par Candice Vacle.
« Il faut à présent que les Français réagissent », citation du collectif d’avocats.
Dans une tribune, un collectif de 81 avocats lancent un cri d’alarme aux Français pour qu’ils réagissent au piétinement de leurs droits et de leurs libertés depuis la crise du Covid-19. Ils alertent aussi sur le projet de loi concernant le pass-vaccinal.
• https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/stop-aux-atteintes-aux-droits-et-libertes-des-francais
Voici quelques extraits :
« Nous, avocats, appelons à un sursaut de conscience des Français face au piétinement, depuis bientôt deux ans, de leurs droits et de leurs libertés.
Nous alertons sur le projet de loi du gouvernement du 27 décembre dernier [projet de loi sur le pass-vaccinal], qui fait à nouveau peser de lourdes menaces sur les droits et libertés des Français ».
« Aujourd’hui, c’est au nom de la conscience et de l’humanité […] que nous lançons cet appel.
Les dernières décisions du gouvernement, toujours aussi liberticides, nous ont révoltés, indignés, […]
C’est désormais devenu une habitude de la part de ce gouvernement, au prétexte de préserver la santé des Français, de les maltraiter ».
« Depuis toujours, la gravité d’une pandémie se mesure au nombre de malades, c’est-à-dire de symptômes médicalement constatés, et au nombre de morts qu’elle provoque.
Il semblerait que désormais, seul le nombre de tests positifs suffit ».
« L’expérience a montré que le Covid s’attaque, pour l’essentiel, aux personnes âgées et/ou fragiles. Ainsi, la moyenne d’âge des personnes décédées est de 82 ans et le taux de létalité de la maladie n’est que de 0,04% ».
« Il serait vain de tenter d’établir une liste complète de ces mesures [Covid-19] farfelues et sans aucun intérêt sanitaire ».
« Il n’empêche, obtus aux faits, le gouvernement poursuit son œuvre destructrice des droits et des libertés des Français à un point extrême ».
« Le chantage au vaccin s’intensifie, y compris sur les enfants de plus de douze ans ».
« L’État a usé sans vergogne de tous les subterfuges : culpabilisation, menaces, chantages, mesures de rétorsion, mensonges, dénonciations, manipulation des chiffres et d’autres encore.
On ne peut que constater avec effroi que l’État a été aidé dans son entreprise par une justice qui, faisant preuve d’une fidélité sans faille, a purement et simplement avalisé les décisions les plus contraires aux principes de droit qui nous régissaient jusque-là. […]
Le Conseil d’État a ainsi approuvé et validé la quasi-totalité des décisions prises par l’exécutif, même les plus insensées, même les plus illégitimes, n’hésitant pas à se dédire à quelques semaines d’intervalle, revenant sans coup férir sur ses propres appréciations ! »
« Non seulement, l’État ne se donne pas la peine de fournir la moindre justification des restrictions inédites des libertés qu’il impose, mais, interrogé par la Commission nationale informatique et libertés, la CNIL, sur l’efficacité des mesures imposées, il reste étonnamment silencieux.
Pour autant, le Conseil d’État ne semble pas s’en offusquer…
Il ne fait aucun doute qu’une fois cette crise passée, certains auront des comptes à rendre ».
« Aurait-on jamais pu imaginer que, dans un État démocratique comme le nôtre, de telles dérives puissent être admises ?
Pourtant, force est de constater que tel est le cas.
La majorité de nos concitoyens, tétanisée par la peur soigneusement entretenue par les canaux officiels, s’est laissé dépouiller, impuissante, de tous ses droits et ses libertés fondamentaux ».
« Les plus grands principes du droit et les règles qui régissent la vie quotidienne de tout un chacun, ont été invalidés et écartés.
Qu’il s’agisse du libre consentement, de la liberté de disposer de son corps, de l’intérêt supérieur de l’enfant, de l’autorité parentale, des libertés publiques, de la police administrative, des libertés individuelles et des droits fondamentaux, du droit du travail et de la fonction publique, du droit de la santé, du service public ou encore de la réparation des dommages causés aux victimes d’accidents médicaux […] ».
« Ces nouvelles règles infligent une violence sociale inouïe ».
« Aujourd’hui, des Français […] comprennent enfin que l’on s’est joué d’eux, qu’on leur a menti, qu’on les a manipulés. L’intolérable chantage exercé sur eux leur apparaît maintenant pour ce qu’il est : odieux et illégitime ».
« Ainsi, la soumission à l’injonction est devenue la condition pour exercer ses libertés, la stigmatisation d’une partie de la population, la règle (aujourd’hui, ce sont les personnes non-vaccinées, mais qui seront les prochains ?) ».
« Il faut à présent que les Français réagissent.
Il est temps ! »
Candice Vacle
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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