Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : archives fédérales allemandes/Wikimedia Commons
Dans une plainte déposée devant la Cour pénale internationale par un groupe de Britanniques — notamment contre Boris Johnson, Bill et Melinda Gates, Klaus Schwab, le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus et bien d’autres personnalités — pour crimes contre l’humanité et violations du Code de Nuremberg, une survivante de la Shoah, Vera Sharav, trace un parallèle saisissant entre les horreurs que perpétraient les nazis et les crimes de la dictature sanitaire actuelle :
« Sous le régime nazi, les normes morales ont été systématiquement oblitérées. La profession et les institutions médicales ont été radicalement transformées, la science universitaire, l’armée, l’industrie et la médecine clinique étaient étroitement imbriquées, comme elles le sont aujourd’hui. Le système nazi a détruit la conscience sociale au nom de la santé publique. Les violations contre des individus et des classes d’êtres humains ont été institutionnalisées. Les politiques de santé publique axées sur l’eugénisme ont remplacé l’accent mis par les médecins sur le bien de l’individu. La profession et les institutions médicales allemandes ont été perverties. Les politiques de santé publique coercitives violent les droits civils et humains individuels. Des méthodes criminelles sont utilisées pour faire appliquer ces politiques. La propagande nazie a utilisé la peur des épidémies infectieuses pour diaboliser les Juifs en tant que propagateurs de maladies, en tant que menace pour la santé publique… La peur et la propagande étaient les armes psychologiques utilisées par les nazis pour imposer un régime génocidaire et aujourd’hui, certains commencent à comprendre pourquoi le peuple allemand ne s’est pas soulevé, la peur l’a empêché de faire ce qu’il fallait. Les mandats médicaux sont un grand pas en arrière vers une dictature fasciste et un génocide. Les dictats gouvernementaux, l’intervention médicale, tout cela porte atteinte à notre dignité ainsi qu’à notre liberté… La leçon brutale de l’Holocauste est que lorsque les médecins s’allient au gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas nuire à l’individu, la médecine peut alors être pervertie et passer d’une profession de guérison et d’humanité à un appareil meurtrier… Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par le corps médical, tout le corps médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par les autorités médicales académiques et professionnelles. Les médecins et les prestigieuses sociétés et institutions médicales ont donné un vernis de légitimité à l’infanticide et au meurtre de masse des civils. T4 a été le premier projet de meurtre médical industrialisé de l’histoire. Les premières victimes étaient des nourrissons et des enfants allemands handicapés de moins de 3 ans… Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Les opérations meurtrières étaient méthodiques, et suivaient le protocole très, très soigneusement. »
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