Le tri des « patients prioritaires » et « non prioritaires » se pratiquait déjà, avant le canular-19.
Ca s’est encore aggravé depuis.
Beaucoup trop de toubibs sont devenus en toute conscience, des « pharmaciens/dealers » doublés d’ »assassins passifs » qui tuent certains patients par négligence volontaire, aussi bien dans les cliniques que les hôpitaux.
L’appat du gain, l’orgueil et la vanité du « bon docteur qui a la lumière et qui sait » est la seule chose qui les empêche de devenir complètement dingue ou de se foutre en l’air.
Quand la république cherche à détruire le service publique, il est logique que les zopitaux ne veuillent soigner que des clients solvables et en bonne santé.
Il est logique de former les futurs infirmiers à abréger les souffrances des mauvais malades (pour libérer une chambre) plutôt qu’à soigner et comprendre leurs pathologies.
Il est logique d’encourager les généralistes à jouer les capo/délateurs en se servant des DMP.
Les DMP ,via la carte vitale, ressemblent d’ailleurs de plus en plus à des bulletins scolaires avec des appréciations indiscrètes et pas toujours très flatteuses du genre : « Patient chiant, fumeur et anti-vaccins. Pas de zèle. »
Ce qui peut mener parfois à des choix thérapeutiques surréalistes et monstrueux.
La bienveillance des soignants est quasiment devenue de l’histoire ancienne pour ceux qui ont moins de 50 ans.
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