Cette intervention est mémorable, un véritable moment d’anthologie.
Durant cette même période, un certain Mélenchon mettait ces réels talents d’orateur aux service de la cause « maestrichtienne » en enfilant contre-vérité sur contre-vérité, comme s’il n’avait pas lu le traité. Depuis, il a, paraît-il, fait amende honorable. Mieux vaut tard que jamais, même si le mal est fait. On se dit que, compte tenu du résultat très serré malgré la propagande pour le « oui », il aurait pu faire pencher la balance de l’autre côté. En fait, Mélenchon n’a jamais été là quand on avait besoin de lui.
Mais, consolons-nous. Même si le « non » l’avait emporté, on nous aurait tout de même refilé le traité d’une manière ou une autre, au pire en se passant du référendum comme on l’a fait avec le traité constitutionnel rejeté par le peuple et imposé quelques années plus tard comme traité de Lisbonne.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International