Un bébé prématuré né à 22 semaines de grossesse rentre chez lui

Un bébé prématuré né à 22 semaines de grossesse rentre chez lui

Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tobilander/Adobe Stock

Un bébé prématuré né avec 18 semaines d’avance a défié les probabilités et peut maintenant passer les fêtes d’Actions de grâce à la maison avec sa famille.

Juana Gallegos a raconté son histoire et celle de son bébé à la chaîne d’information locale KHOU, décrivant comment elle est entrée en travail le 29 avril alors qu’elle n’était enceinte que de 22 semaines. L’hôpital où Mme Gallegos s’est rendue lui a dit qu’ils ne pourraient pas sauver son bébé. « Ils m’ont dit qu’ils ne pourraient pas la réanimer ou faire quoi que ce soit pour elle si elle naissait là-bas, à ce moment-là, si tôt », a-t-elle raconté. Je leur ai dit : « Transférez-moi maintenant ».

Mme Gallegos a pu se rendre au Memorial Hermann The Woodlands Medical Center, qui dispose d’une unité de soins intensifs néonatals de niveau III. C’est là que sa petite fille, Jimena « JC » Macias, est née. Elle ne pesait que 708, 74 grammes et ne mesurait que 28 cm. Elle avait besoin d’un ventilateur pour l’aider à respirer, tandis qu’une perfusion lui apportait de la nourriture par le biais de son cordon ombilical.

La petite JC a passé 112 jours à l’unité de soins intensifs néonatals, mais elle était suffisamment bien pour rentrer chez elle à temps pour l’Action de grâce, ce que ses parents n’auraient jamais cru possible. « Le premier jour, le deuxième jour, le 30e jour… je ne pensais pas qu’il serait possible de passer les fêtes ensemble », a déclaré Mme Gallegos. « Dieu avait d’autres plans ».

Le père de JC, Eduardo Macias, a déclaré à KHOU que la famille a une nouvelle appréciation des inconvénients qui viennent avec les soins d’un nouveau-né. « Nous voyons les choses d’un autre point de vue et nous sommes reconnaissants, car nous n’aurions pas vécu cela si elle n’était pas là », a-t-il déclaré.

Le Dr Rebecca Ballard, néonatologiste au Memorial Hermann/Pediatrix Medical Group of Texas, a déclaré que la survie de JC était tout simplement miraculeuse. « Même si j’aimerais que cette histoire se produise pour tous les bébés nés aussi tôt, ce n’est pas possible », a-t-elle déclaré. « Il ne faut pas penser que son histoire représente tous les bébés, mais cela rend encore plus miraculeux le fait que cela soit arrivé ».

Les bébés prématurés comme JC sont confrontés à une bataille importante pour leur survie ─ seuls 10 % environ des bébés nés à 22 semaines de grossesse s’en sortent, selon Verywell Family. Pourtant, les enfants nés à 21 semaines ont désormais une chance de survivre en dehors de l’utérus s’ils reçoivent les soins médicaux appropriés. Comme Mme Gallegos en a fait l’expérience, tous les hôpitaux ne sont pas équipés pour aider des enfants aussi petits, et il est donc heureux qu’elle ait pu se rendre à temps dans un établissement capable de l’aider. Pour trouver un hôpital près de chez vous qui est équipé pour aider les enfants de 22 semaines, cliquez ici.

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

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