liant Roche au géant pharmaceutique Novartis, avec qui en mars 2014, elle fut condamnée par l’autorité de la concurrence italienne à des amendes de 182,5 millions d’euros également pour « entente illicite ».
Et enfin pour finir nous ne traiterons évidemment pas d’une enquête de février 2018, ou le parquet grec a lancé des poursuites pour corruption contre un dirigeant en Grèce de Novartis, et demander au Parlement d’éclaircir le rôle d’anciens ministres dans un dossier de pots de vin présumés. Ou encore le scandale Novartis-Michael Cohen sur les conflits d’intérêts et les informations autour de la politique de santé américaine de Donald Trump et son ancien avocat Michael Cohen.
Gardez néanmoins tous ces noms de firmes en mémoire car nous allons retrouver la plupart d’entre elles à l’occasion des solutions anti-covid.
Suivre l’argent : trouver les ombres
Ce qui va davantage nous intéresser ici dans cet article, plus que les activités frauduleuses de Big Pharma en elle-même, que nous subissons quotidiennement à coup de propagande, de fausses informations, de mesures coercitives et attentatoires à nos libertés fondamentales depuis maintenant presque de 2 ans, c’est de savoir qui sont les acteurs derrière ces grandes sociétés du complexe pharmaco-chimique ?
Qui tire les ficelles ? Qui donne les consignes ? Qui sont les fondés de pouvoir et les valets ?
On a déjà évoqué la famille Sackler, mais si on mène une brève enquête on s’aperçoit très rapidement que les structures qui tiennent le secteur de la santé à l’échelle mondiale, sont exactement les mêmes que celles qui contrôlent les banques, les médias, le complexe militaro-industriel ou encore les grands groupes du secteur agroalimentaire.
Et parmi ces structures on retrouve évidemment les familles historiques du capitalisme transnational. En effet, derrière cette crise du coronavirus, se trouvent encore les mêmes acteurs du capitalisme financier nomade et apatride. Au-delà de la crise sanitaire (qui serait encore plus résiduelle si les malades avaient été soignés avec les traitements précoces notamment), la pandémie qui a lancé le « Great Reset est » en vérité l’un des points de départ de la plus grande opération de spoliation de l’histoire.
Certes le vaccin est certainement là pour éliminer en qualité et ou quantité de potentiels rivaux de l’oligarchie (concernant la consommation de ressources et richesses) mais il n’est pas l’alpha et l’oméga, malgré le fait que les lettres grecques soient en ce moment très à la mode avec les variants (Delta- triangle) et (omicron- petit o- œil).
En effet, les acteurs de la Grande réinitialisation élaborant les consignes par l’intermédiaire notamment de Davos et de son Forum économique mondial, sont les mêmes qui siègent dans les conseils d’administration des grandes sociétés financières et qui susurrent à l’oreille de nos dirigeants.
En réalité depuis 2020, les dirigeants valets, les Macron, Draghi, Biden, Johnson et Cie sont désormais tenus d’un côté par la propagande médiatique covidienne et de l’autre par la logique financière de la dette qui n’a pas terminée de s’envoler et d’exploser notamment grâce à cette pandémie (atteignant maintenant 256% du PIB mondiale en 2020). La dette véritable instrument de coercition contre les nations (comme le passe sanitaire pour les populations) devra être remboursée quoi qu’il en coûte… comme l’a encore très bien rappelé l’employée de l’hyperclasse Christine Lagarde sur France Inter, il y a quelques jours.
Les gestionnaires d’actifs ou l’autre visage de Big Pharma
Pour comprendre cette mainmise et la toute-puissance des gestionnaires d’actifs dans le secteur pharmaco-chimique il nous suffit de procéder à une vérification non exhaustive des participations des grands gestionnaires d’actifs dans les firmes de santé dans cette crise covidienne.
Les deux plus connus sont évidemment BlackRock et Vanguard, mais il est également important de citer également leurs complices, notamment State Street Funds Management, Wellington Management Company, Capital Recherche and Management, Northern Trust Investements. On va le constater ces grands groupes par l’intermédiaire de participations croisées et d’influences tacites, possèdent en réalité presque l’intégralité du secteur pharmaceutique.
Mais alors en quoi ce lien entre les plus grandes firmes financières et les sociétés pharmaceutiques géantes est-il si important ? Tout simplement parce que les géants pharmaceutiques sont les protagonistes principales du narratif hystero-sanitaire et de la réponse formulée à cette crise du Covid-19.
Depuis quelques mois, les gouvernements (à l’image de notre ministre de la Santé Véran) sont simplement devenus des VRP de ces grandes sociétés. Celles-ci sont pourtant en train de mettre en danger par la vaccination de masse, l’ensemble des populations du monde par un récit officiel mensonger autour du coronavirus. Et pour faire avancer le dévoilement de la vérité autour de cette « mascarade pandémique » et espérer un jour traduire l’ensemble des responsables devant des tribunaux, il nous faut comprendre qui sont les décisionnaires véritables, qui ont poussé, conçu, un récit frauduleux pour accroitre leurs profits (financiers et politiques).
Car bien que les grands gestionnaires d’actifs indiquent avoir une gestion passive, en réalité ils ne se privent pas du tout d’imposer leur vision et stratégies aux sociétés dans lesquelles ils détiennent des parts importantes. Prenons l’exemple de BlackRock. Si le rocher noir estime que ses positions n’ont pas été suffisamment prises en compte, il vote contre la réélection des administrateurs jugés les plus responsables de la mauvaise stratégie de la société. La firme de Larry Fink a aussi de nombreuses fois, encouragé l’élection annuelle des administrateurs. D’ailleurs l’évaluation des conseils et le respect du principe « une action-une voix », que le rocher noir considère comme « démocratique », lui donne surtout une puissance colossale dans la prise des décisions à l’intérieur de ces firmes.
Évidemment, il est nécessaire de garder en tête que les ratios d’actionnariat changent fréquemment, car les BlackRock, The Vanguard Group achètent et vendent régulièrement. C’est pourquoi il ne faut pas s’attarder sur les différents pourcentages, mais se focaliser sur la présence de ces firmes dans les « tops actionnaires ».
Dans le paragraphe qui va suivre, nous nous sommes amusés à photographier les différentes participations des gestionnaires d’actifs au sein des géants pharmaceutiques composants Big Pharma (avant ou pendant cette crise pandémique covidienne). L’essentiel à comprendre est que les gestionnaires géants comme State Street, BlackRock et Vanguard, etc. individuellement et combinés représentent, comme vous allez le constater, un pouvoir d’influence colossale sur ces groupes et sociétés de l’industrie de la santé.
Ainsi, si par exemple on se penche sur la liste des principaux actionnaires de Pfizer au 22 novembre 2020 (au tout début du lancement du vaccin) on retrouve :
- The Vanguard Group – 7,74%
- State Street Funds Management 5,20%
- Capital Research and Management (World Ivestors) 4,66%
- Wellington Management Company. 4,51%
- Capital Research and Management 2,56%
- BlackRock Fund Advisors 2,42%
- Northern Trust Investements 1,24%
- Norges Bank Investement Management 1,07%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien du site zonebourse : PFIZER INC.
Pour ce qui est de la société AstraZeneca dont le vaccin n’a pas connu un grand succès en Europe, car rapidement catalogué comme responsable de thromboses à répétition, voici la liste des principaux actionnaires au début de la campagne mondiale de vaccination, le 29 mars 2021 :
- Wellington Management Company. 5,22%
- Capital Research and Management (World Ivestors) 4,27%
- BlackRock Investement Management (UK) 4,16%
- The Vanguard Group – 2,70%
- Norges Bank Investement Management 1,88%
- BlackRock Fund Advisors 1,72%
- BlackRock Advisors (UK) 1,20%
- State Street Funds Management 1,06%.
Les vaccins de cette société sont désormais envoyés de manière prioritaire au pays du tiers-monde.
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : ASTRAZENECA-PLC.
Quant à Johnsson and Johnsson, sa liste des principaux actionnaires avant même la proclamation de la crise, le 12 janvier 2020 s’établissait de la manière suivante :
- The Vanguard Group – 8,45%
- State Street Funds Management 5,76%
- BlackRock Fund Advisors 2,53%
- Northern Trust Investements 1,31%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : JOHNSON-JOHNSON.
De son côté la société GlaxoSmithKline (GSK), longtemps accusée d’être le propriétaire réel du laboratoire P4 de Wuhan, a bien dans ces tops actionnaires les groupes BlackRock et Vanguard. Cependant le lien entre GSK et le laboratoire P4 de Wuhan a été timidement démenti, mais il n’est pas du tout impossible qu’il existe bel et bien plusieurs connexions entre cette société et le laboratoire chinois (sous tutelle de l’État) responsable officieux de la plandémie, rien qu’en matière de recherche et de flux financiers.
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : GLAXOSMITHKLINE.
Il est à noter que GSK s’est, elle aussi, lancée dans un traitement contre le Covid-19.
Ensuite la société Merck qui était et est encore le plus gros producteur d’ivermectine (l’un des médicaments étant utilisé dans certains traitements précoces du Covid-19) bloqué par les grands gouvernements et les médias, est elle aussi sous contrôle :
Puisque la liste des principaux actionnaires de Merck au 1er novembre 2021 était composée de :
- The Vanguard Group – 8,49%
- Capital Research and Management (World Ivestors) 5,48%
- State Street Funds Management 4,51%
- BlackRock Fund Advisors 2,19%
- Wellington Management Company. 1,91%
- Northern Trust Investements 1,23%
- Capital Research and Management (World Ivestors) 1,14%.
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : MERCK-CO.
Enfin, pour en finir avec ces listes non exhaustives des principaux actionnaires, retenons celle de la société ROCHE au 20 juillet 2021 :
- Norges Bank Investement Management 2,84%
- The Vanguard Group 2,63%
- BlackRock Fund Advisors 1,58%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées vous pouvez consulter ce lien : ROCHE-HOLDING-AG
Le grand public n’a peut-être pas encore entendu parler de cette société dans les médias à la différence des Pfizer, Johnson and Johnson, Moderna, etc. pourtant le rôle de l’ancienne Hoffman-Roche est fondamental car c’était tout simplement la première entreprise pharmaceutique du monde en 2020 en matière de chiffre d’affaires. Et on pourrait se dire naïvement qu’elle a loupé le coche de la course de la vaccination anti-covid.
Mais en réalité, il n’en est rien, c’est même elle, qui a décroché le premier « pactole » grâce à un autre outil de la pandémie. En effet, cette pandémie de Covid-19 ne repose concrètement que sur les tests– et les cas positifs. Ainsi pour entretenir un narratif de peur, les tests sont en réalité, l’un des éléments de base de cette crise sanitaire pilotée intégralement par Big Pharma.
À l’heure actuelle, les « tests covid » représentent une facture de plus de 6 milliards d’euros pour la France… Certains avancent même le chiffre de 10 milliards. Ainsi, au début de cette crise planifiée, en mars 2020, la division Roche Diagnostics avait déjà réalisé une étape importante avec l’approbation de son test de diagnostic du Sars-Cov-2 capable d’analyser 1 400 à 8 800 échantillons en 24 heures. Le 13 octobre 2020, Roche avait également communiqué sur le lancement d’un nouveau test antigénique, Elecsys SARS-CoV-2 Antigen, pour diagnostiquer la présence d’antigènes spécifiques à la Covid-19.
Nous ne relancerons pas le débat sur la qualité et le rôle des tests dans cette crise mais ce qui est certain c’est que tous les grands acteurs de Big Pharma étaient positionnés pour profiter de la crise. Et même s’il est vrai certaines start-up comme Moderna ou Biontech (BlackRock évidemment présent parmi leurs actionnaires) ont su tirer leurs épingles du jeu, en s’adossant à ces mastodontes., tous les poids lourds ont su se positionner.
On le constate donc tous les gestionnaires d’actifs se sont placés à l’occasion de la pandémie. Ce qui est étrange c’est de constater très souvent les mêmes noms dans l’actionnariat de Big Pharma. Dans cet article, la liste n’est évidemment pas exhaustive mais à chaque fois les mêmes noms des grands acteurs sont relativement peu nombreux et reviennent très souvent. Les grands gestionnaires d’actifs sont tous présents et ont des participations croisées dans ces sociétés.
Les grands gestionnaires d’actifs : un monopole qui ne dit pas son nom
Cependant le scandale ne s’arrête pas là. On pourrait se dire que le fait qu’il existe plusieurs grands groupes financiers qui contrôlent les laboratoires rend cet état de fait quand même acceptable et que ce n’est pas si étonnant. En réalité, il n’en est rien. Nous sommes bien devant l’un des plus gigantesques monopoles de l’Histoire de l’Humanité. La concentration financière et politique est presque totale. Même John D. Rockefeller s’il était encore de ce monde, pourrait rougir d’un tel niveau de monopolisation et d’opacité financière.
Car cette fois, à la différence du XIXème siècle, les quelques mains qui possèdent le grand capital mondial sont cachées derrière les paravents de sociétés écran, holding multiples, participations croisées entre rivaux et bénéficient du monde offshore parfaitement développé depuis les années soixante-dix. Mais n’en doutez pas, la consanguinité financière caractérise encore une fois ce grand monopole de l’ombre.
Il nous suffit d’étudier le cas du gestionnaire d’actif le plus connu, BlackRock, et sa liste des principaux actionnaires du 3 octobre 2020 pour s’en convaincre :
À la première place, on retrouve bizarrement son « grand rival » The Vanguard Group – avec 5.67%, puis en seconde position Capital Research and Management 5.27%, puis State Street Funds Management 3.34%, puis Wellington Management Company 2.95%, BlackRock Fund Advisors 1.84% ou encore Norges Bank Investement Management 1.80%
Pour les positions des actionnaires et participations actualisées, vous pouvez consulter ce lien : BLACKROCK-INC.
Quelle étrange conception de la concurrence libre et non faussée… En réalité, on comprend donc bien que toutes ces grandes firmes se tiennent entre elles, se contrôlent et s’entendent pour se partager le gâteau des richesses de l’économie mondiale. Évidemment pour ce qui est des véritables propriétaires de BlackRock, The Vanguard Group (mettons de coté la propagande qui explique que ce sont en fait Monsieur et Madame tout le monde), des indices et des articles émettent plusieurs suppositions, mais tout le monde sait d’instinct que ces firmes appartiennent et sont contrôlés par les mêmes grandes familles du capitalisme financier apatride et mondialisé dont les noms sont connus et reviennent épisodiquement sur le devant de la scène internationale depuis désormais presque 2 siècles.
Le groupe Vanguard est historiquement le principal actionnaire de BlackRock. Cependant contrairement à ce qu’on pourrait penser, Vanguard est très certainement plus important dans ce système opaque de pillage des richesses du monde. Tout simplement car cette société (qui existait bien avant BlackRock) a été la firme précurseur sur les ETF (Fonds négociés en bourse). De même que la Wellington Management Company fut historiquement le premier grand gestionnaire d’actifs.
The Vanguard Group (le groupe de l’Avant Garde) et la Wellington (du nom du bourreau de Napoléon à Waterloo) Management Company sont des « nœuds » d’un milieu que l’on pourrait désigner comme la finance de l’ombre car leurs structures et actions sont encore plus opaques que celle de BlackRock, ce qui rend difficile la lecture des liens avec les grands acteurs historiques et politiques du monde de la finance.
Cependant la plupart des experts ne se font guère d’illusions, bon nombre des familles les plus anciennes et les plus riches du monde sont concrètement liées aux fonds Vanguard ou encore State Street. Des noms dans les organigrammes des sociétés et les réunions des clubs privés trahissent parfois ces secrets de polichinelle.
Les noms Rothschild, Rockefeller, Dupont, Orsini, Medici, apparaissent quelques fois au sein des organes exécutifs de ces groupes.
Ces grandes familles n’ont évidemment pas abandonné leurs places dans les banques mais ont trouvé dans ces nouvelles structures du capitalisme parasitaire, des outils très opportuns pour mener à bien leur projet de captation d’une grande partie de l’épargne mondiale.
Avant les années 2000 et la révolution Larry Fink/BlackRock, les gestionnaires d’actifs n’étaient pas des structures attrayantes pour les businessmans aux dents longues de Wall Street ou de la City, au contraire, ces groupes étaient davantage perçus comme des sociétés aux capacités médiocres.
Ce sont la montée en puissance des ETF (fonds indiciels répliquant par exemple le SP 500 cotations boursières des 500 plus grosses entreprises américaines) et surtout la crise de 2008 qui vont avoir pour conséquence la consécration des The Vanguard Group, BlackRock, State Street…
Évidemment l’influence des gestionnaires d’actifs géants est de nos jours considérable. Non seulement ils détiennent une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises du monde, mais ils possèdent aussi les actions des investisseurs de ces entreprises. Cela leur donne de facto un monopole tentaculaire sur les secteurs les plus importants de l’économie mondiale.
State Street, Blackrock, The Vangaurd Groupe et Cie, véritables paravents institutionnels sont en réalité les ombres du plus gigantesque monopole secret de l’histoire. Bloomberg écrivait deux années avant la crise du coronavirus qu’à eux deux Vanguard et BlackRock pourraient posséder 20 000 milliards de gestion en 2028. Juste pour information en ce début d’année 2022, BlackRock vient déjà de dépasser les 10 000 milliards sous gestion à lui seul !
Le rocher Noir et le groupe de l’avant-garde ont donc entre leurs mains l’ensemble des industries et des grands secteurs économiques (GAFAM/ Big Tech, Big Pharma, Automobile, Défense, agroalimentaire). Pour vous en convaincre il vous suffit de procéder de la même manière que ce qui a été transcrit plus haut dans cet article. Vous allez vite vous rendre compte que les grands gestionnaires d’actifs possèdent tout, de Facebook-Meta, à Alphabet (Youtube-Google), en passant par Microsoft, The Coca-Cola Company ou même encore Tesla.
Les State Street, Blackrock et Vanguard ont la propriété de plusieurs milliers d’entreprises américaines, européennes, françaises dont les chiffres d’affaires approchent plusieurs dizaines de milliards de dollars.
Les trois géants de la gestion d’actifs sont en réalité les plus grands propriétaires mondiaux, ils représentent près de 90 % des sociétés cotées à la bourse américaine le S&P 500. Certains diront que c’est tout à fait logique puisqu’ils sont les maitres des ETF et de la gestion passive, et que c’est leur rôle d’être présent partout, dans tous les secteurs de la vie économique, mais ce constat est fondamentalement faux.
Évidemment, nous pouvons souscrire en partie à ces arguments de bon sens, mais en l’occurrence ce n’est pas leur présence dans les grandes sociétés qui posent véritablement problème et question. C’est bel et bien leurs poids dans l’actionnariat de ces dernières et permanence de leurs poids. Leur capacité financière leur donne un rôle moteur dans notre économie mondiale, sous perfusion financière des banques centrales.
Le Big Three et la World Company
Comme on l’a déjà indiqué, c’est la crise de 2008 (qui n’est toujours pas terminée), qui a permis à ces grands gestionnaires d’actifs anglo-américains de prendre une place démesurée dans l’écosystème du capitalisme mondialisé.
Presque inconnus du grand public avant la crise des Subprimes, ces firmes financières ont ainsi capturé des pans considérables des intérêts économiques, politiques et monétaires et se trouvent désormais être le cœur nucléaire du système financier mondial.
Ces sociétés financières ont progressivement pris le pouvoir et l’influence des grandes banques depuis 2008 car elles permettent aux grands détenteurs de capitaux de contourner les règles prudentielles appliquées à ces dernières. Les banques sont loin d’avoir disparu, mais une partie de l’influence et du pouvoir financier a été concrètement transférée vers ces sombres structures.
Évidemment à force de se développer sans contraintes réglementaires et obstacles politiques, les grands gestionnaires d’actifs, BlackRock, Vanguard, ou State Street, sont certes devenus les colosses du système capitaliste parasitaire mais paradoxalement (malgré leur puissance) ces titans pourraient également être le talon d’Achille de la finance mondialisée, au regard du niveau de concentration de richesses qu’ils ont fini par atteindre en l’espace de moins de deux décennies.
Grâce au Covid-19, on l’a vu, BlackRock gère plus de 10 000 milliards de dollars depuis la fin 2021. On peut constater la même dynamique pour Vanguard (7 900 milliards en mai 2021) et State Street qui gère quant à lui plus de 3.100 milliards sous gestion officiellement. À eux seuls, les trois leaders mondiaux du secteur ont désormais entre les mains « autour de 10 % de la capitalisation boursière mondiale totale ». C’est d’ailleurs BlackRock qui avait indiqué ce chiffre délirant dans l’un de ses communiqués.
Le pouvoir de l’influence
Et comme pour Big Pharma, l’ensemble des grandes entreprises (Google, Meta, Apple, etc.) doivent se soumettre à la vision des nouveaux géants de la finance mondialisée. Cela peut aussi expliquer les vagues de censure médiatique aggravées depuis mars 2020 et la proclamation de la pandémie. Le marché et la censure sont désormais entre ces quelques mains.
BlackRock, Vanguard, State Street « ont atteint une telle taille critique, un tel degré de concentration que nulle entreprise cotée n’ose déroger aux objectifs financiers que ces fonds leur assignent », constate très justement l’économiste Olivier Passet.
La théorie et la doxa officielle concernant les grandes firmes de gestion d’actifs voudraient nous faire croire que ces géants investissent de manière minoritaire dans des entreprises par l’intermédiaire des fameux ETF (fonds indiciels), mais comme on l’a vu en raison de leur consanguinité et de leur poids colossal actuel, il n’en est rien.
Les médias spécialisés nous expliquent que BlackRock, The Vanguard Group n’interviennent quasiment pas dans la gouvernance des grandes entreprises, (la fameuse gestion passive) et les experts expliquent aussi que les gestionnaires d’actifs se « contentent de gérer leur participation comme un placement financier ».
Certains osent même analyser la montée en puissance du rocher noir en disant qu’il s’agit (comme pour Robinhood) « d’une démocratisation de l’investissement », et d’autres disent qu’il s’agit d’un « triomphe de la médiocrité ». Mais ce n’est bien évidemment, ni l’un ni l’autre. C’est une stratégie des « quelques mains » savamment mises en place et que l’on distingue plus précisément depuis 2020.
Si les State Street, Blackrock, Vanguard ne sont pas, il est vrai, techniquement propriétaires des actions qu’ils achètent, ils ont cependant un pouvoir d’ingérence et d’influence concret puisqu’ils votent en assemblée générale et sont potentiellement les interlocuteurs des états-majors des entreprises.
De plus, ces géants financiers se défendent maintenant ouvertement d’être des actionnaires passifs, en témoigne une déclaration de l’ancien patron de Vanguard, Bill McNabb en 2015 qui expliquait que : « par le passé, certains ont pu penser que notre gestion passive s’accompagnait d’une attitude passive en matière de gouvernance, mais en réalité, rien n’est plus faux ».
D’ailleurs depuis la crise du coronavirus, et mars 2020, Blackrock a voté contre les recommandations du management près d’une fois sur trois aux États-Unis.
Désormais comme les unes The Economist pour les complotistes, la lettre annuelle de Larry Fink aux PDG des grandes entreprises mondiales est désormais scrutée analysée et décortiquée par les grands dirigeants, analystes, traders, et journalistes…
Dans les faits ce sont ces fiduciaires hyper-influentes qui dictent aux grands patrons la bonne marche à suivre d’un point de vue stratégique. N’importe quel observateur de bon sens, comprend qu’au regard de leur taille, les entreprises n’ont plus vraiment le choix. D’ailleurs, même les ETF en eux-mêmes posent des problèmes de gouvernance, de démocratie actionnariale et d’antitrust.
Pour preuve, BlackRock a triplé « les effectifs de son service de surveillance des sociétés cotées ». Ainsi, ses fonds peuvent « peser davantage par leurs votes en assemblée générale sur la stratégie et les comportements des sociétés qu’ils avaient en portefeuille ».
Covid-19 et concentration totale de l’économie mondiale
« Nous assistons à une concentration de l’actionnariat inédite depuis l’époque de John P. Morgan et John D. Rockefeller », écrivent les auteurs du rapport de 2017 « Hidden Power of the Big Three ». En réalité les acteurs de cette concentration des richesses n’ont pas changé, les mêmes grandes familles sont à la manœuvre : Rockefeller, Vanderbilt, Rothschild, Oppenheimer, Orsini, Medici … Seuls les noms sur les vitrines ont changé.
Ils sont juste représentés par leurs fondés de pouvoir (Fink, Boggle, O’Hanley, etc.) du moment, et ont à leur disposition des dizaines de grands gestionnaires d’actifs couplés au pouvoir des Bigs Banks (JP Morgan, Goldman Sachs, Morgan Stanley, Bank of America, etc.) et aussi les banques de conseil (Rothschild LCF, Lazard Frères chez nous, pour les fusions acquisitions lucratives des grandes sociétés dont ils sont actionnaires).
Pour cerner l’étendue du rôle majeur des gestionnaires d’actifs, dans l’économie mondiale, il nous suffit de décrire à nouveau la manœuvre de Blackrock à l’occasion de la pandémie débutée au début de l’année 2020.
Comme je l’ai indiqué il y plus d’un an dans mon livre Le Grand Reset en marche et dans mes articles, le 3 mars 2020 : alors que la bourse de Wall Street venait de subir une chute de 35 % en l’espace de quelques semaines, la Fed de Jérôme Powell a pris la décision de faire tapis : pour éviter le cataclysme financier qui devait logiquement se produire face à l’arrêt de l’économie réelle et les montagnes de difficultés et de dettes US et mondiales.
Ainsi, la banque centrale créée en 1913 a pris le parti de « soviétiser» complètement des pans entiers de l’économie US. Souvenons-nous, l’institution financière US a annoncé une intervention sans limite de montant ni de temps, via le rachat d’actions et d’obligations d’entreprises.
Pour simplifier la Réserve Fédérale a remplacé le « marché » (réputé libre et non faussé) pour faire remonter les cours de sociétés qui s’écroulaient. Et vous le savez bien, cette annonce a changé les cours et le cours de l’histoire comme par magie. Car, évidemment tous les cours de Bourse (qui avaient chuté de près de 30%) sont repartis à la hausse et ont même par la suite explosé leurs records.
Néanmoins pour maintenir et faire remonter les cours, l’institution de Jay Powell ne s’est pas gênée pour racheter massivement les fameux ETF des gestionnaires d’actifs, et en particulier ceux de BlackRock… Mais dans cette histoire il y a encore un plus gros scandale. Car pour racheter tous ces titres, la Réserve Fédérale a confié la responsabilité de tous ces milliards et de sa politique à Larry Fink et BlackRock…
L’ETF phare du rocher noir représentait même à la fin du mois de mai plus d’1/4 des achats de la Réserve Fédérale encadrée par le Trésor US d’après le journal les Echos. Ensuite toujours pour ne pas écrouler le système, la Réserve Fédérale a demandé à Pimco et à State Street de participer, eux aussi, à la fête. Ainsi la chose est simple les grands gestionnaires d’actifs depuis mars 2020 contrôlent réellement la politique monétaire américaine comme en témoignent les messages de BlackRock au bureau de Jay Powell et au Trésor US.
Ainsi la Réserve Fédérale a érigé en système les conflits d’intérêts colossaux de firmes financières avec les politiques monétaires. Et ce ne sont pas les nombreux scandales politico-financiers impliquant des membres de la Fed qui fleurissent ces derniers mois, qui vont nous faire changer d’avis. En réalité, l’organisation du vol, de la spoliation par la caste des 1%, est devenue « monnaie courante » au sein du Eccles Building.
La preuve avec les cas présidents des antennes régionales de la Fed de Dallas, Robert Kaplan, et de Boston, Éric Rosengren, qui ont annoncé leur démission en septembre dernier suite à des transactions boursières frauduleuses, et en ce début d’année 2022 c’est maintenant autour de Richard Clarida vice-président de l’institution de présenter sa démission !
Pour ce qui est des délits d’initiés affichés au grand jour, la Réserve Fédérale a fait très fort en 2021… Mais évidemment le contrôle de BlackRock ne s’arrête pas à la Réserve fédérale (qui reste cependant, encore pour quelques mois, la plus importante banque centrale du monde.)
Non l’influence de ces mastodontes se matérialise également en Europe, comme on l’a déjà plusieurs fois énoncé, notamment avec le rôle de la firme de Wall Street auprès de la Commission Européenne.
D’ailleurs, pour faire un lien avec le Big Pharma, dont il était question au début de cet article, il n’est pas anodin de constater que la Commission Européenne de Ursula Von der Leyen (dont le mari médecin travaille pour Orgenesis, firme spécialisée dans la biotechnologie et plus spécifiquement les thérapies cellulaires et géniques) s’est docilement pliée aux exigences de l’industrie pharmaceutique quand ces dernières ont imposé une confidentialité quasi totale sur les aides accordées pour la recherche et sur le coût des achats de vaccins contre le Covid-19, tout en étant conseillé par BlackRock dans plusieurs domaines.
En France, n’oublions pas, que le seul Blackrock, possède de nombreuses actions des grandes entreprises françaises, Total, Sanofi, Publicis, Danone… en gros entre 5% et 10% du CAC40, ce qui peut expliquer pourquoi Larry Fink et ses acolytes ont été invités à déjeuner à l’Élysée il y a quelques mois…
Grandes entreprises et banques centrales sous contrôle
La crise du coronavirus (An I du Nouvel ordre Mondial) n’a fait que renforcer la mainmise des gestionnaires d’actifs qui ont récolté l’épargne de leurs clients fébriles face à la conjoncture.
Désormais, « banques centrales et États marchent main dans la main pour éliminer le risque de sinistralité qui serait coûteux pour la finance. Et les fonds de gestion (…) ont plus que jamais la main sur les choix d’investissement, autrement dit sur la construction du monde de demain », comme l’a très bien résumé Olivier Passet.
Les slogans Build Back Better et le Monde d’Après prennent ainsi tous leurs sens. Passet avance même très explicitement que « c’est le contribuable des générations futures qui paiera pour l’immunité de la finance d’aujourd’hui ». En résumé, même les spécialistes « sérieux » et mainstream décrivent une prise de pouvoir réel des gestionnaires d’actifs au détriment des populations. La crise du Covid a été un colossal écran de fumée, un instrument de domestication des populations et la plus grande opération de spoliation de l’histoire (et elle n’est pas terminée).
Ces derniers mois, BlackRock a fait sauter littéralement tous les records, tout cela dans l’indifférence médiatique générale (trop occupé à vendre la propagande des injections expérimentales inefficaces). Sauf quelques rares médias se penchent actuellement sur la question soulevée par le rocher noir.
On l’a dit plusieurs fois le portefeuille de la firme de Fink dépasse désormais les 10 000 milliards de dollars. Son partenaire Vanguard va dépasser les 8 000 milliards et tous les autres gestionnaires d’actifs restent derrière à des places honorables avec plusieurs centaines de milliards de dollars chacun.
En ce début d’année 2022, la Réserve fédérale entièrement dans les mains de BlackRock et des gestionnaires d’actifs est donc en train, d’écrire le chapitre final de la grande phase monétaire et financière commencée en 1971 avec les accords de changes flottants de Nixon et la décorrélation de la création monétaire avec un système de change or.
En effet, en 2022 la Fed n’a déjà plus le choix. Elle est obligée d’écrire ce dernier chapitre. Soit elle laisse l’inflation galoper et le système financier actuel (roi Dollar) sera dévoré par l’hyperinflation. Soit elle remonte en effet ces taux et/où ralentit sa politique de tapering (rachat d’actifs) et elle provoquera la plus gigantesque contraction monétaire de l’histoire de l’humanité.
Comme d’habitude, l’institution présidée par Powell va essayer de gagner du temps comme elle l’a fait de 2008 à aujourd’hui, en essayant d’adopter des rôles différents en fonction des semaines (Good cop, Bad Cop) mais le temps s’accélère et l’heure des choix importants arrive pour l’Hyperclasse.
Quoi qu’il arrive, le retour au réel semble être acté depuis l’année 2021 (arrivée officielle de l’inflation), et les mois qui viennent risquent d’être assez mouvementés en matière d’actualité financière et monétaire.
Les prochains grands acteurs le FMI, la BRI et les CBDC attendent eux patiemment dans l’ombre pour proposer un remède (le vaccin des monnaies numériques de banques centrales), pendant que l’avant-garde et le rocher noir écrasent et tuent les derniers restes de l’économie mondiale, comme le virus et ses variants étaient censés le faire avec les populations durant cette fausse pandémie du Covid-19.
À coup sûr, la pandémie financière arrive, et peut-être partira elle également de Chine avec la chute programmée du géant de l’immobilier Evergrande. Mais cette fois il y a fort à parier que les dégâts seront cataclysmiques.
Néanmoins cet effondrement annoncé ne doit pas une nouvelle fois nous enfoncer dans la peur, au contraire nous devons croire enfin à une sortie de crise positive pour les peuples. Face à un narratif sanitaire mensonger qui s’étiole de jour en jour, il n’est pas du tout impossible que nous transformions les quelques tremblements populaires en véritable « révolte des nations » face à la Grande réinitialisation.
Comme dirait le golem sortant Emmanuel Macron en période de campagne : « pensons Printemps ».
L’année 2022 et la bataille pour notre liberté ne font que commencer…
source:https://geopolitique-profonde.com/
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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