Bien sûr, les deux sentiments qui dominent c’est la « déprime » (la peine) de ne pas être compris face à une réponse passive, évasive ou nihiliste,
et la colère (toujours de ne pas être compris puisque la reconnaissance de ce qu’on dit et de ce qu’on est, est primordial) face à une réponse stupide d’ignorant qui ne consulte toujours pas E&R.
Et qu’on ne me parle pas de « résilience » SVP, d’un point de vue christique il n’y a que deux choix : la compassion (jusqu’au pardon) ou la colère – la saine colère, la justice ! (selon ses moyens)
Mais ensuite je m’en remets aux corps armés, car moi-même je ne suis pas armé. Notez qu’il y avait ce samedi un syndicat policier présent aux Invalides à Paris.
Quand je vois en Allemagne des gens manifester avec la mère qui vient avec sa poussette… euh… j’espère pour elle qu’elle est vide.
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