par Ngel Juuf.
Avant la campagne vaccinale Covid-19, le Togo par exemple figurait au Top 5 des pays africains les moins affectés par Sras-Cov-2. Un délire pour le Sénégal et le Togo que de vouloir vacciner pour une maladie qui ne tue presque plus à travers le monde, à plus forte raison en Afrique…
L’évaluation du risque de survenue d’effets indésirables liés aux médicaments après leur commercialisation, a fait naître la pharmacovigilance chargée de contrôler leur qualité, leur efficacité et leur sécurité avant leur mise sur le marché.
La vaccinovigilance, c’est la pharmacovigilance adaptée aux vaccins. Le groupe de travail CIOMS/OMS donne en 2007, la définition suivante : « La vaccinovigilance est la science et les activités de détection, évaluation, compréhension et prévention des effets indésirables ou de tout autre problème possiblement relié à un vaccin ou à la vaccination ».
Des structures de pharmacovigilance, qu’ils soient gouvernementaux ou indépendants, effectuent le suivi des effets secondaires des vaccins Covid. Selon les données de l’OMS, la vaccination contre la maladie Covid-19 aurait entraîné en moins de 2 ans, 2 457 386 effets secondaires. Alors qu’en 50 ans, on a enregistré 711 effets secondaires pour les oreillons, 5827 pour la rougeole, 15 085 pour le tétanos, 121 988 pour la polio, 272 202 pour la grippe !
• https://resistance-mondiale.com
Le site de pharmacovigilance Eudravigilance déclare déjà au 20 novembre 2021, que les injections ARNm ont entraîné 17 821 décès
• https://www.adrreports.eu/fr/eudravigilance
En France, le cumul des effets secondaires des vaccins en janvier 2022, présente un tableau qui dénombre 25 861 effets secondaires graves, 1262 mises en jeu du pronostic vital et 1467 décès ! Aux USA, en l’espace de 6 mois, la vaccination contre Covid-19 aurait tué 5 fois plus de personnes que la vaccination antigrippe en 30 ans avec ses 1106 décès liés.
Il est convenu que la vaccination contre Covid-19 est en phase expérimentale. Or, par éthique médicale, toute expérience vaccinale est immédiatement suspendue dès les 20 premiers décès ! Pourquoi cette phase vaccinale expérimentale est-elle toujours en lisse si en ce mois de janvier 2022, les bases de données officielles affichent que le vaccin anti Covid fait 36 000 morts en Europe, 25 000 aux Usa et connaît une série mortifère chez les sportifs comme le rapporte l’Agence de presse allemande.
Dans ce contexte de mortalité vaccinale inédite, voilà que le Sénégal et le Togo présentent leurs vœux en cette première quinzaine de l’an 2022, par la publication de communiqués ministériels où il est question de proposer aux enfants âgés de 12 et plus, l’inoculation de produits immunologiques contre Covid 19. Les injections type ARNm sont dans le baluchon vaccinal !
Déjà, les événements gravissimes relevés notamment chez les enfants vaccinés d’Europe, comportent des invalidités physiques, quelque handicap visuel, des hospitalisations. Pire, des décès sont survenus et causés à la grande surprise des médecins traitants, par cyanose, infarctus du myocarde ou embolie pulmonaire entre autres. Du jamais vu chez les couches juvéniles !
Le vaccin ARNm/Covid-19 proposé repose sur un mécanisme pour déclencher une réponse immunitaire selon un modèle uniformisé qui n’a jamais été utilisé dans aucun autre vaccin approuvé pour l’humain. Au plan de la biologie, la réponse immunitaire est individuelle et échappe à tout schéma standardisé. Chaque individu est une combinaison unique de gènes et autant il n’a pas été programmé pour traiter les adjuvants vaccinaux dévastateurs tels le mercure, le plomb ou l’aluminium ; autant il ne l’a pas été pour répondre à un message ARN génétiquement modifié. L’arbitraire est à son comble lorsque les agences des médicaments de par le monde avouent ignorer la composition totale de ces vaccins/OGM autorisés sur le marché ! Les apprentis sorciers de l’ingénierie génétique Covid-19 ont bon dos pour se permettre de jouer avec le génome humain !
À la lumière des risques accrus de myocardite et de péricardite reconnus par la FDA et des témoignages d’effets secondaires graves confirmés, des États qui ont lancé une vaste campagne de vaccination Covid-19, apportent des rectificatifs par la suspension prudente des injections chez les sujets de moins de 30 ans. Que penser alors des enfants que l’on veut exposer aux produits ARNm dont des fabricants eux-mêmes (Pfizer ou Moderna) reconnaissent qu’ils mettent le système immunitaire en berne et ne protègent ni du virus incriminé Sras-Cov-2, ni de ses variants. En d’autres termes, vu qu’on baisse en âge en les ciblant, les enfants sous injection ARNm se retrouvent du coup avec un dispositif immunitaire dégradé préjudiciable. De la sorte, la perturbation de leur système immunitaire obtenue, les enfants vont être invités à leur tour, à se soumettre à la roulote des rappels vaccinaux ARNm !
Une vaccinovigilance indépendante est au service des consommateurs et non des fabricants. À la lumière des effets secondaires des produits ARNm dont certains graves suivis de décès, comment des médecins africains osent-ils les considérer comme des « effets secondaires classiques » ! Les milliers de scientifiques à travers le monde qui déclarent qu’aucun vaccin n’a encore connu une telle suite pathologique hors du commun, sont-ils moins compétents que nos médecins africains ? Bizarre, comme c’est bizarre !
Par définition, les médecins du monde entier ne se sont jamais opposés au principe de la vaccination, si elle a pour finalité, l’immunisation. Cela conforte l’idée qu’en fait, le produit ARNm n’est pas un vaccin puisqu’il ne remplit pas deux conditions essentielles : garantir l’immunisation et empêcher la transmission.
La balance bénéfice/risque défavorable aux produits ARNm et couplée à la réticence empirique à la vaccination Covid en Afrique, invite la politique sanitaire à se mettre à l’écoute de la science médicale. Au cas contraire, une sélection génocidaire des couches vulnérables que sont les enfants advient car leur corps est prêté à la science fiction Covid-19 qui est de plus en plus perçue comme un formatage technocratique de la santé humaine.
À ce sujet, il est louable de saluer l’assaut donné par des milliers d’avocats et d’experts médicaux, de syndicats et d’associations professionnelles ; à travers la publication de Déclarations et le dépôt de plaintes devant les tribunaux, « pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant Sars-Cov-2 et le vaccin Covid-19 » www.csape.international. À cela s’ajoute la soumission de pétitions aux chambres des parlementaires.
En dehors de l’Afrique du Sud et du Maroc placés sous tutelle de firmes pharmaceutiques, tous les pays africains qui ont le moins vacciné, affichent un taux de mortalité Covid au rabais. Qui plus est, avant la campagne vaccinale Covid-19, le Togo par exemple figurait au Top5 des pays africains les moins affectés par Sras-Cov-2. Un délire pour le Sénégal et le Togo que de vouloir vacciner pour une maladie qui ne tue presque plus à travers le monde, à plus forte raison en Afrique qui, outre la jeunesse de sa population, sauvegarde grâce au premier médecin qu’est la Nature et non le labo ; le bunker de son immunité innée, naturelle et adaptative face au coronavirus.
La communauté scientifique sans conflits d’intérêts avec le produit ARNm ou son sujet vaccinal, a lancé suffisamment d’alertes sur la toxicité des injections géniques Covid-19. Des traitements efficaces conventionnels ou naturels, préventifs et curatifs, existent contre cette maladie. Mieux, les enfants sont en bonne santé, sont des accumulateurs à l’abri du portage du virus et ne sont pas concernés par Covid-19 qui ne fait pas de victimes dans leurs rangs.
Comme sous d’autres cieux, les enfants sont rois en Afrique et les familles en sont bien pourvues. Mais, la sarbacane ARNm qui vise des générations cadettes est une menace à long terme pour l’immortalité des aînées. Avec le soutien des scientifiques qui rejettent l’expérience des injections à ARN, la conscience citoyenne auto responsable doit apposer son veto au programme qui veut mettre la santé des enfants au service de la politique Covid-19. Dans l’attente du délibéré des actes intentés contre les injections ARNm pour leur arrêt immédiat, un moratoire doit être exigé jusqu’à ce que des preuves scientifiques justifient le bien fondé de cibler des enfants exempts de Covid 19, une pathologie dorénavant classée dans la catégorie des grippes malgré le virus chimère à gain de fonction qui l’a générée !
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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