par Marie-France de Meuron.
Que vivent et ressentent ceux qui désirent prendre soin de leur santé sans passer par l’inoculation génique, improprement dénommée « vaccin anti-covid » ? À l’ère d’aujourd’hui on a vite fait de classer les personnes qui s’affirment hors opinion unique dans une catégorie avec un nom à l’emporte-pièce, dans ce cas les appelant « complotistes » ou « coronasceptiques », qualificatifs se basant uniquement sur leur position et non sur la cause de leur refus de subir l’injection d’un produit – qui n’a rien de bio – et de leur désir de salutogenèse.
Comme chacun le sait : « Autant d’hommes autant d’avis », autant de sensibilités, de convictions, d’expériences, d’étapes de vie et autres distinctions qui différencient un individu d’un autre. Par conséquent, selon quel critère décider ce qui est le meilleur pour chacun ? Évidemment, nous formons une collectivité mais mieux chacun se porte, mieux la collectivité fonctionne.
Toutefois, il est de bon ton actuellement de croire et de faire croire que nous devons former un bloc uniforme : « On évoque justementle caractère ludique de cette tyrannie sanitaire, typique de notre civilisation hallucinatoire où tout repose sur la suggestion médiatique : il faut « jouer le jeu », comme dit le partisan du confinement éternel ou de la dose bimestrielle d’injection génique. De même les masques, les règles, les gestes dits barrières évoquent cette fâcheuse tendance au totalitarisme ludique que nous observons partout ».
Que regard portons-nous sur « le non vacciné (qui) relève moins du bouc émissaire de Girard (source éculée…) que du cas du non-participant mal considéré. Il ne veut pas participer à l’amusant jeu du vaccin, du Reset (pas de voiture, de maison, de courant, etc.) alors sanctionnons-le ».
Certaines personnes ont des connaissances scientifiques très pertinentes et ne veulent pas s’engager dans une expérience non exempte de dangers : « La protéine spike augmente les crises cardiaques et détruit le système immunitaire ».
Des médecins porteurs d’un riche bagage de quelques décennies de pratique ont une perception très élargie de la santé qui tient compte à la fois de la nature humaine et de la connaissance des virus développée depuis longtemps par les épidémiologistes et les virologues. Une femme médecin alerte de toutes ses forces et de tout son savoir pour protéger les enfants : « Il faut cesser le massacre par l’injection, toutes affaires cessantes » :
« Les enfants ne meurent pas du covid, ils ne contaminent ni les autres enfants, ni les adultes et leur injection ne protègent pas les autres.
L’épidémie de covid est terminée, entretenue seulement par la multiplication abusive des tests PCR fallacieux imposée par le pouvoir aboutissant à une épidémie de tests mais pas de malades, comme le démontre le site officiel sentinelles et Santé publique France.
L’injection est dangereuse et d’autant plus que la personne est plus jeune et ainsi particulièrement les petits enfants et les bébés. Elle ne protège pas des formes graves, notion inventée et entretenue par le comptage des vaccinés récents (ceux qui viennent de recevoir leur première dose, les plus à risque de complications précoces) dans le groupe des soi-disant “non vax” ».
Un autre médecin, riche de son expérience des malades dans un service de réanimation et également porteur d’un « master en éthique de la santé – qui lui permet des réflexions profondes sur la mort, la vie, le consentement éclairé – nous apporte une information claire, loyale et appropriée. Il travaille aussi sur les systèmes techniques et dénonce comment le numérique entre dans le monde de la santé pour y prendre de plus en plus de place, en diminuant drastiquement la dimension humaine ». Les soignants se voient dénigrer leurs connaissances et infliger une vaccination contrainte, sous peine de ne plus exister dans leur quotidien professionnel.
Un médecin infectiologue, professeur, qui connaît de longues dates les rouages de l’OMS et gérait des crises précédentes, sait de quoi il parle et ses arguments permettent de faire réfléchir bien des personnes soucieuses de la vérité en médecine. Il relève par exemple la déclaration d’un professeur de médecine, président du Conseil scientifique, qui déclare : « l’Omicron échappe aux vax, il faut faire une 3ème dose de vax !!! »
Il souligne aussi combien « la technoscience médicale veut imposer aux médecins comment ils doivent soigner : Les méthodologistes sont derrière leurs ordinateurs et n’ont jamais vu de malades, ils nous apprennent à nous, les cliniciens, comment soigner ». Son bon sens pratique attire aussi l’attention sur le fait que, au vu des impositions sanitaires, « les non-vax doivent subir bien plus de tests donc il y aura forcément bien plus de cas positifs ». En outre, « on fait croire que les gens meurent du covid » alors que les causes de leur décès leur sont propres.
De plus, il rappelle qu’« il ne s’agit pas d’un vaccin car :
– Un vaccin est censé protéger contre la maladie, ici ce n’est pas le cas.
– Qu’il est censé protéger contre les formes graves alors que maintenant 80% des malades hospitalisés en soins intensifs sont doublement vaccinés
– Même Fauci le dit : le vaccin n’empêche pas de transmettre la maladie.
– Le rapport bénéfices-risques chez les enfants n’est pas pris en compte.
– Un vaccin normal n’est pas prescrit avant 10 ans chez les femmes enceintes ».
De telles données, si elles sont transmises, permettent un réel consentement éclairé chez les personnes qui affirment alors leur volonté en toute conscience.
Les médecins précités ne sont pas isolés : « 60 000 scientifiques demandent l’arrêt de la vaccination de masse »
Dans le domaine politique, on apprend qu’une nation sait prendre en compte très rigoureusement les effets secondaires des vaccins anti-COVID. « Le ministère nippon de la Santé a mis en place un comité d’experts qui a mené une étude détaillée en se basant sur les données disponibles de plus d’un million de personnes vaccinées au Japon. Ce groupe d’experts a répertorié une récurrence statistique inquiétante de problèmes cardiaques et d’anomalies cardiovasculaires chez des hommes jeunes sans antécédents médicaux avant vaccination et a par conséquent recommandé au gouvernement japonais d’apposer systématiquement la mention « effets secondaires graves » sur les documents accompagnant les vaccins anti-COVID Pfizer et Moderna.
De leurs côtés, des membres anti-vax d’un groupe religieux « défendent la vérité, la liberté médicale, et la connaissance de Dieu ».
Une autre communauté religieuse a également son porte-parole qui s’exprime avec toutes ses convictions et sa sagesse : « Je crois que tout prêtre a le droit, voire le devoir, de mettre en garde ses fidèles contre le danger réel et loin d’être hypothétique que représente l’inoculation de la drogue expérimentale ».
Il dénonce très posément et fermement la façon dont on considère les personnes qui ne se sentent pas concernées par la vaccination : « il est typique d’un régime totalitaire de délégitimer toute forme de dissidence, d’abord en ridiculisant l’opposant, en faisant de lui un objet de dérision afin de le discréditer ; ensuite en le pathologisant (ou en le psychiatrisant), en le faisant passer pour un fou à interner ; enfin en le criminalisant et en créant les conditions de sa séparation de la société civile ».
De ce fait, il en découle que des citoyens issus de différents milieux ne veulent pas donner leur accord et collaborer à une telle dynamique de politique sanitaire.
Parmi ceux qui s’appuient sur les lois fondamentales qui régissent de longue date nos pays (et pas des décrets lancés à la va-vite). « Un officier de gendarmerie qui refuse l’injection expérimentale est sanctionné ». « À la tête d’un effectif de 150 gendarmes, cet officier supérieur de 32 ans a été d’abord sanctionné de dix jours d’arrêt puis muté ».
Ainsi un homme qui a montré ses compétences est subitement décrété inutile à son poste. En réalité, comment pourrait-il rester fidèle à sa mission qui relève d’un gouvernement qui abuse de ses fonctions ?
Comment peut-on imposer une vaccination de masse alors que la santé individuelle est si particulière à chacun ? De plus, il faut tenir compte de la virologie et des lois naturelles des épidémies plutôt que de vouloir imposer une politique sanitaire inspirée selon les réflexions du moment. « Un virologue et expert vaccinal lance un avertissement concernant la vaccination massive et la catastrophe qui pourrait s’ensuivre. « Je ne vais pas divulguer son nom. Mais c’est certainement un, si ce n’est pas le plus célèbre vaccinologue sur le globe qui m’a dit “Vous avez raison. Ces vaccins vont essentiellement produire des variants, mais personne ne va vous écouter parce que vous allez à l’encontre de la pensée dominante”. »
Toutefois, cette « pensée dominante » n’empêche pas certaines personnes de développer leur propre raisonnement qui les amène à des conclusions plus panoramiques que celles que l’on nous assène quotidiennement dans une optique très limitée. Un auteur expose : « Comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés ». « Il s’appuie sur des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie de Covid ».
En se référant à une conférence d’Ivan Illich, on peut découvrir combien « La médecine finit par étouffer la santé » : « La santé : capacité des individus à faire face à des souffrances, dysfonctionnements et peurs inévitables. L’intervention d’un tiers – médecin – peut soutenir, augmenter, améliorer cette capacité de l’individu. Mais quand elle dépasse un certain niveau, elle impacte très vite la conscience et l’autonomie des individus dans leur effort continu d’adaptation à l’environnement, ce que nous appelons vivre. Et donc, la médecine finit par étouffer la santé ».
Il apparaît donc dans l’ordre de la nature et de la sagesse que chaque être humain détient une souveraineté à qui revient le droit de gérer sa santé plutôt que de subir un acte intrusif.
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
Adblock test (Why?)
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International