Par Douglas Farrow (Résistance Scolaire – Québec – Academic Resistance), 26 novembre 2021 — Avec la collaboration de Campagne Québec-Vie pour la traduction — Photo : Marko Vitali/Adobe Stock
Depuis mars 2020, la sphère de l’éducation publique est soumise à la même psychose que celle qui affecte les autres domaines de la société. Les responsables de cette sphère n’ont pas abordé le problème en encourageant le débat intellectuel ou l’exercice de la fonction critique de l’université. S’inspirant de forces extérieures à l’académie et d’éléments irresponsables en son sein, comme la célèbre modélisation pandémique de l’équipe Ferguson de l’Imperial College de Londres, ils ont au contraire contribué au dysfonctionnement général.
Près de deux ans plus tard, le visage couvert d’un masque en plastique jetable (qu’est-il advenu de la juste révolte contre le plastique jetable ?), les bureaucrates universitaires continuent de jurer solennellement que nous sommes aux prises avec la crise sanitaire la plus grave qui fut depuis la grippe espagnole. Le fait que le taux de létalité de l’infection ne ressemble en rien à celui de la grippe espagnole n’est pas mentionné. Le fait que leurs masques soient conçus pour filtrer de grosses gouttelettes ou des particules de poussière, et non de minuscules virus ou protéines, passe inaperçu. Ils n’admettent pas que les vaccins qu’ils exaltent sont incapables d’éradiquer le virus, tout en étant capables de causer des dommages sérieux à un nombre alarmant de personnes, y compris des médecins. Ils ne soulignent pas non plus que ces « vaccins » sont, en réalité, non pas des vaccins conventionnels mais de nouvelles thérapies géniques aux effets incertains à court et à long terme.
L’université, en particulier au niveau du troisième cycle, a largement failli à son devoir envers la société qu’elle est censée servir. Fortement tributaire des financements publics et, dans une large mesure, des investissements des sociétés pharmaceutiques, elle n’a pratiquement opposé aucune résistance au discours, manifestement fabriqué, sur le coronavirus, ni aux directives gouvernementales qui en découlent. Dans la plupart des cas, elle n’a fait que reprendre (quand elle n’a pas contribué à élaborer) les points de discussion des médias. D’énormes fissures dans le récit ont été masquées. On n’a pas appris aux étudiants à réfléchir sur ce sujet de manière critique, ni même à exercer une légère herméneutique de la suspicion. En fait, ils ont été prémunis contre ceux qui ont une pensée critique.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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