Médecine, Politique, Droit et… Bon Sens

Médecine, Politique, Droit et… Bon Sens

par Marie-France de Meuron.

Il est grand temps que le Bon Sens retrouve sa juste place, non pas selon les lois édictées au gré des avantages du moment mais selon les lois universelles confirmées au fil des époques à ceux qui veulent bien les reconnaître. D’autre part, est-ce que le Bon a encore sa place dans une société matérialisée, au point que la numérisation pour gérer nos existences occupe tant d’espace ?

Mes réflexions du jour m’ont été suggérées par l’article d’un docteur en droit et politicien concernant l’homéopathie, thérapie pratiquée depuis plus deux siècles, en la réduisant à son apparence bien matérielle : le sucre. « Mille francs le kilo de sucre, payé grâce à la LAMal ? » Évidemment, ce titre se veut éloquent, limité à une référence économique qui, de plus, évoque la politique du coût de la santé selon la loi LAMAL (Loi fédérale suisse sur l’assurance maladie).

On peut se demander comment cet homme porteur d’un riche bagage en droit et en politique, Conseiller national depuis 2015, en arrive à donner son opinion dans une rubrique d’un quotidien suisse romand (qui cherche quoi en le publiant ?). Ses affirmations à l’emporte-pièce comme « malgré son absence totale d’efficacité » relèvent davantage de mots d’un enfant issu d’une école primaire plutôt que d’un distingué docteur en droit, élu par le peuple pour participer à la politique de la Confédération. Le fait qu’il dénote d’une pareille incompétence pour se permettre de définir la doctrine et la science de l’homéopathie montre bien que son approche est purement mentale, s’appuyant sur quelques concepts élémentaires lancés à la va-vite avec un parti-pris ironisant. Il ne fait ainsi fonctionner qu’une demi-partie de son cerveau. Il est temps qu’il en développe l’autre partie, par exemple en s’informant sur ce site : « Notre corps ainsi que tout ce qui constitue notre monde n’est pas formé de matière en suspension sur un seul plan vibratoire mais est constitué d’un ensemble de champs vibratoires. Cette énergie vitale nous compose et anime l’être bio-énergétique que nous sommes ». L’avocat cité comprendrait ainsi que l’essentiel d’une préparation de granules réside dans le travail des succussions successives. « L’homéopathie, ce n’est pas seulement sucer des « petits granules », encore faut-il comprendre ce que l’on fait, savoir que cela ne relève pas du merveilleux, du surnaturel, même si l’action est incompréhensible, surtout aux très hautes dilutions, pour des « esprits forts » (ou qui se disent tels) ».

Si un médecin diplômé complète sa formation universitaire avec des études d’homéopathie, c’est qu’il a un esprit préparé à s’ouvrir à une tel art médical. Serait-ce le cas d’un docteur en droit de 37 ans ? Celui-ci, sait-il seulement qu’il y a des thèses soutenues en faculté de médecine (Grenoble) en 1968 déjà ? Il n’est certainement pas allé chercher bien loin pour décréter « Pas d’étude sérieuse ». Évidemment s’il ne s’appuie que sur les «études randomisées en double aveugle», lesquelles ne peuvent pas fonctionner car les paramètres sont inutilisables pour l’homéopathie authentique. En outre, connaît-il seulement la différence entre l’homéopathie uniciste, pluraliste ou complexiste ? Il montre son ignorance aussi en confondant une dilution 200K avec 200CH.

Effectivement, l’homéopathie a perdu du terrain dans certaines régions. Encore faut-il examiner s’il ne s’agit pas de raisons politiques comme celles qui ont interdit l’Hydroxycholoquine et l’Ivermectine au profit de nouveaux médicaments extrêmement plus coûteux et réduits au domaine bio-chimique.

Ainsi, la médecine officielle telle qu’elle est imposée actuellement ne tient pas compte de l’expérience vécue pendant plus de deux siècles par énormément de thérapeutes et de patients dans différents continents et qui ont pu l’expérimenter avec succès, tant sur eux que sur leurs patients et particulièrement chez les enfants qui présentent une énergie vitale très vive donc très apte à réagir à la moindre agression de l’existence comme à l’ingestion de remèdes dynamisés. Maintenant que la priorité des études est donnée à la techno-science, on oublie la sagesse des Anciens comme celle de Galiltée qui alliait les mathématiques à la physique et la philosophie et avait observé notre planète terre : « et pourtant, elle tourne ». Il est temps de revenir à une vision panoramique – et non horizontale – de la nature vivante et vibrante et, entre autres, de l’homéopathie.

La médecine imposée par certains gouvernements face à la présence du Covid-19 a engendré « une guerre contre la santé des gens, tant physique que psychique. On nous isole, on nous masque, on nous oblige à nous faire injecter un produit expérimental. Nos dirigeants responsables de la santé publique n’agissent pas pour améliorer la santé de la population. C’est un fait INDÉNIABLE. Après 20 mois, nous constatons que la santé physique et psychique de beaucoup de nos concitoyens s’est considérablement détériorée ».

Il est évident que les politiciens qui imposent des décrets voire des lois ne sont pas ceux qui ont un contact direct avec les individus en leur injectant un produit génique ou en leur imposant des mesures selon des chiffres statistiques limitant drastiquement la portée vivante et globale des faits.

Fondamentalement, à qui appartient le corps humain ? À la médecine, à la politique, au droit ? « C’est souvent à partir de situations exceptionnelles et dramatiques que la question de la propriété du corps humain se trouve posée dans nos sociétés, que l’on songe aux débats relatifs à l’euthanasie. Les outils manqueraient aux citoyens pour comprendre et mesurer l’importance de ce qui se joue dans les décisions qu’ils ont à prendre tout au long de leur vie, au sujet de leur corps ou des corps de ceux qui leur sont proches. L’histoire des pratiques médicales, celle de nos traditions religieuses, politiques, et philosophiques, l’examen des doctrines juridiques et des concepts qu’elles proposent pour définir le statut du corps humain, la prise en compte enfin des théories de la justice permettent pourtant de constater que nous sommes loin d’être démunis pour penser le statut du corps dans nos sociétés ».

À qui faut-il donner la parole au sujet de la santé des humains ? À des politologues ou à des professeurs, virologues ou autres scientifiques riches de leurs expériences de terrain ? Un chercheur renommé  s’exprime clairement au sujet de la politique sanitaire covidémique qui en arrive à une « “Cinquième vague” manipulation supplémentaire de l’opinion publique » : « Après avoir longtemps prêché dans le désert, le chercheur à l’INSERM fait son retour à un moment « où la compréhension du phénomène évolue dans la population ». « Le fait de répéter ce que je disais au tout début a un relief différent. C’est pour ça que je reviens aujourd’hui, parce que l’histoire recommence […] ». Il définit clairement son intention : « Je ne cherche pas à rassurer, je regarde les faits ».

Il amène le constat patent : la grande faute des gouvernants est d’avoir pris « des indicateurs extrêmement anxiogènes », notamment celui du taux d’incidence (nombre de personnes diagnostiquées positives au Covid-19 pour 100 000 habitants par jour), gonflé artificiellement en raison de ce qu’il appelle la « testomania ». « D’habitude pour caractériser une épidémie, on regarde le nombre de malades et de morts que génère cette épidémie. Aujourd’hui, on a changé de paradigme. On décide qu’une épidémie c’est le nombre de personnes testées positives à une trace d’un virus ». En fait, il y avait très peu de cas graves parmi ces cas positifs. D’ailleurs, un certain nombre d’études ont démontré qu’au passage de cet événement Covid, la surmortalité pour 80% de la population était nulle, voire négative, en 2020 ».

Il souligne aussi que les indicateurs privilégiés par le gouvernement ont permis de légitimer des mesures extraordinaires, au sens littéral du terme. Ainsi, ce n’est pas le vécu des entités humaines qui a été pris en compte mais l’énorme réduction de bien des paramètres de santé par des indicateurs sélectionnés.

Le Bon Sens se dit aussi le Sens Commun. Il nous incite à nous allier face à une situation nouvelle comme l’est le SARS-Cov2. Au lieu de cela souffle un esprit très diviseur, mettant un fossé entre les pro et les anti sur différents plans. De ce fait, nous parvenons à l’effondrement de la médecine scientifique. Comme l’expose ce médecin : « Il est des périodes dans l’Histoire de la Culture et du Savoir où, pour des raisons difficiles à cerner, des pans entiers s’effondrent ». Ainsi, des médecins se trouvent sanctionnés voire exclus s’ils pratiquent selon leurs expériences d’années d’études et de pratiques. En outre, alors que ce serait une bonne occasion de découvrir les pouvoirs des médecines alternatives et complémentaires, on les fait taire au maximum alors qu’elles ont des moyens connus depuis longtemps et aptes à répondre dans les situations de médecine précoce. Seulement voilà, la notion de médecine précoce n’est pas admise officiellement. J’en ai fait l’expérience cruciale tant par un journaliste qui m’a répliqué que cette appellation relevait de mon invention que par une juriste du système assécurologique qui la classait dans la médecine préventive, de plus sans tenir compte de mon vécu médical.

On pourrait penser que la presse avait pour mission de défendre le Bon Sens Populaire. Une fois de plus, la presse approuve les mesures anti-Covid proposées par le Conseil fédéral alors que le peuple avait manifesté en grand nombre dans des villes importantes du pays.

Le Bon Sens médical voudrait aussi qu’un médecin sache faire le bilan d’une situation nouvelle après diverses mesures. Or, un ministre de la Santé, médecin de formation persiste et « il creuse encore ! On vous avait promis le retour à la normale, après 2 doses. On le voit clairement à présent : c’était un énorme mensonge. À l’entrée de l’hiver, le gouvernement s’affole devant l’augmentation des cas. Et plutôt que d’accepter l’échec de la stratégie du « tout vaccinal », le gouvernement continue de plus belle avec de nouvelles mesures restrictives et discriminatoires, sur la 3ème dose et le passe sanitaire ».

La conclusion relève du Bon Sens Commun : « Il est temps de regarder la réalité en face : si les Français continuent d’obéir comme des moutons, ils ne reviendront jamais à « la vie normale »L’idéologie du tout vaccinal est une succession sans fin d’obligations, de discriminations… et d’échec médical face au virus. La vaccination de masse favorise même l’aggravation de l’épidémie en créant de nouveaux variants ».

Chacun sait que « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Le bon sens, une dimension de la conscience  permet d’allier la politique à la science. Où a-t-il disparu quand on constate que, suite à ses révélations, un chimiste autrichien renommé est retrouvé mort quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxyde de graphène. « Les vaccins COVID injectent des lames de rasoir dans le flux sanguin, et les laboratoires et les politiques le savent… »

Le Bon Sens permet d’animer les règles d’éthique médicale. Pourtant : « Nous sommes en train de violer toutes les règles d’éthique médicale ». « Je me suis alors demandé pourquoi ils mettaient la démocratie à l’arrêt à l’unisson, car cela n’avait jamais été fait auparavant ». L’entrevue rendue ici nous prouve qu’il existe des avocats spécialisés dans le droit médical qui savent développer un sujet davantage qu’un avocat politologue.

J’ai évoqué le mode de mentaliser de la part de ce docteur en droit. Au niveau des vagues covid, le variant Omicron se révèle subitement à nous et permet de dévier le bon sens sanitaire pour « en faire non seulement une souche hautement géopolitique mais semble lié à des échéances sportives comme les Jeux olympiques d’hiver de Beijing. Les réactions disproportionnées et, il faut le préciser, totalement ridicules, de certains pays face à cette nouvelle campagne mensongère et théâtrale incluant des éléments classiques de la fabrique de la peur sont d’autant plus incongrues que l’Afrique Australe, zone où ce variant a été signalé, n’est pas une région du monde impactée par la fabrique de la peur ».

Le Bon Sens peut animer la Justice quand elle est interpellée par les convictions de ceux qui la saisissent. Un exemple nous en est donné par les USA : « Aux États-Unis, invoquant le Freedom of Information Act, un groupe d’une trentaine de professeurs et scientifiques de prestigieuses universités comme Yale ou Harvard a demandé en septembre 2021 d’accéder aux documents sur lesquels s’est fondée l’administration américaine pour autoriser la commercialisation du vaccin Pfizer contre le Covid-19 ».

Le Bon Sens sied au niveau de plusieurs strates de l’être humain. Pris dans le quotidien, bien des dirigeants dans divers domaines n’écoutent pas assez les messages de leur bon sens pour prendre conscience des signaux du burn out qui les ronge petit à petit. Ainsi, le directeur général du plus grand hôpital municipal d’Allemagne de l’Est s’est lâché et a déclaré dans une brève vidéo enregistrée à la hâte : « Il n’y a pas de virus, c’est une dictature déguisée ». Il a précisé dans sa courte vidéo (allemande sous-titrée en anglais) que ce qui se passe en Allemagne et dans le monde n’a rien à voir avec un virus. « C’est l’imposition d’une dictature mondiale. Il faut le dire. Malheureusement, il n’y a pas moyen de contourner le problème ». On ne saura jamais la part de conscience ou d’inconscience qui l’a fait enregistrer ce court message. Ce que l’on sait, c’est qu’il a chuté d’un toit peu après et en est décédé.

Le Bon Sens peut aussi être dévié dans « Le Sanitarisme » qui a ses croyances, ses certitudes, ses dogmes et ses extrémistes. « Cette secte religion, qui n’est plus vraiment du Laïcisme [art. Laïcisme] (pour le bien collectif ?), est prête à faire passer ses règles par la menace d’un enfer du quotidien et par la promesse d’un autre monde meilleur (ah ? un monde meilleur pour qui ?), le seul meilleur monde. Mais des sacrifices – et quels sacrifices ! – s’accumulent pour atteindre l’unique passage vers ? le monde d’avant ? »

Trop souvent actuellement – mais depuis combien de temps ? – on cherche à mater le Bon Sens dans des lois, des décrets des règlements. « Ainsi  lors de sa session spéciale, l’Assemblée mondiale de la Santé a adopté par consensus une résolution ouvrant des négociations en vue d’un instrument légal permettant de mieux gérer les pandémies.

Un économiste émérite apporte en date du 1er décembre une large vision  de la situation créée grâce ou à la suite du coronavirus auquel les médias donnent de l’audience depuis bientôt 2 ans : « Une fausse « pandémie de Covid » entièrement orchestrée » a été utilisée pour détruire la santé, les libertés civiles et la relation médecin-patient. Comment expliquer l’accent qui est mis sur la vaccination forcée des populations et les méthodes tyranniques employées dans des sociétés libres, alors que même Big Pharma et les institutions médicales corrompues reconnaissent que la protection accordée par le vaccin est très courte et disparaît rapidement ? »

Il souligne aussi l’esprit qui anime les dirigeants : « Considérez que le Forum économique mondial a disposé d’un demi-siècle pour endoctriner et laver le cerveau des dirigeants économiques et politiques. Il a été fondé le 24 janvier 1971 et la rencontre annuelle à Davos est devenue un événement prestigieux. Les dirigeants se bousculent pour obtenir une invitation, tant le fait d’y participer est devenu une insigne marque de prestige. Le Forum économique mondial est financé par un millier de grandes entreprises mondiales multimilliardaires dont les dirigeants se sont emballés pour la Grande Réinitialisation appliquée à la réduction de la population, la fin de la souveraineté nationale et de l’autonomie individuelle. La Grande Réinitialisation est le programme de la tyrannie ».

Il définit également  avec une grande lucidité que : « Le “test covid” PCR fut utilisé pour créer l’apparence d’une pandémie ».

J’en déduis et conclus que toute l’histoire du virus couronné par nos « élites » est une immense bulle qui va éclater dans un avenir plus ou moins rapproché et dont le souvenir va laisser des cicatrices qui nécessiteront des soins de longue durée. Vivement que nous retrouvions le Bon Sens en tout afin de prendre le chemin le plus direct vers notre santé globale, générée par notre corps, notre âme et notre esprit !

Marie-France de Meuron

source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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