Certes, le blocage du compte est temporaire, mais on voit à quel point ces réseaux dits sociaux (RS) sont en réalité asociaux, c’est-à-dire inféodés au Système. Et quand on parle de Twitter, autant s’intéresser à la tête du monstre aux 211 millions de connectés dans le monde, dont 12 millions en France. Par rapport à Facebook, Twitter est un réseau plus professionnel utilisé par les journalistes, les accros à l’info, ceux qui produisent – volontairement ou pas – ou font circuler l’info, et ceux qui participent au débat politique. Facebook fait plutôt la part belle au quotidien, aux groupes, Instagram et Snapchat tapant dans la jeunesse.
Deux événements majeurs ont fait basculer ce RS dans l’escarcelle des mondialistes, écartant progressivement la liberté d’expression, c’est-à-dire la contestation : les élections américaines, et l’opération covid. Deux opérations du pouvoir profond US qui sont liées, puisque Trump a été censuré sur Twitter entre autres pour ses doutes sur la pandémie. À partir de 2020, Twitter est devenu un organe de propagande de l’hyperclasse. Depuis, les comptes et les messages les plus virulents contre cette domination sont éradiqués les uns après les autres, que ce soit par la main humaine ou par l’intelligence artificielle, qui permet de se laver les mains à la Pilate de toute censure. C’est pourquoi Trump prépare son réseau social pour le mois de février 2022.
Le clip très Matrix de Booba sur le variant
« Ils nous apprennent
à plus penser
c’est toi et moi
face à l’élite (…)
ils veulent changer
mon ADN (…)
la Bête est là
nous affaiblit… »
Chez nous, en France, pour avoir critiqué gentiment (voir l’échange avec la LFI Mathilde Panot repris par rap-actu.fr) la politique sanitaire du gouvernement (corrompu), le rappeur Booba s’est fait fermer son compte, qui touche plus de 5 millions de jeunes. C’est que les jeunes, pour la clique mondialiste qui va de Schwab à Marty en passant par Macron, Véran et Hirsch, doivent se faire vacciner à mort, doivent avaler tout cru le boniment sur le covid. Beaucoup se sont déjà fait avoir, pour conserver leur vie dite sociale (sortir, picoler, danser), par les couleuvres gouvernementales, car ils ne risquent rien avec ce résidu de grippe. Mais cette gigantesque arnaque est tellement difficile à concevoir pour des esprits pas encore formés, que la soumission à l’ordre dominant devient la facilité, même si des doutes existent. Ce sont donc les adultes, plus au fait des choses de la vie, qui se méfient du covidisme, mais dans les adultes on ne compte pas les retraités, qui se sont fait entuber (et intuber) dans les grandes largeurs.
Justine ou les bonheurs du vice
Elle : Avez-vous un mentor geek ?
Justine : Katie Stanton, la vice-présidente de Twitter en charge des médias, basée à San Francisco. Elle est l’exemple même de la digital mum super organisée. En plus d’une expérience incroyable (elle était conseillère d’Obama pour sa campagne digitale) elle est aussi très drôle et spontanée : sur son compte Twitter, elle fait tweeter son chien et interpelle Hillary Clinton le tweet d’après.
Les antivax étant irréductibles, tout doit être fait, par les forces mondialistes françaises, pour couper le canal de réinformation entre les personnalités lucides et la jeunesse. Si Booba n’est pas un franc révolutionnaire, le message est clair : le moindre doute qui peut avoir un effet contaminant sur les esprits malléables doit être éradiqué. C’est là où l’on comprend pourquoi une Justine Ryst a été castée à la tête, ou presque, de Twitter France, puisqu’elle en gère le développement.
Auparavant, elle a été la directrice de YouTube France, et est passée (pendant 10 ans) par l’entreprise de télé-décérébration de la jeunesse Endemol – l’ex-société d’Arthur & Courbit spécialisée dans les antivaleurs –, soit deux énormes cases du mondialisme. C’est exactement ce genre d’animal qui détruit la liberté d’expression, le débat, la pensée, pour les rendre conformes à la doxa.
Dans la vidéo qui suit, qui date de 2015, la nouille qui interroge Ryst rappelle sans le faire exprès que la patronne de Twitter est connectée au MEDEF :
Le mondialisme, c’est aussi cet organigramme, non secret, celui du big business qui obéit à une logique de profit qui est incompatible avec les libertés. Le covidisme, cette version sanitaire du mondialisme, en est la preuve éclatante.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation