1. Nouveaux cas d’infection: une pandémie de vaccinés; 2. Nouvelles hospitalisations: statistiques biaisées; 3. Nouveaux cas aux soins intensifs: la stigmatisation des non-vaccinés; 4. Machine de propagande nazie; 5. Le fascisme du mondialisme; 6. Crime contre l’humanité?
1. Nouveaux cas d’infection: une pandémie de vaccinés
Le site vaccintrackerqc.ca/cas-et-hospitalisations donne des informations sur la COVID-19 au Québec. Il se présente par des graphiques avec courbes; mais, en pointant notre curseur sur divers points de ces courbes, on obtient des données chiffrées à telle ou telle date.
J’ai calculé, à partir de ce site, la moyenne des nouveaux cas de COVID-19 pour les vaccinés et les non-vaccinés pour les quatre journées du 1er novembre au 4 novembre 2021, et pour les quatre journées du 6 janvier au 9 janvier 2022.
Cela a donné que dans cet intervalle de deux mois le pourcentage de nouveaux cas chez les vaccinés à deux doses a plus que doublé, passant de 36,1 % à 77,1 %; celui des non-vaccinés a baissé des deux tiers, passant de 61 % à 18,7 %; et celui des vaccinés à une dose a grimpé de 2,9 % à 4,2 %.
On ne peut donc sûrement pas dire aujourd’hui qu’il s’agit d’une pandémie de non-vaccinés.
Également, compte tenu de ces proportions respectives, c’est très discriminatoire d’interdire aux non-vaccinés l’accès à des commerces comme la SAQ et la SQDC, car il y a quand même quatre fois plus de vaccinés contagieux que de non-vaccinés contagieux.
Legault a déjà dit qu’il faut « protéger les non-vaccinés contre eux-mêmes ». Ce serait plus honnête de dire qu’il faut les protéger contre les personnes vaccinées.
2. Nouvelles hospitalisations: statistiques biaisées
La moyenne des nouvelles hospitalisations pour les quatre journées du 6 janvier au 9 janvier 2022 est, pour les vaccinés à deux doses: 244 personnes ou 62,6 %; pour les non-vaccinés: 134 ou 34,3 %; et, pour les vaccinés à une dose: 12 ou 3,1 %.
(Ça ne vaut pas le coup de comparer avec les quatre journées du 1er novembre au 4 novembre 2021, car les chiffres pour ces journées sont vraiment très bas.)
Les non-vaccinés représentent donc environ le tiers des nouvelles hospitalisations.
Ces chiffres de nouvelles hospitalisations ne reflètent cependant pas fidèlement la réalité.
On vient en effet tout juste d’apprendre, entre autres par Dubé, qu’environ 40 % des personnes hospitalisées censément à cause de la COVID-19 ne sont pas hospitalisées à cause de… la COVID-19, mais à cause d’autres maladies ou par exemple d’accouchement, et qu’elles ont été révélées positives à des tests après leur entrée à l’hôpital.
Autrement dit, ces 40 % de malades hospitalisés sont, au niveau de la COVID-19, des personnes asymptomatiques qui ne seraient jamais allées à l’hôpital si elles n’avaient pas eu d’autres problèmes de santé.
En outre, ce taux de 40 % est sûrement ce qu’il y a de plus conservateur. Un article du Devoir du 6 janvier dernier, « Hospitalisations: quand la COVID-19 est un diagnostic secondaire », indique, à partir d’enquêtes faites auprès d’hôpitaux ou de CIUSSS de la région de Montréal, que ce serait en fait 50 % à 70 % des patients hospitalisés avec la COVID-19 qui sont hospitalisés pour une autre cause que ce virus. Notre ministère de la Santé et des Services sociaux ne veut visiblement pas produire de chiffres précis à ce sujet.
Ainsi, quand on lit, par exemple dans un texte de Radio-Canada du 7 janvier dernier, que « près de 2000 Québécois sont hospitalisés en ce moment avec la COVID-19, et ce nombre pourrait passer à 3000 d’ici deux semaines, selon les plus récentes projections », est-ce que c’est de l’information honnête ou de la désinformation, compte tenu qu’il peut y avoir jusqu’à 70 % de ces gens qui sont hospitalisés pour une raison autre que la COVID-19, et qu’ils sont asymptomatiques en ce qui concerne ce virus?
Le gouvernement Legault se fait un plaisir de comptabiliser ces faux cas d’hospitalisations pour la COVID-19 avec les cas réels, car ça lui permet commodément d’entretenir un climat de peur. Ça lui permet aussi de pouvoir invectiver deux fois plus les non-vaccinés, et de détourner les regards sur eux plutôt que sur sa gestion déficiente du système de santé québécois, incluant évidemment et de la façon la plus flagrante les centres pour personnes âgées.
Certes, c’est quand même un peu plus compliqué de soigner ces faux cas d’hospitalisations pour la COVID-19 à cause des risques d’infections, et ils restent ainsi un peu plus longtemps à l’hôpital; mais on pourrait quand même réduire au moins de 40 % le nombre de malades comptabilisés comme patients COVID dans les hôpitaux du Québec.
Il faut donc diminuer les chiffres susmentionnés de 40 %, ce qui ne change toutefois rien aux proportions respectives.
Ainsi, la moyenne des nouvelles hospitalisations dues à la COVID-19 pour ces quatre journées du 6 janvier au 9 janvier 2022 devient, pour les vaccinés à deux doses: 146; pour les non-vaccinés: 80; et, pour les vaccinés à une dose: 7.
Le climat de peur qu’entretient le gouvernement avec ses chiffres biaisés d’hospitalisations dues à la COVID-19 se trouve ainsi singulièrement diminué.
3. Nouveaux cas aux soins intensifs: la stigmatisation des non-vaccinés
La moyenne des nouveaux cas aux soins intensifs pour les quatre journées du 6 janvier au 9 janvier 2022 est, pour les vaccinés à deux doses: 15 personnes ou 55 %; pour les non-vaccinés: 11,5 ou 43 %; et, pour les vaccinés à une dose: 0,5 ou 2 %.
Il faudrait cependant là aussi réduire ces chiffres de 40 %, car il doit bien y avoir aussi aux soins intensifs des patients qui sont entrés là pour un problème autre que la COVID-19, et qui ont été testés positifs à ce virus après leur arrivée. Mais, par conservatisme maximal, utilisons plutôt un pourcentage de 20 %.
En réduisant donc de 20 % les chiffres susmentionnés, ça donne ainsi une moyenne quotidienne pour les quatre journées du 6 au 9 janvier 2022 de 12 personnes vaccinées et de 9,2 ou 9 personnes non-vaccinées entrant aux soins intensifs.
Ces 9 personnes non vaccinées représentent quand même toujours 43 % des nouveaux cas quotidiens aux soins intensifs. Or, on sait que les non-vaccinés représentent à peu près 10 % de la population. Selon ce pourcentage de 10 %, il devrait y avoir non pas 9 personnes non vaccinées entrant aux soins intensifs, mais 2: 9 divisé par 43 % multiplié par 10 %.
On a donc 7 personnes non vaccinées entrant en « trop » aux soins intensifs chaque jour dans l’ensemble des hôpitaux du Québec.
D’autre part, il y aussi des personnes non vaccinées qui sortent des soins intensifs chaque jour. S’il y en a 5 qui sortent en moyenne, on a alors une augmentation nette de 2 personnes non vaccinées chaque jour dans l’ensemble des hôpitaux du Québec.
Est-ce que, pour possiblement 2 personnes supplémentaires par jour aux soins intensifs dans tout le système hospitalier québécois, c’est honnête de la part du gouvernement de stigmatiser, de marquer au fer rouge, les 10 % de la population qui ne sont pas vaccinés?
Est-ce qu’il faudrait aussi stigmatiser ou arrêter de soigner les fumeurs invétérés, les intoxiqués, les personnes obèses, etc.? Tout le monde a contribué au financement du système de santé, et tout le monde a droit à des soins. Le serment d’Hippocrate serait-il devenu moins pertinent ou périmé à cause de la crise de la COVID-19?
Des gens demandent que les personnes non vaccinées ne soient plus soignées. Legault a entendu ces gens, mais a dit que « ce n’est pas le genre de société qu’on veut » . Cette réponse est heureuse, mais il aurait pu faire preuve de plus d’indignation face à une telle proposition. Je me demande en fait si son gouvernement n’a quand même pas déjà donné au système médical des directives pour moins bien soigner les patients non vaccinés que les vaccinés, et ce pour n’importe quelle maladie que ce soit.
4. Machine de propagande nazie
Comme l’explique Martin Lavallée dans son article « COVID-19. Les non vaccinés, nouveaux boucs émissaires », publié par Vigile le 8 janvier dernier, le gouvernement québécois de François Legault se sert des non-vaccinés comme boucs émissaires pour cacher « les faux espoirs qu’il a entretenus et […] l’échec de sa stratégie vaccinale ».
Alain Patenaude, dans son texte du 7 janvier dernier publié par Vigile: « J’te vaccinerais ça à la sarbacane. Lettre à Dan Bigras », abonde dans le même sens que Lavallée: « En s’en prenant aux non-vaccinés, le gouvernement détourne l’attention des gens, parce qu’en réalité, ce sont eux qui ont laissé les vieux mourir de soif et de faim. »
Quant à Vincent Mathieu, dans son article « COVID-19. L’homme au casque de fer. Le delirium tremens de Patrick Lagacé », publié par Vigile le 8 janvier dernier, il affirme avec raison que la machine de propagande du gouvernement québécois qui stigmatise les non-vaccinés dans la population se compare à celle des nazis dénigrant systématiquement les Juifs dans la population allemande, et à celle des « propagandistes rwandais [qui] exploitaient aussi cette méthode de diabolisation des Tutsi dans les années 90 ».
Patenaude va aussi dans le même sens que Mathieu:
» La haine que vous [Dan Bigras] propagez contre une catégorie de personnes, est scandaleuse et nous rappelle ce qui s’est passé au Rwanda et pendant la deuxième guerre mondiale? Vous vous souvenez de la radio des milles collines au Rwanda qui demandait aux Hutus de s’en prendre aux Tutsis? Avez-vous l’intention éventuellement d’exécuter les non-vaccinés? Connaissez-vous les conséquences que peuvent apporter les propos du gouvernement, des médias et de votre haine évidente, par le fait même? «
Enfin, pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, il faut absolument lire le texte d’Olivier Kaestlé du 9 janvier dernier publié dans son blog: « Lagacé contre les non-vaccinés: un discours digne de l’Allemagne nazie ».
Legault a littéralement acheté tous les médias officiels ou traditionnels par des annonces publicitaires de 228 millions de dollars entre mars 2020 et novembre 2021. La machine de propagande gouvernementale est ainsi appuyée par tout le système médiatique pour conditionner systématiquement la population. Ça donne ce que l’on voit aujourd’hui: des Lagacé qui dressent la population contre les non-vaccinés pour le compte de nos gouvernements. Les médias traditionnels sont pratiquement devenus des médias d’État, des organes de propagande au service du pouvoir en place.
5. Le fascisme du mondialisme
Le mondialisme, dont la crise sanitaire de la COVID-19 n’est qu’une des facettes, se révèle peu à peu sous son vrai jour, celui d’un fascisme, d’un nazisme ou d’un communisme à la chinoise, dont les non-vaccinés sont actuellement les victimes mais pas les premières ni les dernières.
En fait, si Legault, Trudeau et Macron s’en prennent autant aux non-vaccinés, ce n’est même pas pour les raisons qu’ils donnent, à savoir qu’ils seraient responsables de la pandémie, de la congestion des hôpitaux, etc. C’est d’abord et avant tout parce que l’opposition et la résistance contre le projet mondialiste totalitaire en cours dans l’humanité proviennent principalement aujourd’hui de cette catégorie de la population.
Legault joue assez bien la carte nationaliste pour se maintenir au pouvoir, mais aussi pour pouvoir faire passer son mondialisme. Par exemple, ses « efforts » pour ramener les Nordiques sont une spectaculaire diversion nationaliste de sa part pour mieux pouvoir faire avaler à la population la pilule mondialiste de ses mesures sanitaires.
À peu près tout ce que disent et font Legault et Macron en ce qui concerne la COVID-19 leur est sûrement dicté par la compagnie McKinsey. Justin Trudeau est un autre pantin de cette firme qui représente tout ce qu’il y a de plus mondialiste sur la planète.
6. Crime contre l’humanité?
Legault, Arruda et cie ont relayé servilement le discours mondialiste de l’O.M.S. et de l’industrie pharmaceutique, en nous disant que c’était ça la science et que ceux qui ne sont pas d’accord avec ça sont des complotistes, des conspirationnistes, etc.
Mais Legault peut-il nous expliquer précisément de quelle science il s’agit au juste? Est-ce que c’est celle de la prestigieuse revue The Lancet et de son étude complètement bidon sur l’hydroxychloroquine?
On aimerait bien que nos gouvernements nous tiennent le plus objectivement possible au courant de ce qui en est sur les médicaments proposés et déjà utilisés dans le monde contre la COVID-19, que ce soit l’ivermectine ou autre, et ne pas uniquement chercher à tout prix à nous rentrer de force dans le corps des doses illimitées de vaccin à ARN messager.
Dans sa chronique du 13 octobre 2021 publiée dans Vigile, Marc Labelle demande si l’attitude des gouvernements occidentaux comme celui de Legault, consistant à écarter d’emblée tout médicament non coûteux pour s’en tenir uniquement à des vaccins très onéreux, n’est pas un crime contre l’humanité. Il note que des dizaines de milliers de personnes âgées sont ainsi mortes prématurément dans l’indignité.
Qu’ils soient vaccinés ou non, les nationalistes doivent promouvoir l’idée d’une commission d’enquête publique québécoise mais aussi internationale, au sujet de ce crime possible du mondialisme contre l’humanité auquel ont collaboré le gouvernement Legault et les autres gouvernements occidentaux.
On dirait que les médecins occidentaux ont été obligés par les gouvernements de donner à peu près uniquement de l’oxygène aux malades de la COVID-19, en leur disant à peu près: « Arrange-toi avec ça ou crève. »
C’est impossible de ne pas voir tout ce qu’a gagné le mondialisme dans cette crise. Les gouvernements occidentaux ont incroyablement fait prospérer l’industrie pharmaceutique des vaccins. Ils ont enrichi encore davantage et rendu encore plus puissante la haute finance mondiale par le biais de la hausse fulgurante de la dette publique. Ils ont instauré un climat de peur, de surveillance et de contrôle de la population qui fait les délices des mondialistes salivant pour une Grande Réinitialisation de l’humanité.
Nos gouvernements, ceux de Legault, de Trudeau, de Macron, etc., s’attaquent avec véhémence aux non-vaccinés non seulement pour faire oublier à la population leur propre bilan en ce qui concerne la gestion de la crise, mais aussi parce que les non-vaccinés figurent largement parmi ceux qui dénoncent le plus l’extrême corruption mondialiste généralisée sur la planète.
Outre les liens de l’O.M.S. avec l’industrie pharmaceutique ou avec Bill Gates, on n’a qu’à regarder par exemple l’imposition mondialiste dans l’humanité du pacte de Marrakech, de l’idéologie du genre, de la promotion tous azimuts du transgenrisme même chez les enfants, du wokisme, etc.
André Lafrenaie
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec