Faut-il exterminer les non-vaccinés ?

Faut-il exterminer les non-vaccinés ?

 

 

Le Système ne serait pas contre, mais voilà, les non-vax sont solides, ils résistent à tous les virus, tous les variants, toutes les menaces du pouvoir, et Dieu sait s’il y en a. Pas un jour, depuis presque deux ans maintenant, sans un ultimatum, une pression, un vous-allez-voir, en direction des Français en excellente santé qui refusent obstinément, pour des raisons obscures, de se faire shooter le métabo par la paire de milliardaires méphistophéliques Bancel & Bourla, ces sauveurs de l’humanité souffrante. Et solvable, surtout.


Ne pouvant pas, à moins de triturer la Constitution, obliger les six millions de résistants à se faire piquer une, deux, trois, quatre, voire cinq fois, les représentants du Système tentent de pourrir la vie des autres au point de ne leur laisser qu’un « choix » : la piqûre, ou la mort sociale. Mais voilà, la piqûre, et on le voit chez les vax, est déjà une forme de mort sociale, puisqu’elle rime avec renoncement, soumission, abattement, et prise de risque insensée avec son propre corps. Il est donc logique de refuser un faux vaccin mais vrai modificateur métabolique qui présente des risques potentiels à court, moyen et long termes.

 

Quand les vaccinés seront en excellente santé, et que les non-vaccinés seront mourants, alors nous accepterons peut-être un vaccin, pas un modificateur moléculaire. Mais il faudra bloquer toutes ces infos qui remontent du terrain, et qui sèment le doute…

 

Reconnaissons que la majorité silencieuse est vaccinée, à plus de 60 %, peut-être même 70, et qu’à ce propos, le (pseudo-)vaccin fait peut-être aussi, dans ses effets secondaires, fermer sa gueule.

 

Les vaccinés silencieux ne sont pas forcément les plus informés, mais c’est dans la douleur qu’on apprend aussi de ses erreurs. La question qui se pose, pour ces personnes qui croient encore aveuglément à l’autorité politique en place, c’est : au bout de combien de « drôles » de piqûres vont-ils comprendre l’arnaque ? 5 ? 10 ? 20 ? Tiendront-ils seulement jusque-là, physiologiquement s’entend ?

 

Les prédateurs ont toujours eu besoin des herbivores,
comme les salauds ont toujours eu besoin des cons

Tous les gouvernements, même les plus médiocres, peuvent compter sur cette large portion de la population qui est prête à tout gober, du moment qu’on ne touche pas à son petit confort, qu’il soit matériel ou mental. En général, en temps de guerre, ces personnes finissent sacrifiées par le pouvoir, qui les traite comme de la viande à canon, ou de la viande à ticket de rationnement (on y viendra peut-être, au rationnement).

Or, nous sommes en guerre, a dit le Président, pour qui la plupart de ces naïfs ont probablement voté. Parce qu’on préfère souvent persister dans l’erreur que de la reconnaître…

 

Le plus étonnant, c’est que cette majorité silencieuse, qui fait les présidents qui l’exploitent, à travers un Système pas du tout démocratique, vit sous son propre joug sans s’en rendre compte. La vie de la majorité qui ferme sa gueule serait bien meilleure si elle l’ouvrait, c’est-à-dire sans ces Macron, ces Castex, ces Véran. Oui mais voilà, c’est toujours le vieux vin qui est bon !

C’est l’ignorance de la majorité silencieuse qui produit des Macron, des Castex, des Véran, ces créatures du Diable qui oppressent, et c’est logique, la minorité gueulante.

Bonus : le puceau de France 3 qualifie les régions peu vaccinées
de « mauvais élèves » !

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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