MA VIE AU POSTE – Au nom de l’éthique journalistique, Ivan Rioufol reçoit sur CNews un grand scientifique injustement boyocotté par la plupart des médias, Christian Perronne (on ne peut plus rien dire). L’invité a brillamment démontré, absence de preuves à l’appui, que les vaccins étaient les principaux responsables des ravages causés par le Covid-19.
« Les débats montrent la grande qualité intellectuelle des cinq candidats, se réjouit Ivan Rioufol. Ils sont tous bons, ils disent tous des choses sensées. » À l’approche du troisième débat des candidats LR à la présidentielle, organisé par CNews, l’éditorialiste du Figaro évalue leurs chances dans l’émission dont il est la vedette, Les points sur les i. « Laurent Wauquiez a renoncé à se présenter alors qu’il représente précisément cette ligne identitaire, cette ligne de la renaissance française. » Et de l’amitié entre les peuples. « Ciotti, avec beaucoup de talent, est en train de fédérer tout ce nouveau courant conservateur. » Et humaniste. « On a un paysage qui se droitise, estime Véronique Jacquier, on en a largement parlé sur CNews, avec des thèmes comme l’immigration, comme l’insécurité. » En effet, on ne parle sur CNews que de thèmes comme l’immigration, l’insécurité. « Le paysage est ultra-favorable et les LR sont dans une bonne dynamique. » Dans le paysage de CNews.
Comme Ivan Rioufol critique la politique menée par la droite au pouvoir ces dernières décennies, l’animateur du « débat », Thomas Lequertier, demande : « La droite doit s’excuser ? — Pourquoi pas ?, réagit l’éditorialiste. Ils auraient à s’excuser de leur angélisme, de leur suivisme, de leur conformisme, de leur politiquement correct. » De leur wokisme. Un seul candidat de la primaire trouve grâce à ses yeux. « Ciotti est le seul à ne pas avoir voté Macron lors de la dernière présidentielle. Ciotti est le seul à avoir défendu Eric Zemmour. » Le seul ne pas avoir succombé à la bien-pensance. Las, « il y en a encore chez les LR à aller vers le centrisme plutôt que vers la radicalité ». Vers l’’antiracisme plutôt que vers le politiquement incorrect. « Applaudissons au fait que les LR durcissent leur discours mais j’ai un doute sur leur sincérité. » Méfions-nous de l’islamo-gauchiste qui sommeille chez le raciste.
« Les LR ne sont pas sortis de l’auberge, avertit Véronique Jacquier. Il faudrait que le champion de la droite, le 4 décembre [jour de la primaire], soit en capacité de commencer à écrire une histoire d’amour avec les Français. — C’est beau, ce que vous dites », s’émeut Thomas Lequertier. Beau comme une histoire d’amour avec Éric Ciotti. « Mon sentiment personnel est que Ciotti semble avoir pris l’air du temps, insiste Ivan Rioufol. Si les LR restent sur leur quant-à-soi, ne veulent pas paraître trop populistes, trop réactionnaires, trop nostalgiques, cette droite perdra. » Conseil d’expert : soyez aussi populistes, réactionnaires et nostalgiques qu’Ivan Rioufol.
Thomas Lequertier accueille l’invité vedette de l’émission. « Christian Perrone, vous êtes le spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de Garches. » Dont il était chef de service avant d’être démis par l’AP-HP pour « propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce ». « Ivan, pourquoi avoir invité le professeur Perrone sur CNews ? — Pour avoir un autre son de cloche, d’un grand spécialiste des vaccins que l’on n’entend plus. » Victime de la censure. « D’ailleurs, je me demande bien pourquoi on ne vous entend plus ou du moins je crois le comprendre. C’est parce que vous avez été de ceux qui depuis le départ avez émis des réserves sur la dramatisation excessive de cette panique sanitaire. » Notamment dans un documentaire, Hold-up, dont la rigueur scientifique n’est plus à démontrer. « On n’a pas voulu vous entendre sur les traitements, sur vos réserves sur la politique vaccinale. Et on vous a même sanctionné, vous étiez chef de service, vous avez été sanctionné et visiblement les médias rechignent à vous inviter. » Mais chacun sait que les médias sont noyautés par l’ultragauche sanitairement correcte.
Ivan Rioufol se justifie : « Je vous ai invité pour que l’on parle des faits, qu’on cesse avec ces idéologies. » Marre des idéologies. Seul Ivan Rioufol est exempt de tout parti-pris idéologique. « Je rends hommage à votre professionnalisme, le félicite Christian Perronne, parce que les journalistes doivent vérifier les sources de tout ce qu’ils avancent. — C’est élémentaire », revendique l’éditorialiste, dont les sources vérifiées ont révélé que « l’université est en écriture inclusive » et que la France est gangrenée par « des petits Kosovo ». « Première question, est-ce que vous êtes d’accord avec ce qu’a dit le porte-parole du gouvernement sur cette grande cinquième vague qui s’apprête à être apocalyptique comme l’avait été annoncée la quatrième qui finalement ne l’avait pas été ? » On nous avait menti, une fois de plus. « Sur cette cinquième vague, si ce n’était si dramatique, je rigolerais, répond l’invité. Y a pas de cinquième vague, l’épidémie est quasiment terminée en France. » Enfin une bonne nouvelle. Fini le port du masque, la distanciation, les classes fermées, on peut reprendre une vie normale.
Ivan Rioufol produit une preuve indubitable, « le graphique pour illustrer le nombre de morts dans l’évolution de cette année. — Voilà, on est sorti de la crise ». En effet, le nombre de décès est ridiculement faible. « Tous les pays du monde qui n’ont pas vacciné n’ont plus d’épidémie. Comme par hasard. Mais tous les pays qui ont vacciné de façon massive voient des rebonds de l’infection, des morts, etc. » Voilà la preuve que le vaccin tue. « On pourrait vous dire que s’il n’y a pas de mort c’est parce que la France a vacciné massivement, objecte Ivan Rioufol. — Nan parce que la France était en retard par rapport à d’autres pays qui ont vacciné massivement donc on verra peut-être les conséquences du vaccin un petit peu plus tard. » Ça va être une hécatombe (bien que l’épidémie soit quasiment terminée). « Aujourd’hui, on le sait de la Grande-Bretagne, les gens qui sont vaccinés meurent quatre fois plus du Covid que les non-vaccinés. » Le vaccin tue.
« Mais alors pourquoi est-ce que ce n’est pas répercuté ? », s’indigne Ivan Rioufol. Parce qu’on ne peut plus rien dire, même pas que le vaccin tue. « C’est pour ça que je parle plus dans les médias, explique Christian Perronne, parce que le CSA avait dit à la fin de l’année dernière : il faut plus inviter Perronne sur les plateaux parce qu’il est complotiste. » Perronne, complotiste ? À ce compte-là, Rioufol est raciste. « Mais par exemple dans mon dernier livre, y a soixante pages de références. » À des études de l’IHU, c’est vous dire si elles sont sérieuses. « Je suis fier de moi parce que comme j’ai géré pendant quinze ans les épidémies, la vaccination avec le gouvernement français, avec l’OMS… — Vous étiez un Monsieur Vaccin. » Sa compétence ne saurait être mise en doute. D’ailleurs, il est édité par une maison très sérieuse, Albin Michel.
« On peut vous faire une objection, relève toutefois Ivan Rioufol. Il est normal qu’il y ait des morts doublement vaccinés parce que la Grande-Bretagne a beaucoup vacciné donc, dans la proportion, comme on sait que les vaccins ne protègent pas… » Qu’ils sont inutiles… « … On pourrait comprendre qu’il y ait des morts multi-vaccinés. — J’ai toujours été pour les vaccins. Là, on nous a fait croire que ces produits étaient des vaccins et c’est pas des vaccins. — Ce ne sont pas des vaccins ?— Beh non ! Imaginons que ce soit des vaccins. Un vaccin, ça protège de la maladie or on voit que les vaccinés font autant de maladie que les autres. » Pire, ils en font plus, et ils en meurent plus. « Un vaccin, ça évite de porter le virus ou de le transmettre, on voit que les vaccinés transmettent autant voire plus que les autres. » Le vaccin est facteur de propagation. « Un vaccin, ça protège contre les formes graves. On voit que dans beaucoup de pays, la grande majorité des gens en réanimation sont des gens vaccinés. » Infectés par le vaccin.
« Le gouvernement dit quand même, et il semble y avoir un consensus là-dessus, que ces vaccins protègent des formes les plus graves, remarque Ivan Rioufol. — Absolument pas. C’est l’inverse qui se produit. L’Angleterre montre l’inverse, Israël montre l’inverse. Si vous regardez le monde entier, tous les pays pauvres qu’on pas pu s’acheter le vaccin, l’épidémie est terminée. » Heureux pays pauvres. « Tous les pays où l’épidémie continue de flamber, de faire des morts, c’est les pays qui vaccinent à fond. » Les pays sacrifient sciemment leur population en lui injectant des vaccins de la mort. « Regardez l’exemple de l’Inde. Il y a des états, la grande majorité, qui voulaient pas du vaccin ou qu’avaient pas les moyens de l’acheter, ils ont recommandé et ils ont même donné de l’Ivermectine, de l’Azythromicine, du zinc, de la vitamine D… » Du jus de brocoli, de l’extrait de céleri… « L’épidémie est terminée dans ces états, y a plus de morts. » Pour échapper à la troisième dose, je vais m’exiler en Inde.
« Pardonnez-moi, s’impose Thomas Lequertier, je vous coupe parce que c’est important ce que vous dites ce soir et je voudrais que ce soit très bien interprété. » Pas de souci, c’est très clair : le vaccin tue. « Sur la courbe que vous nous avez montrée tout à l’heure, on voit très bien que le nombre de morts diminue au fil des mois. On voit aussi très bien qu’il y a un lien avec la vaccination en France. Plus on vaccine et plus la courbe descend. — Pas du tout, parce que le gouvernement nous annonce une cinquième vague, ce qui est exagéré. » La cinquième vague qui n’existe pas prouve que le vaccin fait des ravages. « Tout virus, quand il s’attaque à l’homme, au fil des mois, il perd de sa virulence, c’est comme ça depuis la nuit des temps dans l’histoire de la médecine. » Par exemple, le virus du Sida est devenu bénin. « Les nouveaux variants, le variant delta, le variant indien, le variant je-sais-pas-quoi, ils en ont inventé des tonnes… » Pour faire peur aux gens. « … Ils sont de moins en moins virulents. » Un jus de carotte suffit à les terrasser.
« Aujourd’hui, résume Christian Perronne, le Covid est une maladie bénigne, il y a encore quelques morts chez des personnes avec des facteurs de risque majeurs, très âgées, mais ça n’a rien à voir avec la première vague. — Donc vous convenez que la première vague, ce n’était pas bénin, rebondit Ivan Rioufol. — Non, c’était pas bénin pour des gens très à risque, les plus de 85 ans, les grands obèses, les grands diabétiques. Mais si on les avait traitées, y aurait presque pas eu de morts. Toute l’expérience des médecins dans le monde et des pays qui ont traité ont montré que si on traitait par l’hydroxychloroquine, l’Azythromicine, l’Ivermectine… » La décoction de datura, la bave de crapaud, la poudre d’écaille de pangolin… « … Y avait pas de mort. » Il suffit de regarder le Brésil.
« Toutes les lois qui ont soutenu ce vaccin sont totalement illégales, s’insurge Christian Perronne. On peut pas commercialiser en autorisation de mise sur le marché conditionnelle un produit si y a un traitement qui marche. Or y a des centaines de publications qui montrent qu’y a des traitements qui marchent. » La tisane d’ortie, la poudre de corne de rhinocéros, l’urine de chauve-souris… « Et ça a été dénié. » A cause du lobby des labos. « On peut pas obliger des gens à être vaccinés avec un produit qui est toujours en phase expérimentale. C’est totalement interdit par le code de Nuremberg. » Sauf à appliquer les méthodes des nazis. « Le rendre obligatoire, c’est totalement illégal. » C’est fasciste. « D’accord, approuve Ivan Rioufol, mais il y a quand même une rationalité chez nos dirigeants, quand vous avez un tel consensus sanitaire de tous les pays avancés sur cette politique vaccinale, c’est sans doute qu’ils voient des effets que vous ne voyez pas. Qui a tort et qui a raison ? — Je vais demander à Emmanuel Macron de regarder la carte du monde, il verra que tous les pays qui vaccinent pas, tout va bien, y a plus d’épidémie. » Il suffit de regarder l’Afrique du Sud.
« En plus je refuse d’appeler ça un vaccin, peste encore Christian Perronne. — Vous appelez ça comment ?, s’enquiert Ivan Rioufol. — Des substances thérapeutiques expérimentales qui vont modifier vos cellules. » Pour y introduire une puce de Bill Gates. « Un grand dirigeant d’un grand laboratoire qui fabrique des vaccins à ARN messager a dit : “Quand on vous inocule ce produit, c’est comme si vous téléchargiez un logiciel pour modifier vos cellules.” » Et les rendre compatibles avec la 5G. « Et le nombre d’effets secondaires en ce moment explose. C’est énorme, j’en vois plein autour de moi, et des morts aussi. » Irradiés par les ondes 5G.
« Moi, ce qui me dérange ce soir dans votre discours, intervient à nouveau Thomas Lequertier, vous nous dites que les pays qui ne vaccinent n’ont plus de morts aujourd’hui et les pays qui ont vacciné ont des morts. Ça voudrait dire pratiquement que le vaccin tue. » Mais bien sûr ! Ce journaliste est vraiment long à la comprenette. Toutefois, rappelle Christian Perronne, « heureusement, ça tue pas tout le monde. — Ça me dérange parce que vous affirmez quelque chose… — Mais c’est prouvé, regardez les soixante-dix sportifs, des jeunes en bonne santé, qui sont morts. » Assassinés par le vaccin. « Mais est-ce que vous pouvez dire qu’il y a moins de morts dans les pays qui ne vaccinent pas que dans les pays qui vaccinent, ce qui sous-entend que le vaccin tue ? Ça me dérange de vous entendre dire ça. — Il suffit de regarder les cartes du monde. — Vous savez que sur les cartes du monde on va peut-être pas avoir une remontée de toutes les données au Vietnam ou en Chine, insinue Véronique Jacquier. — Le Vietnam, c’est un très bon exemple, réagit Christian Perronne. Y avait presque pas de morts, presque pas de cas depuis le début de la pandémie. Le jour où la vaccination a démarré, on a vu l’épidémie repartir, il y a eu des morts. C’est la même chose dans beaucoup de pays. » Dans les pays d’Europe de l’Est, par exemple.
« Alors pourquoi il y aurait plus de morts parce qu’on vaccine ?, s’entête Thomas Lequertier. — Parce que ce n’est pas un vaccin. » C’est un venin mortel. « Mais ces personnes qui meurent en étant vaccinés, elles meurent de la Covid-19 ou du vaccin ? — Elles meurent du Covid. Mais y a des morts du vaccin. j’en ai déjà sept autour de moi, des morts du vaccin. Y a soixante-dix sportifs qui sont morts… — Là, vous parlez des effets secondaires, précise Ivan Rioufol. Vous êtes en train de nous dire que ces vaccins-là ont des effets secondaires. — Oui, Il peut y avoir des coïncidences mais quand c’est aussi fréquent, quand tous les gens autour de moi… — Pardon, se rebelle Ivan Rioufol, on voulait parler de faits et là ce ne sont pas des faits, ce sont des témoignages. — Nan, les soixante-dix sportifs morts, c’est des faits. » Rigoureusement non sourcés.
« Y a la base de données européenne qui montre qu’y a quand même plus de 20 000 morts du vaccin, ajoute Christian Perronne. C’est pareil aux Etats-Unis, y a beaucoup de morts. » Tout ça est très bien documenté par le site France Soir. « Moi je le sais par des personnes autour de moi qu’ont eu des problèmes après le vaccin que les médecins ne déclarent pas parce qu’ils ont peur, y a une sous-déclaration. — Ce que vous nous décrivez, c’est une sorte de processus suicidaire d’une logique sanitaire qui irait jusqu’au bout de ses certitudes sachant les dégâts qu’elle causerait, résume Ivan Rioufol. J’ai du mal à imaginer que tous les dirigeants européens suivent cette logique absurde. » C’est oublier leur complot pour exterminer leurs populations. « Maintenant les dirigeants ont les données sous les yeux, rétorque Christian Perronne, j’espère qu’ils vont changer leur politique. » Et promouvoir la liqueur de rosée. « C’était votre avis, conclut Thomas Lequertier, vous l’avez partagé sur CNews et on rappelle que vos propos n’engagent que vous mais vous avez le mérite d’être venus les défendre ici. » À l’invitation de CNews. Une invitation qui n’engage que CNews.
Source : Telerama
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