Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Adobe Stock
Il y a tout juste trois ans, Amy Walker était une jeune femme de 19 ans qui rêvait de faire des études qui la mèneraient à une carrière épanouissante. Amy a traversé sa part de difficultés alors qu’elle traçait son chemin. Mais au fond d’elle-même, elle luttait en silence contre le poids de la culpabilité, de la dépression et de l’anxiété, car contrairement à la plupart des femmes, Amy avait été victime d’un viol collectif un an auparavant.
En quête d’aide pour un traumatisme lié à un viol, Amy a été poussée à avorter
Amy a raconté à Live Action News : « Je suivais des cours d’été en Caroline du Nord après avoir obtenu mon diplôme de fin d’études secondaires et j’étais à une réunion avec des amis lorsque cela s’est produit. C’est trop horrible pour en parler, même aujourd’hui, quatre ans plus tard. Mais après le viol, j’ai souffert d’anxiété et de dépression. Je n’arrivais pas à nouer des relations saines. Je n’étais pas en bons termes avec mes parents. À ce moment-là, je voulais juste que la douleur s’arrête. J’ai fait une overdose dans l’espoir de mettre fin à ma vie ».
La famille d’Amy est intervenue et l’a fait entrer dans un centre de réadaptation pour la mettre sur la voie de la guérison et du pardon de soi. C’est pendant son séjour là-bas qu’elle a commencé à se sentir mal et a demandé un traitement médical. Des analyses de sang ont révélé qu’elle était enceinte. Une infirmière praticienne qui s’occupait d’elle lui a conseillé vivement de se faire avorter.
Elle n’avait pas de ressources financières et pensait que l’homme qu’elle fréquentait par hasard ─ qui est décédé quelque temps après d’une overdose de drogue ─ était le père de son enfant. Elle a découvert plus tard, grâce à un test ADN, qu’il ne l’était pas. Elle savait qu’elle serait seule responsable de l’éducation de son bébé. Pourtant, elle ne pouvait pas envisager d’interrompre sa grossesse.
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