« L’émancipation humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la force sociale sous la forme de la force politique. »
K. Marx, La Question Juive
Voter, c’est abandonner sa vie au pouvoir commercial de la légalité démocratique des représentations qui incarcèrent les hommes comme images-objets, là où la marchandise se contemple elle-même en tant que permanence du spectacle des aliénations qu’elle ne cesse de renouveler selon les nécessités du temps-argent…
Nous refusons toutes les républiques de la valeur d’échange, en rejetant l’ensemble des gangs politiques qui, de l’extrême droite à l’extrême gauche du Capital, entendent administrer le fonctionnement global de l’exploitation pour nous embrigader dans l’illusion des mille trucages du cirque électoral.
Le Coronamensonge étatique mondial qui nous gouverne depuis de longs mois d’union sacrée de toutes les mafias économiques et politiques de la terre chosifiée, s’efforce misérablement de faire de l’affolement et de l’épouvante, la machinerie continuelle de son histoire policière afin de tenter de bannir à jamais la lutte de classe communarde contre le règne de la quantité… Mais il n’y parviendra pas…
La grande mondialisation financière de l’endettement sans fin qui avait pour fonction de s’évertuer à camoufler la saturation du marché international de la libre circulation aliénée des hommes et des marchandises a avorté et a donc mis en branle la mystification sanitaire et vaccinale comme nécessaire et monumentale scénographie de l’opéra orwellien d’une diversion totalitaire planétaire…
L’ambition de la démence cybernétique de la tyrannie démocratique de la valeur d’échange est de disloquer le réel humain afin de nous convertir en simples appendices commerciaux asservis du fétichisme de la marchandise pour faire de nous la triste foule disciplinée et abêtie de ces milliards de solitudes machiniques perpétuellement errantes dans l’infernale liberté despotique du taux de profit…
L’immense panique de la domination pleinement réalisée de la marchandise autocratique, si robuste et si médiocre à la fois, c’est ce retour incendiaire à la vie joyeuse récalcitrante qui fait spontanément communauté de lutte et dont les Gilets Jaunes ne furent qu’un début d’avant-propos… On comprend dès lors que le gardiennage médical et la répression policière aient fusionné dans la sur-veillance de la surveillance aux fins de retarder au maximum le temps du prochain réveil si terrible des luttes de classes qui fait déjà trembler toutes les racailles d’en haut et d’en bas…
Issu de l’espace péri-urbain si méprisé par les mégapoles privilégiées de la mondialisation cosmopolite… A l’opposé des syndicats et partis subventionnés du gouvernementalisme de l’exubérance dictatoriale de l’argent… Totalement aux antipodes des clientèles favorisées de l’immigrationnisme, du sans-papiérisme, du LGBTisme et de l’écolo-boboïsme, le mouvement des Gilets Jaunes – né d’une colère prolétaire profonde – indique, par sa nature instinctive, un bouillonnement incontrôlable réellement venu du cœur de l’insubordination humaine. La recherche de la rencontre chaleureuse et de la parole franche aux ronds-points et lors des manifestations, l’aspiration simple et saine de pouvoir vivre hors des diktats du solvable omniprésent démontrent – par la richesse de l’humus historique – que ce qui a émergé hier resurgira demain et dans des niveaux de turbulences in-comparables qui enverront se faire foutre tous les scientifiques de la soumission…
Dès maintenant et face à l’immense dévastation industrielle, commerciale et bancaire qui se prépare, Œuvrons partout à préparer la désobéissance sociale contre tous les rackets électoraux de la marchandisation incessante ! Rassemblons-nous et organisons-nous contre les fabulations épidémiques du Coronavirus étatique qui a artificiellement voilé l’enrayement des manigances du capitalisme drogué et sénile afin d’empêcher que l’on voie justement que le processus d’exploitation mondiale ne parviendrait plus à pouvoir reproduire sa production…
Non ! Nous ne voulons pas améliorer les institutions de la dictature démocratique de la loi du rendement, renouveler les classes dirigeantes de l’imposture généralisée ou moderniser le mode de production de la merde marchande,… Nous voulons œuvrer à la révolution prolétarienne – non point pour reprendre fictivement le contrôle de nos vies sur le terrain mystificateur des ateliers constituants de la gestion directe du temps-mercantile – mais pour balayer le calendrier de la monnaie irréversible et faire surgir la Belle Volupté des désirs humains émancipés,
enfin capables de faire émerger la communauté de leur véritable satisfaction…
En Dehors et contre les fourberies de la duperie votarde !
Récusons tous les crétinismes électoralistes ! À bas la tyrannie sanitaire de tous les mensonges du spectacle étatique de la crise finale du Capital !
Vive la Guerre de Classe mondiale du Prolétariat contre tous les Partis et Syndicats de la planète-marchandise et pour un monde sans exploitation ni aliénation !
VIVE LA COMMUNE UNIVERSELLE POUR UN MONDE SANS ARGENT, SANS SALARIAT, NI ÉTAT !
Source: Lire l'article complet de Guerre de Classe