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par Sébastien Renault.
Le programme du développement et de la pandémie durables consiste en un seul et même schéma directeur.
Les expérimentations réchauffistes et covidiques, présentées par les instances mondialistes, les médias de masse et le monde du divertissement comme « solutions » aux problèmes du changement climatique et de la crise sanitaire, donnent de très mauvais résultats, qu’il s’agisse de production et d’économie énergétique, ou d’amélioration de la santé publique des populations. Leurs effets secondaires graves et en partie déclarés (au moins documentés), aggravent, débilitent, ruinent, et tuent à très grande échelle.
À contrario, face au réchauffisme et au covidisme, des solutions scientifiquement étayées sont dénigrées et/ou passées sous silence par les différents émissaires du colportage anxiogène vital à la pérennisation de ces alarmismes. Il suffit de mentionner l’énergie nucléaire et l’ivermectine – plus de 70 méta-études sur ce médicament, dont une trentaine, randomisées et contrôlées dans le cadre d’essais cliniques (en comparaison du « vaccin » dit « anti-covid » concocté par Pfizer : une seule et unique étude fournie par… Pfizer !).
Entre autres thèmes, nous examinons ici pourquoi le stratagème des injections de rappel à ARN messager ou à vecteurs viraux atténués pour réactiver les effets du SRAS-CoV-2 au sein des populations inoculées en masse sous contrôle hypnotique pourrait bien constituer le dernier cheval de Troie de ce malthusianisme sanitaire pour le XXIe siècle. En l’an 2021, désormais révolu, nous avons atteint, notamment en France, des sommets de maboulisme d’État, submergés par un déluge de mesures et de discours « sanitaires » délirants. En l’an 2022, l’exercice de la tyrannie médicale mondialiste promet de faire tout ce qui est en son pouvoir pour maintenir l’illusion de la prévention des infections par la « vaccination » universelle, sous forme de « boosters » sans fin.
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Le programme de « Grande réinitialisation » affecte tous les aspects de l’existence de l’homme contemporain, des soins de santé (repensés sur une base covidico-fanatique aussi inepte que criminelle), en passant par l’éducation (l’endoctrinement scolaire systématisé), l’application sélective du droit (pénal, civil, commun et privé), la production et la gestion de l’énergie (selon la dogmatique d’une utopie écologiste qui se veut d’abord culpabilisatrice et taxatrice), l’aménagement du territoire, le développement économique, la production alimentaire, l’immigration (non réglementée, pour mieux déprécier le niveau de vie), la redéfinition des différences raciales et sexuelles (relativisme dogmatique oblige), la conception (philosophique et morale) que se fait la société de la nature présumée trans-itoire de l’homme (transhumanisme oblige), la pratique religieuse (sous l’influence de l’appétit syncrétiste contemporain, d’inspiration pagano-maçonnique, vers une fausse « religion mondiale unique »), …
Cette « Grande réinitialisation », aujourd’hui en marche officielle irrépressible, repose d’abord sur le fondement de la Grande programmation mondiale pour le développement durable, initiée il y a plus d’une trentaine d’années. Nous allons y revenir.
La gouvernance mondiale est donc bien là, cachant depuis des décennies son véritable visage derrière la façade de l’« équité sociale » multicolore, de l’« économie solidaire » aux tendances rougeâtres, et du « développement durable » immanquablement verdoyant. En pratique, derrière la mascarade et le sentimentalisme omniprésents, ce sont les banques et les grandes entreprises qui achètent les pouvoirs publics (donc les gouvernements) et les organisations à but « non lucratif ». Idéologiquement, la mascarade repose sur la manipulation mentale des foules, notamment par la fabrication de « consensus » destinés à façonner et à contraindre l’opinion publique, et du même coup à réprimer de l’intérieur toute tentative de dissidence de la part des peuples, censés en conséquence se soumettre sans rechigner au projet de leurs bienfaiteurs supranationaux – les architectes du gouvernement mondial unique, de la monnaie mondiale unique, de la langue mondiale unique, de la religion mondiale unique, donc de l’« unité », de la « prospérité » et des échanges universels ordonnés à la concorde babélienne des peuples et à la préservation de l’environnement. Par exemple, le « consensus » sur le changement climatique dit anthropique, le spectre ravageur du CO2 faisant peser sur la planète et sur toute l’humanité la grande menace d’une extinction totale si nous n’agissons pas au plus vite pour réduire nos émissions. Ou celui de l’incontournable pandémie bénie du grand coronacircus, entraînant la nécessité de « faire la guerre » à « un ennemi invisible, insaisissable » (dixit Macron lors de son allocution télévisée du 16 mars 2020), et même « diabolique » (dixit Delfraissy), comme nous l’avons vu depuis maintenant deux ans de covidisme d’État aussi acharné qu’en tous points désastreux.
L’avènement de la pensée covidiste représente un cas de figure particulièrement notoire d’irrationalité institutionnelle dans l’histoire de la gestion gouvernementale des crises de nature virale, puisque les responsables de la santé publique tentent aujourd’hui, plus que jamais, de lutter contre un virus respiratoire en obligeant des personnes en bonne santé à se plier aux directives coercitives d’une politique sanitaire (prétexte) de contrôle social étatique généralisé (objectif).
Mais à l’heure où règnent en France l’astreinte numérique et les incitations plus ou moins forcées à la troisième dose (le maintien de la validité du « passe sanitaire » des plus de 65 ans en dépend désormais), et bientôt à la quatrième, la déraison de la politique sanitaire gouvernementale ne s’en pare pas moins des airs de la maîtrise de la situation et de la conformité informée à la « science incontestable ». Nouvelle étape donc, opération injection de tous les enfants de 5 à 11 ans, comme c’est déjà le cas aux États-Unis, en Israël et en Suisse, à compter de janvier 2022.
Opération qui ne profitera en rien à la santé des enfants (bien au contraire), lesquels ne développent pas de forme grave du syndrome de détresse respiratoire aiguë associé au SRAS-CoV-2 (la population des moins de 18 ans présente un taux statistique de survie mondiale de plus de 99,9% à cette infection). Dans ces conditions, pourquoi les gouvernements de pays tels que les États-Unis, la France et la Suisse font-ils preuve d’une telle détermination à voir les enfants se faire injecter un produit expérimental génétiquement modifié (certes présenté et vendu au public comme une nouvelle technologie « vaccinale » à ARN messager, technologie à « moindre risque » et d’une efficacité dite « révolutionnaire », si « efficace » en fait qu’il faut tout de même à ses consommateurs se soumettre à une nouvelle « dose de rappel » à peu près tous les quadrimestres, sous la pression sans aucun doute bienveillante de l’appareil étatique) ? Serait-ce, peut-être, parce que Bill Gates, Anthony Fauci et Klaus Schwab l’ont ainsi décrété, et que tous, cobayes sans valeur que nous sommes censés être (tout du moins à leurs yeux reptiliens), devons simplement nous rallier à ce que de telles sommités du Grand programme de « remise à zéro » ont pour but d’accomplir pour le monde nouveau et pour son humanité nouvelle ?
Le chantage qu’exerce aujourd’hui en continu l’engeance politico-médiatique unifiée pour que tous se fassent régulièrement « vacciner », sous peine de perdre leur emploi et leur libertés fondamentales, n’a plus rien à voir avec quelque entreprise d’immunisation de la santé publique face à la soudaine émergence d’une nouvelle épidémie virale (premier volet du mensonge officiel qui visait à faire accepter le narratif de la covidisation « naturelle » du monde).
Le remaniement génétique de l’« espèce humaine » (comme si l’on pouvait réduire de manière cohérente la distinction ontologique de la nature rationnelle de l’Homo sapiens à la notion évolutionniste d’« espèce humaine ») a donc désormais commencé, sous couvert d’urgence sanitaire, dans la mesure exacte où ces injections synthétiques modifient de facto l’instruction génétique des personnes « vaccinées » – par imposition à l’organisme d’un message précis de production artificielle d’une protéine de pointe toxique ; puis par déclenchement d’une réponse immunitaire du même organisme destinée à combattre cette production artificielle. Mécanisme avéré que les « vérificateurs de faits » du pouvoir GAFAM-iste, menteurs bien rémunérés, s’évertuent consciencieusement à discréditer, dans leur effort non seulement de muselage de toute parole d’opposition, mais encore de marginalisation des faits scientifiques, lorsque ces derniers dérogent à la propagande politique et à la justification de ses mesures gouvernementales.
Les bases d’un tel projet d’altération de la génétique humaine ont cependant été jetées depuis plus de trente ans, dès 1987 avec la publication du Rapport Brundtland, intitulé Notre avenir à tous, par la Commission onusienne mondiale sur l’environnement et le développement. Les idées contenues dans cette étude ont été reprises en 1992 lors de la Conférence de Rio, théâtre de la Convention sur la diversité biologique. Elles n’ont depuis cessé d’être approfondies et graduellement actualisées, au gré de l’emprise médiatique de l’alarmisme climato-réchauffiste, renforcé aujourd’hui par l’alarmisme « sanitaire » étatique covidiotique.
Dans la mesure où le virus du SRAS-CoV-2, comme l’injection expérimentale qui en découle, sont tous deux des productions de laboratoire, les industries biotechnologiques et pharmaceutiques maintiennent aujourd’hui le monde entier dans un état de captivité – socio-mentale, sanitaire et économique – destiné à préserver, aussi intactes que possible, les conditions d’existence de ce qu’il nous semble pertinent d’appeler la pandémie durable. Les gouvernements et leurs divers laquais politico-sanitaires ne sont eux-mêmes que les outils de cette stratégie de pérennisation pandémique indissociable du projet onusien axé sur le « développement durable ».
La médecine et la science contemporaines sont avant tout un marché inséparable des ambitions et des intérêts du techno-pouvoir prométhéen d’essence mondialiste. Le virus a donné lieu à la nécessité d’un « vaccin » et ce dernier à la mise en œuvre de passes sanitaires numériques dont l’imposition se multiplie à travers le monde. Leur acceptation est la clé de voûte de cette « Grande remise à zéro » visant à numériser la vie humaine dans sa totalité.
Nous faisons dans ce qui suit un retour récapitulatif sur les mécanismes clés de l’alarmisme omniprésent et crétinisant dans lequel nous respirons 24 heures sur 24 (combien nous serait utile la protection de masques intellectuels pour refréner quelque peu cette pollution des esprits !), en dressant le parallèle entre le réchauffisme et le covidisme (pour constater que les mécanismes sous-jacents sont tout simplement les mêmes). Nous revenons en outre sur le principal ressort de la tyrannie techno-sanitaire sanctionnée aujourd’hui par l’État, c’est-à-dire sur le programme de « vaccination » universelle contre le coronavirus ; ses doses de rappel, à raison de 3 ou 4 par an, pour espérer conserver l’exercice de nos libertés fondamentales au sein de nos belles sociétés démocratiques ; et le scandale en cours de la subjection des enfants à ces nouvelles technologies géniques expérimentales, alors même que les risques de développement de formes aggravées de l’infection par le SRAS-CoV-2 sont d’une extrême rareté chez les moins de 18 ans…
Une seule et même recette : récapitulation de l’alarmisme en présence
Le programme du développement et de la pandémie durables consiste en un seul et même schéma directeur.
Les phénomènes d’hystéries respectivement climatique et sanitaire procèdent tous les deux d’« ennemis » invisibles : le CO2 et le SRAS-CoV-2.
Depuis deux ans de narration covidique en continu, on inculque à un public dérouté par la frayeur pandémique la fausse croyance que la peur est étayée par la science la plus attestée…
Depuis quelques décennies d’apocalyptique carbo-phobique, les colporteurs onusiens et hollywoodiens du réchauffisme d’origine anthropique s’efforcent d’instiller la même fausse croyance envers « la science la plus attestée » pour justifier l’alarmisme climatique.
Les éco-fanatiques nous parlent d’une menace climatique vers un réchauffement sans précédent et annoncent la fin du monde d’ici 2030 si des mesures énergétiques pénalisantes ne sont pas prises immédiatement pour brider notre propre carbone. S’impose en conséquence la stratégie du restrictionnisme étatique au service du fantasme « zéro carbone » : taxe carbone, loi de transition énergétique (priorité au développement des énergies renouvelables intermittentes et réduction du nucléaire), décroissance, paupérisation des peuples, sophismes moralisateurs de la classe politique prêchant qu’il faut mettre en œuvre et satisfaire la « justice climatique », en plaçant les nations sur une trajectoire de développement durable…
Les covidistes indécrottables ressassent depuis début 2020 qu’une pandémie mondiale sans précédent sévit à travers le monde, donnant lieu à de nouvelles mutations, plus contagieuses et plus mortelles les unes que les autres. S’impose en conséquence la stratégie du restrictionnisme étatique au service du fantasme « zéro covid » : muselage, confinements, couvre-feux, passe sanitaire, injection expérimentale des peuples, sophismes moralisateurs de la classe politique prêchant l’état d’urgence sanitaire au service du « bien commun » et les « devoirs » des citoyens (soumis et dûment « vaccinés ») envers l’État et la société, pandémie durable oblige…
Depuis le début de son institutionnalisation intergouvernementale, le réchauffisme s’illustre par la manipulation falsificatrice des données sur les températures, la fonte des glaces, l’élévation des niveaux de la mer, l’état de la biodiversité, etc.
Depuis le début de son instrumentalisation politico-médiatique, le covidisme s’illustre par la manipulation falsificatrice du taux de cas positifs (tests PCR copieusement amplifiés et fabrication de faux malades), du nombre d’hospitalisations, du nombre de réanimations, du nombre de décès par rapport au nombre de cas diagnostiqués (taux de létalité), du taux de mortalité, etc.
Le réchauffisme comme le covidisme s’appuient sans vergogne sur la manipulation falsificatrice des données pour générer une perception collective dominée par la peur et le besoin démesuré de sécurité absolue (un besoin chimérique ancré dans les tréfonds de la nature humaine déchue).
Dans les deux cas, le narratif alarmiste s’appuie sur des modèles informatiques conçus pour donner de la crédibilité à un discours officiel empreint d’alarmisme dogmatique et de haine pharisaïque envers tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à un dissident complotiste.
Dans le cadre de ces deux alarmismes, nous avons vu fleurir de nombreuses commissions et autres comités consultatifs d’experts patentés, en France en particulier avec le « Haut conseil pour le climat » et, immanquablement depuis mars 2020, le « Conseil scientifique ».
L’alarmisme réchauffiste propose et voudrait surtout imposer au monde ses propres remèdes énergétiques, sur la base supposée « vertueuse » de la « transition écologique ». Mais bien sûr, derrière la façade de la vertu signalée et signalante, qui dit « remèdes » à coups de « transition éco- énergétique » dit aussi vaste opération de décroissance, donc de stagnation technologique et de ralentissement industriel ; et, pour finir, d’appauvrissement social des peuples. Antidote écolo au « dérèglement » climatique supposément anthropique (coupable et criminel) passant bien sûr par l’aménagement de dispositifs de production d’énergies dites « renouvelables » (de nature intermittente, ce qui veut dire irrégulière), le solaire et l’éolien. Des « remèdes » donc sous forme de renouvelables et de taxation du CO2 (le vilain de service) pour remplacer les centrales nucléaires (qui n’émettent pas de CO2) et assurer la paupérisation durable des peuples par l’entremise de moyens de production d’énergie électrique passablement onéreux et inefficaces.
L’alarmiste covidique est en passe d’imposer au monde entier ses propres « remèdes », numériques et thérapeutiques. Pour ce faire, il s’octroie le pouvoir imaginaire de statuer et d’assigner, par atteinte étatique aux libertés fondamentales, l’objectif supposé « vertueux » du « bénéfice collectif » : les passeports sanitaires et les injections à ARN messager.
Recette et objectif commun du réchauffisme et du covidisme :
- faire avancer le mondialisme ;
- dissocier, pour mieux les antagoniser, les intérêts des individus libres de ceux de la collectivité (aujourd’hui idéalisée au détriment des premiers) ;
- déposséder les citoyens de leurs droits fondamentaux, sous prétexte « vertueux » de « santé publique » ;
- élargir et renforcer le champ du pouvoir gouvernemental ;
- saboter l’économie…
Plusieurs organisations, dont l’expertise « scientifique » dépend entièrement de leur conformité aux orientations des politiques gouvernementales du moment, sont complices de la perpétuation prodigieusement lucrative de cette double imposture :
- réchauffisme : le GIEC, le CIUS, l’UNESCO, etc. ;
- covidisme : l’OMS, la FDA, les CDC, la HAS, etc.
Les expérimentations réchauffistes et covidiques, présentées par les instances mondialistes, les médias de masse et le monde du divertissement (tous ces experts magnifiques !) comme « solutions » aux problèmes du changement climatique et de la crise sanitaire, donnent de très mauvais résultats, qu’il s’agisse de production et d’économie énergétique, ou d’amélioration de la santé publique des populations. Leurs effets secondaires graves et en partie déclarés (au moins documentés), aggravent, débilitent, ruinent, et tuent à très grande échelle.
À contrario, face au réchauffisme et au covidisme, des solutions scientifiquement étayées sont dénigrées et/ou passées sous silence par les différents émissaires du colportage anxiogène vital à la pérennisation de ces alarmismes. Il suffit de mentionner l’énergie nucléaire et l’ivermectine – plus de 70 méta-études sur ce médicament, dont une trentaine, randomisées et contrôlées dans le cadre d’essais cliniques (en comparaison du « vaccin » dit « anti-covid » concocté par Pfizer : une seule et unique étude fournie par… Pfizer !).
Ce que montre la réponse à la soi-disant « crise » du changement climatique, et ce que montre pareillement la réponse à la crise covid depuis deux ans de gestion tant calamiteuse que criminelle, d’incompétence notoire et d’arrogance dictatoriale de la part de ceux qui prétendent nous diriger, c’est que les moyens « curatifs » – idéologiques, taxatifs, coercitifs, contre-productifs, dispendieux, « vaccinaux » – des maîtres du monde et du discours politique sont bien plus nuisibles que les crises qu’ils se proposent officiellement de résoudre.
Question qui vaut la peine d’être posée, par provocation et par réalisme, face aux projets politiques des détraqués qui nous gouvernent : à quand les confinements climatiques ?
Injections et mortalité durables : un programme
Malgré les dangers et les insuffisances que l’on sait, l’injection dérivée de la technologie à ARN messager est désormais recommandée et même en voie de prescription obligatoire pour tous les enfants. Les dangers réels et attestés, les séquelles irréversibles et les décès sont censés être des informations inventées par les réseaux « complotistes ». Les médecins de plateaux de télévision, les représentants des laboratoires pharmaceutiques et les politiciens covidiots habituels refusent tout débat qui permettrait de faire entendre et de prendre au sérieux la voix des nombreux chercheurs et experts de santé qui s’opposent, en termes pesés et mesurés, à la poursuite de l’inoculation expérimentale anti-covid des enfants, avec de nombreuses études sérieuses à l’appui de leur mise en garde substantiellement éclairée.
L’augmentation des effets indésirables et des décès après l’injection anti-covid de masse par rapport à toutes les autres injections effectuées au cours des années précédentes s’avère pourtant considérable. Il suffit de consulter les données recensées par le VAERS, le programme américain de vigilance en matière de sécurité vaccinale (en lien avec les CDC et la FDA), ou par le système européen EudraVigilance (qui ne couvre que les pays d’Europe faisant partie de l’Union européenne), pour s’en convaincre. La pression en faveur des injections obligatoires et autres mesures visant à contrôler la vie des citoyens du monde entier se durcit et semble, au gré des nouvelles doses, donner cours à un programme d’inoculation (et de mortalité) durable.
L’argument avancé par le Premier ministre Castex et par d’autres coïntéressés de la macronie toujours en marche d’urgence sanitaire est que « la vaccination pédiatrique » endiguera le renouvellement de la circulation du virus, le problème des potentiels effets secondaires n’entrant pas pour lui et ses consorts en ligne de compte, pas plus que l’inefficacité manifeste du garde-fou « vaccinal » anti-covid. Selon ces gens du pouvoir, l’imposition étatique d’un protectionnisme coercitif serait plus que justifiée – nonobstant la surestimation parfaitement démontrée de la menace du virus –, du moment que nous nous assurons de satisfaire le très dogmatique « bénéfice collectif » de la politique sanitaire gouvernementale.
L’exécutif liberticide français n’en est évidemment pas à ses premières illustrations de très grave déraison autoritariste, avec la bénédiction des instances médicales patentées à des mesures de contrainte ayant abondamment démontré leur inutilité : port du masque obligatoire et généralisé, tests arbitraires à l’envi (pour mieux consolider la propagation des cas de faux positifs), confinement, couvre-feu, traçage numérique, injections, injections, et toujours plus d’injections, y compris des populations les moins à risque, y compris aujourd’hui… des enfants.
Cette focalisation « vaccinale » visant à l’inoculation massive à tout prix, quand bien même c’était là, depuis le début, le Graal tant convoité de nos élites néo-malthusiennes, aurait dû se heurter à une résistance beaucoup plus importante des peuples directement visés par cette mainmise tyrannique de l’État et des laboratoires pharmaceutiques sur leur santé. À combien de vaccins les gens peuvent-ils se rappeler avoir dû se soumettre, jusqu’à trois fois en l’espace d’à peine un an, dans le cours antérieur de leur existence ? Rien que de se rallier à ce simple sursaut de conscience dérivant d’un souvenir précis et généralement universel de ce que sont les vaccins à proprement parler en termes de composition et de fréquence d’administration, aurait pu et aurait dû suffire à enrayer la machine infernale de l’hérésie scientifique pontifiante, de la peur générale irrationnelle, des mouvements d’intimidation et de pression exercés par l’entourage (au sein des familles, à l’école et au travail), et de l’acquiescement éventuel d’une majorité aujourd’hui encore sous hypnose collective. Dans ces conditions, il n’est pas surprenant de voir les gouvernements pousser le narratif toujours plus loin, aujourd’hui au nom de la lutte contre la propagation déchaînée d’« Omicron », pour acculer le plus grand nombre possible de gens dans la complaisance « vaccinale ». Ce que confirment les propos du fondateur de BioNTech, Uğur Şahin, qui vous explique, mesdames et messieurs, qu’une troisième dose a pour effet presque certain de « neutraliser » ce nouveau variant. Şahin va même jusqu’à sortir de son chapeau magique un « 95% d’efficacité » protective contre la contagiosité d’« Omicron », histoire de conférer un semblant d’assurance scientifique supplémentaire à des déclarations projectives pourtant dépourvues du moindre fondement et du moindre sens scientifique.
Mais qui pourrait encore croire à de telles sornettes, au motif qu’elles sont proférées par un professionnel de la santé (les sornettes cesseraient-elles d’être des sornettes lorsqu’elles sont proférées par des gens réputés intelligents) ? Les injections expérimentales, qualifiées de « vaccins », étaient censées endiguer la propagation du SRAS-CoV-2. Et il était interdit d’en douter. Mais, ô surprise, elles n’endiguent rien du tout ! Qu’à cela ne tienne, monsieur Şahin, tout comme la faux-Fauci outre-Atlantique, va jusqu’à nous parler de l’acquisition d’une « super-immunité » par l’entremise des « doses de rappel » … Ne vous fatiguez pas à lui demander de préciser la pertinence et les fondements scientifiques de cette notion particulièrement saugrenue de « super-immunité », car il ne pourrait évidemment vous répondre.
Après qu’une personne ait été injectée, doublement et même aujourd’hui triplement à coups de soi-disant « boosters », il n’existe aucune garantie qu’elle ne contracte ou ne diffuse le SRAS-CoV-2. Ce n’est plus un secret pour personne, nous connaissons maintenant des milliers de cas de ce genre dans tous les hôpitaux du monde en proie à l’inoculation expérimentale de masse. Il s’agit donc d’une pandémie qui touche aujourd’hui particulièrement les « vaccinés », au moins autant sinon bien plus que les « non-vaccinés ». Les données de santé publique, au Royaume-Uni, en Israël, aux États-Unis et ailleurs, montrent que la grande majorité des hospitalisations et des décès surviennent chez les personnes qui ont été « vaccinées ».
Il est par ailleurs intéressant de voir comment certains covidistes invétérés ont d’abord pris acte du nombre majoritaire de personnes « vaccinées » parmi les décès par réinfection covid en Angleterre dès juin 2021, avant d’en justifier la douloureuse réalité sur la base des promesses stérilisantes « à long terme » de ces « excellents vaccins ». L’organisme de santé publique britannique (Public Health England) s’y était déjà employé à plusieurs reprises dans ses communiqués de presse en 2021, reprenant à son compte les projections concoctées par Pfizer-BioNTech et AstraZeneca en matière d’efficacité des nouveaux « vaccins » à prévenir d’une hospitalisation après deux doses. Bref, d’aucuns sont parvenus à entrevoir un signe de bon augure quant à l’efficacité éventuelle des nouveaux « vaccins » dans le fait même de l’augmentation du nombre de décès de nombreux Britanniques injectés ces derniers mois.
Les chiffres ne laissent aucune place au doute : ces injections sont plus meurtrières que tous les vaccins jamais conçus. C’est du reste ce que montre une étude allemande, datant du 16 novembre dernier, intitulée Je höher die Impfquote, desto höher die Übersterblichkeit (Plus le taux de vaccination est élevé, plus la surmortalité est importante) par les professeurs Rolf Steyer et Gregor Kappler.
Les professeurs Rolf Steyer et Gregor Kappler concluent leur étude en trois points, dont le premier est le suivant :
« Die direkteste Erklärung ist : Vollständige Impfung erhöht die Sterbewahrscheinlichkeit ».
L’efficacité des injections géniques expérimentales a été inlassablement proclamée depuis maintenant plus d’un an aux oreilles des populations cobayes du monde. Mais il n’existe aucune donnée probante – au-delà des déclarations du directeur général de Pfizer, Albert Bourla, ou d’un Anthony Fauci (que reprennent plus ou moins un Olivier Véran et sa clique en France) – sur laquelle on puisse faire factuellement ressortir et démontrer la réduction du risque d’hospitalisations et de décès par le recours universalisé à ces produits « vaccinaux » en phase d’expérimentation prolongée. Tout porte au contraire à penser, lorsqu’on s’autorise à percer par-delà le voile du narratif pro-vaccinal unilatéral, que ce sont ces concoctions synthétiques qui contribuent aujourd’hui à dangereusement augmenter l’immunodéficience soudainement acquise de nombreux patients déjà doublement, voire triplement « vaccinés » ; donc également le nombre des hospitalisations et des décès de personnes qui auraient pu continuer à vivre en bonne santé si elles n’étaient tombées sous le couperet d’une injection dont elles n’avaient, au départ, strictement aucun besoin…
L’échec des « vaccins » anti-covid, c’est bien l’éléphant dans le salon de la bien-pensance sanitaire des instances dirigeantes et dont personne ne veut rien dire, de peur de passer pour un complotiste. Mais la politique de l’autruche politico-sanitaire n’empêche pas les faits d’exister. Ils sont là. Les programmes de « vaccination » massive ne contribuent pas à faire diminuer le nombre des infections, pas plus que l’inoculation des personnes les plus âgées et potentiellement les plus à risque ne montre d’effet significatif à la baisse sur le nombre total d’hospitalisations et de décès. Les gouvernements ne semblent plus avoir qu’un seul objectif politique à l’esprit, celui d’injecter davantage et toujours plus vigoureusement, quoiqu’il en soit de la dangerosité réelle de la maladie covidienne suscitée par la diffusion du SRAS-CoV-2. Triple inoculation aujourd’hui des personnes déjà doublement injectées, avant de passer à la quadruple demain, puis à la quintuple, etc.
La logique de l’obsession gouvernementale « vaccinale » face aux données statistiques de son échec avéré consiste à consacrer son entêtement obsessionnel par davantage de pression exécutive à se faire inoculer. Phénomène monomaniaque que l’on avait déjà observé en 2020 avec la logique de l’obsession gouvernementale du confinement des populations, en dépit de ses échecs répétés et monumentaux.
Depuis le début des campagnes d’inoculation universelle, la publicité mensongère qui sous-tend les études portant sur l’efficacité des injections expérimentale joue sur la perception et l’imaginaire du public, en interjetant des pourcentages trompeurs destinés à renforcer sa confiance envers la notion de réduction « presque absolue » du risque associé aux nouvelles injections géniques.
La fabrication de cette perception découle de l’allégation de départ, et répétée depuis tel un mantra désormais intériorisé, que le « vaccin » anti-covid réduit le risque de contamination et de développement de formes graves de l’infection par le SRAS-CoV-2.
Si l’on considère l’ensemble des groupes d’âge, la première chose que l’on peut faire pour vérifier le bien-fondé de cette allégation de stature aujourd’hui dogmatique est d’examiner ce qu’indique le taux de létalité de l’infection – le facteur de risque que l’on calcule simplement en prenant la proportion de personnes infectées par le SRAS-CoV-2 et celles qui succombent de la maladie covidienne. Or, ce dernier diminue (un phénomène qui se traduit parallèlement par la croissance de l’immunité naturelle à l’échelle de l’ensemble de la population).
Pour la population des moins de 40 ans, le taux mondial de létalité de l’infection n’est aujourd’hui que de 0,01%. Si l’on tient compte du facteur de la réduction du risque absolu (de la différence entre le risque de quelque complication x ou y chez les « vaccinés » suite à l’injection et celui qu’encourent les « non-vaccinés » par défaut de « vaccination »), il apparaît clairement que le bénéfice attendu des campagnes d’injection massive à travers le monde ne se vérifie pas. La réduction du risque absolu (d’infection et de mortalité) qui doit être atteinte pour que soit justifiée l’allégation susmentionnée, s’avère nettement inférieure aux bénéfices que les injections expérimentales sont censées produire (lorsqu’elles ne provoquent pas de graves effets secondaires, ou simplement des décès). Il sera ici à propos de consulter la fameuse revue médicale The Lancet (que personne ne pourra soupçonner de mentalité anti-vaccinale) pour y trouver un compte-rendu analytique très court publié ce mois-ci dans son vol. 11, 100272.
On y lit notamment ce qui suit :
« La charge virale maximale ne différait pas selon le statut vaccinal [que l’on soit « vacciné » ou non] ou le type de variant ».
« De nombreux dirigeants décisionnaires présument que les personnes vaccinées ne constituent pas une source de transmission. Il semble que ce soit faire preuve d’une grave négligence que d’ignorer la population vaccinée en tant que source possible et significative de transmission, lorsqu’on se trouve en position de statuer sur les mesures de contrôle de santé publique ».
Nonobstant ces données et analyses, on continue à inciter le public à se faire injecter en masse, covidiocratie En Marche oblige.
Compte tenu de la sévérité de cette covidiocratie, la situation dans laquelle nous nous trouvons à ce stade avancé de l’hystérie covidique mondiale est telle que les gouvernements se trouvent obligés de manier leur propagande « vaccinale » de manière contradictoire : d’un côté, convaincre les « non-vaccinés » que l’injection expérimentale est parfaitement efficace ; de l’autre, convaincre les « vaccinés » qu’elle ne l’est pas, afin qu’ils se ruent sur les doses de rappel…
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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