Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Selon un article récent de Radio-Canada sur un sondage d’opinion national, « Le nombre de femmes canadiennes, particulièrement les jeunes adultes, qui se décrivent comme féministes a explosé… Au total, 57 % des Canadiennes se proclament comme étant féministes, une augmentation spectaculaire par rapport au tiers des femmes qui se décrivaient ainsi au cours des décennies précédentes. »
Mais s’il y a une augmentation de féministes, il y a certainement une augmentation de pro-avortement, puisque le combat féministe est étroitement lié au combat pro-mort.
Selon Cosmopolitan, c’est en partie à la féministe Simone de Beauvoir, « qu’on a accès à l’avortement, au divorce et à la contraception. » Et Le Devoir rapporte que selon Isabelle Duplessis, professeure spécialisée en droit des femmes à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, « l’avortement a été obtenu au terme d’une “grande bataille qui a été menée dans les années 1960-1970 dans la deuxième vague féministe.” »
Si l’avortement a été la première cause de décès en 2021, verrons-nous augmenter encore plus le meurtre des enfants à naître avec ce nombre croissant de féministes ?
« “Il est gratifiant d’apprendre que l’objectif de l’égalité des femmes et le mouvement des femmes restent une force significative dans la société canadienne, y compris chez les jeunes femmes”, a déclaré la sénatrice Donna Dasko, qui a commandé le sondage. Selon elle, le féminisme est entré dans le courant dominant. », rapporte Radio-Canada.
Ce courant dominant dans lequel est entré le féminisme n’est autre qu’un courant mortel de fausses idéologies, et de mensonges. Ce courant prône non seulement l’abolissement de la culture (« cancel culture »), mais aussi l’abolissement de la vie humaine à ses premiers instants.
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