La vérité existe, mais elle est souvent ailleurs, du coup il faut la chercher. Mais, comme dirait le Christ, c’est quand on a trouvé qu’on cherche. Dans notre société d’information et de communication, tout est écrit, ou presque. Parfois, il suffit de savoir lire, sans même interpréter dans le sens qui nous arrange.
On savait que la mortalité de la grippe lévy-buzyno-chinoise approchait les 0,3 %, on sait maintenant, source officielle oblige, que la mortalité de l’injection Pfizer, cette autre pandémie qui a touché 2,1 milliards de Terriens, pourrait faire près de 3 % de morts. Pourquoi ce chiffre ? D’où le sortons-nous ?
On a juste été chercher les analyses post-marketing que le groupe Pfizer a dû lâcher à la FDA, la Food and drug administration, elle-même forcée par la justice américaine de publier ces données.
Il s’agit bien sûr d’une extrapolation, mais 1223 morts sur 42 086 injectés, ça fait bien 2,9 % de morts suite à l’injection, sachant que certains seraient peut-être morts quand même, injection ou pas injection. Nous avons récupéré ce tableau dans le thread suivant :
La question porte maintenant sur la mortalité réelle du covid, dont on sait que les stats ont été trafiquées afin de créer une panique mondiale. En France, la mise à jour des cas donne en ce début décembre 2021 : 120 000 morts pour 7 980 000 cas, soit 1,5 % de mortalité.
En France, si l’on extrapole les chiffres de Pfizer, sachant que toute extrapolation exagère l’erreur, on obtient donc un rapport de 1 à 2 : la pandémie Pfizer (mais ça inclut les autres vaccins ou non-vaccins) fait 2 fois plus de dégâts, et encore, on ne compte pas les effets secondaires plus ou moins graves. Nos lecteurs pourront faire le calcul eux-mêmes à partir du tableau statistique Pfizer.
À notre tour de lancer une psychose nommée Pfizer
Pour contrebalancer l’extrapolation, nécessairement source d’erreur, on sait qu’une partie non négligeable des décès ont été imputés au covid pour des raisons politiques, un cancéreux en phase terminale ayant contracté le covid à l’hôpital étant marqué décédé du covid, et ceci en 2020.
Donc les 1223 (morts) divisés par 42 086 (injectés) qui donnent 2,9 % de létalité pour l’injection Pfizer – nous préférerons pandémie Pfizer – montrent qu’il pourrait, à terme, y avoir 2 100 000 000 (nombre d’injectés Pfizer sur Terre) x 2,9 % (risque létal) soit 7 241 379 morts de la pandémie Pfizer, sachant que dans les 5,26 millions de morts officiellement attribués à la pandémie covid dans le monde (il faut absolument approcher le chiffre des 10 millions de morts prophétisé par Bill Gates), il y en a peut-être déjà beaucoup de la pandémie Pfizer !
Et là, tout se complique, comme dirait Sempé.
Ce qui veut dire, si l’on tire des lignes à partir de nos bases, que les morts de la pandémie Pfizer sont peut-être en train de remplacer les morts de la pandémie covid !
Tout ceci est le fruit du bon sens, mais aussi de l’extrapolation. Sachant que la vie ne suit jamais les extrapolations, ou jamais exactement, nous nous garderons de toute conclusion hasardeuse, c’est-à-dire avec un risque d’erreur aussi grand. Inversement, ceux qui entretiennent la psychose covid devraient, sur cette base statistique réelle, celle du couple FDA-Pfizer, entretenir la même psychose, en deux fois plus fort, au minimum, sur la pandémie Pfizer. Là, on dirait que quelque chose s’est grippé, dans la machine médiatico-politique mondialiste à inquiéter les peuples…
Précisions
Pour cette petite étude, nous nous sommes basés sur un taux de mortalité officiel du covid de 1,5 % en France. Or, ce taux varie depuis 2020, comme l’écrit revuepharma.fr :
Comme l’atteste une étude de l’Imperial College de Londres, largement relayée par les médias, le confinement a permis d’éviter la mort de plus de 3,1 millions d’européens. D’ailleurs, l’évolution du taux de reproduction de l’infection (R0) corrobore l’efficacité de confinement : 2,8 à son maximum le 15 mars, le taux diminue à 0,8 le 11 mai et jusqu’à 0,7 au 31 mai dernier, d’après un communiqué de l’Académie de médecine.
Estimer le taux de contaminés, et de fait celui de létalité, est difficile. En effet, nombreuses sont les personnes malades non testées et non déclarées. A ce jour, une estimation du taux de létalité entre 0,3% et 0,6% est avancée par les épidémiologistes. Rappelons d’ailleurs que ces taux ont implosé lorsque les cas Covid-19 des EHPAD ont été comptabilisés.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation