Par Miciah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Quelle nouvelle dévastatrice pour Katie Johnson, une mère britannique ! La vie de ses triplés à naître était en danger, et les médecins lui suggéraient d’en avorter un ou deux pour la survie des deux autres ou du troisième.
Mais Katie Johnson et son mari, Patrick, ont choisi la vie pour les trois, rapporte The Daily Mail.
Heureusement, les bébés Oliver, Aurelia et Oscar ont tous survécu. Et les triplés londoniens sont sortis de l’hôpital à temps pour fêter Noël à la maison avec leurs parents, indique l’article.
Mme Johnson a déclaré qu’elle avait appris la menace qui pesait sur la vie de ses triplés lors de son échographie de 12 semaines. Ce jour-là, les médecins lui ont dit que les triplés ne partageaient pas le placenta de manière égale et que l’un des bébés était moins alimenté que les autres, selon l’article.
« Il y avait un risque pour eux tous », dit-elle. « Oliver était 25 % plus petit que son frère et le flux sanguin ne lui parvenait pas correctement. Si Oliver était mort, Oscar aurait pu mourir aussi. »
Comme cela arrive souvent dans de telles situations, les médecins lui ont suggéré d’avorter un ou deux des bébés à naître.
Aujourd’hui, de nombreux médecins encouragent ou parfois même poussent les futures mères à avorter leurs bébés à naître lorsqu’il y a un problème médical. Parfois, c’est parce que la mère a un cancer. D’autres fois, c’est parce que le bébé à naître a été diagnostiqué comme atteint de trisomie 21 ou de spina bifida ─ ou même d’une fente labiale. Les parents d’enfants handicapés disent souvent se sentir poussés à avorter.
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