“MON PAYS NE VEUT PLUS DE MOI CAR JE REFUSE LE VACCIN”,
ENTRETIEN AVEC LE GÉNÉRAL GUILLAUME
3 décembre 2021
Général Guillaume : Général de Division
→ Mon Général, pouvez-vous vous présenter ?
Je suis le Général Guillaume. J’ai intégré Saint-Cyr dans les années 1980 puis j’ai fait l’intégralité de ma carrière dans l’infanterie (Troupes de Montagne, Troupes de Marine) puis en État-Major. Je suis aujourd’hui Général de Division.
→ Mon Général, êtes-vous vacciné ? Pourquoi ? Quels effets cela a-t-il sur votre carrière ?
Je suis vacciné, j’ai pris la décision personnelle de me faire vacciner en conscience car je fais partie de la population considérée comme « à risque ». Je souffre d’une maladie que je traîne de façon chronique depuis Daguet [la Première Guerre du Golf], une maladie qui m’a abîmé les poumons. Rien de grave dans la vie quotidienne, mais en cas de complication dû au COVID, mais chances de survie ne sont pas garanties. Pour moi, cela faisait donc sens de me vacciner, je l’aurais fait de toute façon.
Pour autant, j’ai encouragé mon épouse et mes enfants et petits enfants à ne pas le faire. Le vaccin s’adresse surtout à des gens comme moi. En fait, il s’adresse même exclusivement à des gens comme moi. Mon petit fils de 13 ans n’a absolument aucune raison de se faire injecter. C’est un non sens. Je suis partisan d’une approche responsable de la vaccination, basée sur la responsabilité individuelle : les gens qui veulent se vacciner, car ils sont à risque (réellement à risque), doivent pouvoir le faire. Mais c’est tout.
Je trouve qu’il est absolument scandaleux que l’on force de façon directe ou indirecte des citoyens français à se faire vacciner contre une maladie somme toute bénigne, en tout cas qui ne les menace pas. Mon petit fils, dont je viens de parler, fait du rugby et du VTT en club. Il a un très bon niveau en rugby, mais aujourd’hui il ne peut plus aller aux entraînement car il n’est pas vacciné. C’est absolument stupide. Et c’est même criminel.
On observe la même chose dans l’armée ainsi que dans la gendarmerie : des militaires d’une grande valeur sont poussés vers la sortie en raison de leur statut vaccinal. L’armée manque de moyens, mais pourtant on refuse à certains jeunes la possibilité de s’engager, uniquement car ils ne sont pas vaccinés… De même, l’armée manque de cadres de contact, de sous-officiers, et pourtant l’institution se met à faire la chasse à ces sous-officiers qui refusent de se faire vacciner. Ou pire, à ces sous-officiers qui refusent de jouer la police sanitaire dans leur groupe ou leur section.
Lors d’une visite dans un régiment, j’ai un lieutenant qui m’a interpellé de façon assez directe et assez inhabituelle quand nous étions entre nous. Nous parlions de plusieurs sujets et nous en étions arrivés à parler du sujet de la vaccination et j’ai laissé entendre de façon subtile que je pensais beaucoup de mal de la politique du gouvernement et du CEMA, totalement déconnectée de la réalité du terrain. Le jeune lieutenant n’a pas manqué de me demander, plein de candeur : « Mais Mon Général, vous êtes général, pourquoi vous ne faites pas quelque chose, pourquoi vous ne vous opposez pas à ces décisions ? »
C’est une question légitime. Mais tellement naïve. En tant que général de division, j’ai une meilleure paye que ce lieutenant. J’ai aussi plus d’avantages. Plus d’ancienneté. Plus de responsabilités et plus d’autorité aussi. Mais ça ne veut pas dire que j’ai plus de pouvoir que lui. La structure de l’armée est faite de telle façon que, plus vous montez dans les échelons, plus vous avez de l’autorité. Mais vous n’avez jamais vraiment plus de pouvoir. Vous remarquez vite, à chaque nouvel échelon, qu’en fait le pouvoir décisionnaire véritable vous échappe toujours. En tant que militaires on sait bien que le pouvoir est pyramidal, hiérarchique, vertical. On sait bien qu’on n’aura toujours moins de pouvoir que la personne du dessus. Mais on croit quand même très naïvement que l’on aura, à chaque échelon, un peu plus de pouvoir qu’à l’échelon précédent. On croit que le « pouvoir » est une sorte d’entreprise, où certains sont actionnaires majoritaires avec 51% des parts, où d’autres ont seulement 30% et d’autres 5%, 2%, 1%. On espère qu’à chaque nouvel échelon que l’on grimpe, on gagnera quelques parts de pouvoir supplémentaires.
C’est totalement faux en réalité. Cette vision est totalement fausse. J’ai aussi peu de pouvoir aujourd’hui après quatre décennies de carrière, qu’hier quand j’étais un khornichon de 16 ans. Le pouvoir n’est pas pyramidal. Le pouvoir est un point de concentration unique. Et il n’est pas dans la main des militaires. Nos dirigeants ont le pouvoir sans la responsabilité. Nous, militaires, avons la responsabilité sans le pouvoir. La vie est bien faite…
Je ne sais pas si vous comprenez exactement ce que j’essaye d’expliquer. En réalité je suis en train de vous expliquer que je suis tout aussi impuissant qu’un boulanger ou qu’un caporal face à la situation actuelle. Je vous témoigne de ma propre impuissance. C’est mon cas, et c’est le cas de la totalité des mes collègues, quelque soit le nombre d’étoiles. Je crois que même le CEMA et le CEMAT savent très bien que leur marge de manœuvre est totalement limitée.
Face au traitement qui est reservé à nos subordonnés, nous n’avons aucun pouvoir. J’ai personnellement essayé de faire entendre une voix discordante, comme certains collègues, cela a été inutile. J’ai essayé de faire remonter les plaintes que je recevais de certains chef de corps, cela a été inutile. J’ai écrit plusieurs lettres, transmettant des témoignages déconcertants que je recevais de plusieurs officiers. Je n’ai jamais reçu rien d’autre que du silence.
Et pourtant, les éléments que je portais à la connaissance de mes supérieurs étaient très préoccupants. Des centaines et des centaines de cas de militaires qui se retrouvent totalement inaptes après avoir été vaccinés. Je citais notamment le cas dans une lettre d’un jeune EVAT dans un régiment des troupes de montagne : il s’est engagé à 19 ans, il a fait sa formation initiale et sa formation de spécialité, il sort dans les trois premiers de sa cohorte. Il avait un profil très sportif, bien câblé, le genre qui une tête bien remplie et des bras bien faits, typiquement le genre de jeune que son CDU aurait pu orienter vers les GCM ou l’EMIA [Commando-Montagne ou École d’Officiers]. Sa section a été vaccinée par le SSA : après sa seconde dose, il s’est retrouvé immobilisé pendant plusieurs semaines. Il a développé des symptômes d’embolie pulmonaire, avec des difficultés respiratoires assez graves, qui l’empêchent même de parler sans être essoufflé. Vous savez ce qui lui est arrivé ? Le jeune s’est fait virer, l’armée a artificiellement prolongé sa période probatoire pour pouvoir briser son contrat, au motif qu’il « présentait des contre-indications médicales au métier militaire ». Et c’est tout. Voilà. Ce pauvre jeune qui aurait fait un très bon soldat se retrouve dans le civil, avec des poumons détruits irrémédiablement.
J’ai écrit à un ami à la DRHAT pour ce cas précis, sur lequel j’étais bien informé. Vous savez ce qui s’est passé ? Ce n’est pas mon ami qui m’a répondu. J’ai reçu une lettre d’un supérieur, qui m’a expliqué que « je sortais totalement de mon rôle » en m’intéressant à ce « sujet secondaire ». Je lui ai répondu que mon rôle d’officier c’est aussi d’être capable de sortir des sentiers battus et d’alerter mes chefs quand je vois que des décisions politiques sont en train de détruire l’armée que je sers.
Car c’est ce qui est en train de se produire. Des cas comme celui que je viens d’évoquer, il y en a des milliers. Je n’exagère pas. Des milliers de jeunes et de moins jeunes avec des symptômes plus ou moins graves. Cette campagne de vaccination précipitée cause plus d’attrition et de pertes à l’armée que nos 20 dernière années d’OPEX… Vous vous rendez compte de l’imbécillité de la chose ?
Mais le pire ce n’est pas ça. Le pire c’est que les hommes s’en rendent compte. Tout le monde dans l’armée connaît au moins un collègue, un proche, un chef ou un subordonné, qui se retrouve mal en point après le vaccin. Les rumeurs circulent, les gens parlent et débattent de tout ça. Le climat est d’autant plus grave qu’on atteint une forme de paranoïa, légitime, où n’importe quel arrêt maladie ou n’importe quel décès dans l’armée est lié au vaccin. Je ne dis pas que c’est le cas, l’armée compte près de 200 000 personnels, statistiquement il y a forcément des malades et des morts. Mais nos hommes sont tellement habitués à voir leurs camarades souffrir d’effets secondaires, qu’ils se mettent à cibler le vaccin pour chaque petit problème.
Le problème de tout cela, c’est que les conséquences sont extrêmement délétères. La méfiance et la défiance montent dans certaines unités. L’armée ne communique pas. Le SSA ne communique pas. La seule chose que les hommes voient c’est qu’ils doivent se faire vacciner, sinon ils seront traînés dans la boue et virés. Et s’ils se vaccinent, ils voient que certains de leurs amis souffrent de complication. Je suis désolé de dire ça, mais même le dernier des mercenaires n’accepterait jamais d’être traité avec si peu de déférence.
Il ne faut pas s’étonner, après, que des dizaines de milliers de militaires décident de sortir de cette boucle infernale en se faisant faire des faux, ou en ne renouvelant pas leurs contrats. Vous pouvez demander énormément de choses à un soldat tant que vous le faite avec autorité, gravité et respect. Mais il y a certaines limites. Cette façon de traiter nos militaires, en variable d’ajustement et en cobaye, est absolument outrageante.
Je crois que les hommes accepteraient bien tout cela, si c’était effectivement la seule façon de se prémunir d’un péril immense. Et si on le leur demandait droit dans les yeux. Le risque fait partie du métier de militaire.
Mais les risques qu’ils prennent aujourd’hui, ils les prennent pour des raisons purement politiques. J’ose affirmer que, au bout du compte, un caporal-chef de 25 ans ne va pas mourir ou tuer qui que ce soit s’il refuse de se vacciner. J’ose l’affirmer, et je défie M. Véran d’aller défendre l’argument contraire et d’aller expliquer à une section de capo-chefs que, s’ils ne sont pas vaccinés, ce sont des irresponsables qui risquent la mort et qui risquent de tuer leurs proches.
Je sais que certains de mes collègues ne seront pas d’accord avec ce que je vais dire, mais je vais le dire : cette épidémie de COVID est avant tout une épidémie médiatique. Dans le sens, où elle est purement fabriquée par une sorte d’hystérie médiatique. Habituellement, des réseaux politico-médiatiques s’agitent pour influencer sur le bulletin que l’on choisit de mettre dans l’urne : les gens ne voteront pas pour le candidat qui les a convaincu, ils votent pour le candidat que les médias ont promu. C’est le fondement de notre démocratie. Aujourd’hui, ces mêmes réseaux politico-médiatiques sont recyclés pour encourager les gens à la vaccination. Les gens ne se vaccinent pas parce que le vaccin les a convaincu, mais parce que les réseaux politico-médiatiques les convainquent de se faire vacciner. C’est tout. Le cœur nucléaire de la pandémie de COVID ce n’est pas le virus, ou le vaccin. Le cœur nucléaire de la pandémie de COVID ce sont les médias et ceux qui dirigent les médias, qui dirigent les médias dans un certain sens.
Vous doutez de ce que je dis ? Posez-vous une question toute simple : si vous n’aviez pas accès aux médias et si il n’y avait aucune mesure sanitaire, est-ce que vous seriez capable de dire que le pays fait face à une épidémie ? Je veux dire, est-ce que en vous promenant, en parlant avec vos proches, vous seriez capables de dire qu’il y a une épidémie ? Moi non. Absolument pas. Car l’épidémie n’existe pas, ou alors de façon extrêmement marginale. Pendant la Peste Noire, mon village en Franche-Comté est passé d’environ 1700 habitants à moins de 25 habitants. Il restait 6 familles. Je peux vous assurer que ces 6 familles n’avaient pas besoin de France Inter pour se rendre compte qu’elles faisaient face à une épidémie. Vous si. Sans médias et sans mesures gouvernementales, notre vie serait exactement la même qu’il y a 2 ans. Tout au plus certains se plaigneraient du fait que la grippe, cette année, a été particulièrement agressive. Et c’est tout.
C’est pour moi la preuve que cette pandémie est, avant toute chose, une création ou une exagération médiatico-politique. Dans les TTA de l’armée française ou dans la documentation de l’OTAN, tout cela est regroupé dans un champs d’étude très précis, celui des CIMIC, les actions civilo-militaires. En langage plus compréhensibles, on appelle cela les PSYOPS, la guerre psychologique. L’idée est simple : comment, par des moyens non-militaires, une armée va gagner les cœurs et les esprits de la population et entraîner son adhésion à une cause ou une idée.
Dans la BSS [Sahel], nous avons plusieurs programmes de ce types : distributions de matériel et de cadeaux à la population civile, campagnes sur les réseaux sociaux visant à changer la perception des civils locaux envers l’Armée Française, etc. Non seulement ces techniques sont utilisées, mais elles marchent très bien, très très bien même. C’est la raison pour laquelle nous avons des TTA [manuels] complets sur le sujet en France depuis les années 1970, et que les américains et les britanniques ont des unités spécialisées dans ce domaine. Avec assez de moyens, sur le long terme, les PSYOPS permettent d’obtenir des résultats exceptionnels sans avoir à déployer un seul GTIA sur le terrain.
Pour moi, la pandémie de COVID entre exactement dans le champs des CIMIC ou PSYOPS. Pour moi, nous sommes de fait dans une forme de guerre psychologique qui est menée contre la population civile française de façon à lui faire croire :
- qu’elle fait face à une menace grave et existentielle (le virus)
- que le seul moyen d’y faire face et de sacrifier certaines libertés au gouvernement
Je ne dis pas qu’il y a un grand plan coordonné visant à mener une guerre psychologique à la population civile française. J’ai beaucoup de mal à imaginer cela. Mais je dis que c’est de facto ce qui se produit, les français sont attaqués par des moyens de guerre psychologique, les premiers étant les médias et leur pornographie de la peur. Est-ce un traitement médiatique conscient ? Ou bien totalement inconscient et seulement guidé par l’appât du clic et du gain ? Je n’en sais rien, je ne suis pas journaliste.
Mais ce qui est certain c’est que la population française est attaquée. Très clairement. Dans les faits, peu importe qui est le responsable et qui vise quoi, à quelles fins, j’observe simplement que notre population est attaquée, ses représentations mentales sont parasitées et attaquées. Et les effets de ces attaques, on les voit depuis deux ans : une démission totale de tout sens moral et critique, un abandon et une acceptation des politiques du gouvernement.
C’est ce qui me pousse à dire que notre gouvernement est complice et coupable. Un gouvernement doit avoir assez de hauteur de vue pour voir quand sa population est menacée et attaquée, y compris quand cette attaque est purement informationnelle. Et ayant remarqué cette menace, le gouvernement doit agir pour protéger sa population. S’il ne réagit pas, il est soit incompétent, soit complice. Notre gouvernement ne réagit pas, mais en plus il prend part lui même à l’attaque en contribuant à répandre la peur. Il va même plus loin, non seulement il contribue à bombarder sa propre population, mais il sabote même sa propre armée, en bombardant mentalement sa propre armée. Dans le langage de la marine, on appelle cela un sabordage. Dans le langage courant on appelle cela un coup de poignard dans le dos. Dans le langage universel on appelle cela une trahison.
J’accuse donc les institutions politiques de mener une politique sanitaire totalement inique. Une politique sanitaire qui est en train de fracturer profondément notre armée, de détruire la confiance des hommes dans leurs chefs, de détruire notre culture du commandement, de détruire des régiments, de détruire des vocations. Et surtout, de détruire des hommes.
Et ce constat est autant valable dans l’armée que dans la population civile. Cette façon de faire, ces attaques psychologiques et cet empire du mensonge ne détruisent pas seulement la cohésion des régiments. Ils détruisent la cohésion des familles, la cohésion des couples, la cohésion des entreprises, la cohésion des groupes d’amis… Le gouvernement, par sa politique totalement irresponsable, est en train de semer les germes de la défiance, de la sédition et de la guerre… dans son propre pays.
Le militaire, c’est l’homme qui s’engage à se battre pour retrouver ensuite son pays plus grand et plus paisible. Je peux vous assurer qu’un militaire qui rentre aujourd’hui, en 2021, d’une mission au Sahel, ne peut absolument pas dire que le pays qu’il retrouve est plus paisible qu’il y a un an. Les militaires sont des hommes de paix, ils veulent la guerre aujourd’hui pour avoir la paix demain. Vous êtes en train de leur arracher cet espoir et de cliver durablement le pays. Vous êtes en train de détruire la paix pour laquelle les militaires se battent…
Cette façon de faire est de toute façon très grave. Si elle est involontaire, elle est la preuve d’une grande irresponsabilité. Si elle est volontaire, elle est la preuve d’une grande noirceur d’âme. Les gens qui agissent de la sorte sont hideux et vils, j’ose le dire en sachant très bien que je parle de mes supérieurs : vous êtes hideux, vils et si il existe quelque part quelque chose qui s’apparente à l’Enfer, croyez bien que votre place là-bas est déjà réservée.
Je n’ai qu’un mot à dire pour finir, un mot que j’adresse indifféremment aux militaires comme aux civils : la situation est compliquée. Je suis aussi perdu que vous, tout autant que beaucoup de mes amis, collègues, supérieurs et subordonnés. Je pense que nous sentons tous le « vent du changement », comme dit la célèbre chanson de ma jeunesse. Mais je suis incapable de vous dire vers quoi nous allons. Si nous allons vers une issue heureuse, ou bien vers des heures encore plus difficiles.
La seule chose que je peux vous garantir, c’est qu’il y a de toute façon des données invariables : la famille, les valeurs du travail, de l’amitié, l’amour pour votre conjoint et vos enfants, toutes ces petites choses-là vous aideront à franchir les grandes vagues et à éviter la submersion (et la subversion). Ne succombez pas aux divisions et aux diversions. Ne vous laissez pas submerger par l’impuissance ou l’indécision. Vous êtes encore capables de faire des choix et en plus de faire les bons choix. Il vous suffit de vous poser les bonnes questions. Les bonnes décisions sont souvent difficiles à prendre. Mais elles en valent la peine. Alors prenez soin de vous. Et comme on dit chez les paras : être et durer. Soyez ce que vous êtes et ayez pour seul et unique objectif de traverser tout cela, de laisser quelque chose, d’être plus fort que les nuages sombres qui nous menacent. Vive la France !
Source : Reseau International
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