Le temps est venu pour tous les hommes de bonne volonté d’arrêter de craindre John Galt

Le temps est venu pour tous les hommes de bonne volonté d’arrêter de craindre John Galt
Le temps est venu pour tous les hommes de bonne volonté d’arrêter de craindre John Galt

Par Tom Luongo – Le 15 octobre 2021 – Source Gold Goats ‘N Guns

Qui est John Galt ?

Ayn Rand – La Grève

Il arrive un moment dans la vie de chacun où l’on doit faire face à la personne qui se trouve dans le miroir. Qui suis-je ? Qu’est-ce que je veux ? Où vais-je ?

Depuis le début de l’histoire du COVID-11/09, j’ai vu se briser tant de personnes qui ne pouvaient pas répondre à ces questions fondamentales. La peur du virus a révélé beaucoup de choses sur chacun d’entre nous.

Pour beaucoup, malheureusement, elle a provoqué leur tyran intérieur.

L’année dernière, au plus fort de la folie du COVID, après avoir publiquement raccroché au nez d’un Lee Stranahan déséquilibré en direct sur Sputnik Radio, j’ai tweeté ceci :

« Lorsque vous heurtez la peur existentielle de quelqu’un, vous découvrez le tyran qui sommeille en lui. Quand quelque chose est au-delà de sa capacité de compréhension, c’est là qu’il projette cette peur sur les autres.
C’est ce qui a été fait pour justifier le confinement. »

Ce n’était pas seulement dirigé contre Lee, mais c’était vraiment le cas.

Le journaliste d’investigation acharné de février 2020 s’est transformé en un bébé pleurnichard et adorateur de l’État à la fin avril. La peur de la mort a révélé sa chambre 101 1. Cet incident, parmi d’autres, a fini par faire tomber son émission de radio avec un gars reconnu, Garland Nixon.

Aujourd’hui, il est l’ombre de lui-même.

Je ne sais pas si mon action a été le catalyseur des changements qui ont eu lieu, mais je sais qu’après ce jour, rien n’a été pareil.

La triste vérité est que Lee n’était pas seul. Son effondrement était juste la version la plus publique que j’ai rencontrée personnellement.

Quand vous achetez la peur, vous vendez votre raison. Votre scepticisme disparaît alors que votre monde s’effondre. Vos yeux se concentrent sur votre prochaine étape, trop effrayés pour lever les yeux vers l’horizon.

Il n’y a pas de vue d’ensemble, il n’y a que le moment présent.

Depuis 20 mois maintenant, nous vivons parmi des gens terrorisés par une histoire, pas un virus mais une histoire, qui leur dit qu’ils sont les héros parce qu’ils ont peur et que les sceptiques sont les méchants.

Pour nous sauver, il nous suffit d’abandonner notre humanité et de nous soumettre à une autorité incapable de nous dire la vérité.

Parce que la vérité, c’est que nous n’avions pas grand-chose à craindre.

Ce sont eux les vrais méchants, les Faucis, les Bidens, les Schwabs, les Psakis, les Trudeaus et tous ceux qui croient encore à leurs histoires.

Il ne s’agissait jamais de la maladie, mais du contrôle et des dommages réels causés à nos psychés, nos corps et nos communautés, exactement comme je l’ai dit à Lee à la radio il y a dix-huit mois avant de lui raccrocher au nez.

Ils ont créé la peur et l’ont ensuite manipulée pour en faire quelque chose de violent. Ils se sont attaqués à notre décence et à notre humanité communes, les transformant en quelque chose de maléfique ; ce qui est maintenant évident pour quiconque lève les yeux du sol.

Parce que les obligations vaccinales sont la forme ultime de violence d’État, sans parler de la peine de mort.

Une fois qu’ils ont eu une partie suffisamment importante de la population tellement terrorisée qu’elle préférerait mourir plutôt que d’admettre qu’elle avait été trompée, ces méchants nous ont imposé le choix ultime de Hobson : faites-vous vacciner contre le COVID-11/09 et vous pourrez récupérer votre vie.

Mais ils n’ont jamais eu à prendre notre vie en premier lieu.

Nous la leur avons donnée, en espérant qu’ils n’étaient pas aussi mauvais que beaucoup le soupçonnaient.

Il est étonnant de constater qu’un an seulement après un été de pillages et d’incendies en raison de la brutalité policière à l’encontre d’un homme noir ayant fait une overdose de fentanyl, ces mêmes personnes trouvent des excuses pour une violence policière encore pire à l’encontre de personnes se promenant au soleil sans être masquées.

Pour eux, nous sommes les Untermenschen, les non vaccinés, les impurs.

Et cela justifie leur violence car, pour eux, nous sommes ceux qui empêchent les choses de revenir à la normale.

Une fois la menace du COVID-11/09 bien établie, la rationalité aurait dû revenir. Mais ça n’a pas été le cas. Trop de gens sont encore coincés dans la chambre 101, attachés à leur honte d’avoir été dupés par des méchants.

Ils souhaitent maintenant la mort par COVID à ceux qui refusent de se faire vacciner contre un virus qui a une faible probabilité de les tuer et pour lequel de multiples options thérapeutiques sont disponibles.

S’ils se taisaient, faisaient confiance à la science et laissaient les médecins pratiquer la médecine, la vie reviendrait vraiment à quelque chose de proche de la normale.

Mais il est de plus en plus évident pour un nombre suffisant de personnes que ces obligations ne sont pas à la hauteur de la menace que représente le virus.

Chaque jour, il devient plus clair qu’il s’agit de leur peur que nous reprenions le pouvoir que nous leur avons donné.

Pour se sauver du COVID, ils nous le souhaitent, tout comme Winston Smith, qui s’est regardé dans le miroir et a trahi son amour pour servir un maître qui le déteste autant qu’il se déteste lui-même.

Peu importe que les vaccins soient « sûrs » et « efficaces » ou non. Je ne suis pas là pour en débattre. C’est votre choix personnel, faites comme bon vous semble. Pas de reproche. Pas de honte.

Ce qui est important, c’est que ce ne soit le choix de personne d’autre.

De plus, ce n’est pas votre choix personnel de me dire que je ne peux pas participer à la société civile si je ne me fais pas vacciner ou, comme Joe Rogan, de choisir une voie différente de la vôtre pour traiter le COVID-11/09.

« Joe Rogan demande à Sanjay Gupta si ça le dérange que CNN ait carrément menti sur le fait que Rogan ait pris du vermifuge pour cheval pour se remettre du covid. C’est fantastique :

Traduction de la vidéo :

SG : Un vermifuge pour cheval, ce n’est pas très flatteur, ça non.
JR : C’est un mensonge. C’est un mensonge sur une chaîne d’information et c’est un mensonge qui est volontaire, c’est un mensonge dont ils sont conscients. Ce n’est pas une erreur.
SG : Ouais.
JR : Ils le présentent de manière défavorable comme un médicament pour animaux.
SG : Oui, la FDA a publié ce truc. Vous l’avez vu ? Vous avez vu le truc que la FDA a publié ?
JR : Qu’est-ce que la FDA a publié ?
SG : (rires) C’était un tweet. C’était sarcastique, je l’admets. Il disait : tu n’es pas un cheval, tu n’es pas une vache, arrête de prendre ce truc. Ou quelque chose comme ça.
JR : Pourquoi dire ça quand on parle d’un médicament qui a été donné à des milliards et des milliards de personnes ? Un médicament qui a permis à l’un des inventeurs d’obtenir le Prix Nobel en 2015, un médicament qui a prouvé qu’il stoppait la réplication virale in vitro. Vous le savez. Pourquoi mentiraient-ils en disant que c’est un vermifuge pour cheval ? Je peux me payer des médicaments pour humains, fils de pute. C’est ridicule, c’est juste un mensonge. Mais ne pensez-vous pas qu’un tel mensonge est dangereux sur une chaîne d’information quand vous savez qu’ils savent qu’ils mentent ? Vous savez qu’ils savent que j’ai pris un médicament qui, comme ça, est là. C’est de l’ivermectine…
SG : Pourquoi c’est là ?
JR : Quelqu’un me l’a donné.
SG : OK, accrochez-vous. …. Le truc, c’est qu’on va tellement vite. J’ai l’impression de manquer, je veux…
JR : Vous ne pensez pas que c’est un problème que votre chaîne d’information mente ?
SG : Eh bien, je…
JR : Mec.
SG : Qu’est-ce qu’ils ont dit ?
JR : Ils ont menti en disant que je prenais du vermifuge pour cheval. Tout d’abord, il m’a été prescrit par un médecin avec un tas d’autres médicaments.
SG : Ils n’auraient pas dû dire que c’était pour cheval. Si c’était… Si vous aviez eu une pilule destinée aux humains parce qu’il y avait des gens qui en prenaient chez le vétérinaire. Et vous n’êtes pas dans ce cas, évidemment, vous l’avez obtenu d’un médecin donc ils ne devraient pas l’appeler ainsi. L’ivermectine peut être un médicament très efficace pour les maladies parasitaires et comme vous le dites. Je pense que… Un milliard de personnes l’ont pris dans le monde, je comprends.
JR : Plus, bien plus, des milliards de personnes l’ont pris…
SG : Est-ce que je peux juste revenir au premier sujet ? Je veux parler de deux choses.
JR : Non, non, avant qu’on en parle. Ça ne vous dérange pas que la chaîne d’information pour laquelle vous travaillez ait menti, carrément menti sur le fait que j’ai pris du vermifuge pour cheval ?
SG : Ils n’auraient pas dû dire ça.
JR : Pourquoi ont-ils fait ça ?
SG : Je ne sais pas.
JR : Vous n’avez pas demandé ? Vous ne pensiez pas qu’il y avait… C’est vous qui (inaudible)
SG : Je n’ai pas demandé, j’aurais dû demander avant de venir…
JR : C’était une telle jubilation. Oui, vous l’avez fait. J’ai regardé. »

Parce que Winston a toujours eu le choix. Il pouvait choisir d’affronter sa peur et de devenir enfin un homme, comme Joe Rogan.

Ou il peut projeter sa peur sur de vrais hommes et rester dans son enfer personnel pour que le monde entier puisse en rire :

« Hey @joerogan, je suis heureux d’entendre que vous avez arrêté de vous gargariser d’urine de chèvre ou peu importe ce que vous avez fait au lieu de surmonter votre peur du Vaccin, pour me traiter de « déséquilibré » parce que je vous ai fait remarquer que vous et votre caravane de clowns êtes des chochottes terrifiées.

Voici la vidéo qui a fait réagir M. Peur :

Traduction de la vidéo :

Je comprends qu’il faille ménager les gens qui ne prendront pas l’injection.
Voilà, j’ai eu l’injection. Mission accomplie. Et il est temps d’arrêter de les ménager, ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.
Et notre première étape, à vous et moi, ce sont les symboles, le langage que nous utilisons. Nous appelons ces gens des hésitants, des sceptiques, des anti-vax. Nous disons qu’ils protestent contre les obligations et les passeports. Ils font un choix personnel. Ils attendent plus d’informations, ils prennent une décision médicale. C’EST DES CONNERIES !
Ils ont peur, ils ont peur de se faire vacciner. Arrêtez de nourrir leur ego sur ce qu’ils font, arrêtez de les légitimer.
Des hésitants ? Ils ont peur ! Des sceptiques ? Ils ont peur ! Des anti-vax ? Ils ont peur ! Ils protestent contre les obligations et les passeports ? Ils ont peur ! Ils font un choix personnel ? Ils ont peur ! Ils attendent plus d’informations ? Ils ont peur ! Ils prennent une décision médicale ? Ils ont peuuuur. Ces chochottes ont peur ! Peur du vaccin ! Peur qu’on leur prouve qu’ils ont tort ! Peur de faire ce que tout le monde leur dit de faire ! Ils ont peur des aiguilles. Donc, on arrête avec les euphémismes agréables sur ce qui se passe, à part pour les personnes qui ont des complications médicales prouvées suite aux vaccins. Nous devons cesser de dorloter les crétins qui refusent de se faire vacciner. Nous devons commencer par les appeler par leur nom : ce sont tous des chochottes, des lâches, des idiots, des ratés et, surtout, ils ont peur. »

Regarder les deux minutes de haine de cet homme est révélateur de tout ce qui ne va pas dans l’histoire du COVID-11/09.

Et ce même choix est maintenant directement sur notre chemin, vacciné ou non vacciné.

Le COVID-11/09 ne disparaîtra jamais. Pas plus que la grippe, le rhume ou tout autre virus endémique de l’environnement.

La vie est un risque et elle appartient à ceux qui sont prêts à affronter ces risques pour empêcher le monde de se briser. Couvrez-vous de peur si vous voulez, mais faire des boucs émissaires des non vaccinés ne vous sauvera pas.

J’ai vu cela en mars 2020 en disant que nous devons être courageux et célébrer tous ceux qui sont prêts à aller travailler pour fabriquer les choses dont nous avons besoin pour traiter les malades et protéger les personnes en bonne santé.

Dans une économie réelle, chacun est un travailleur essentiel.

En effet, chacun contribue, à sa petite échelle, au monde pleinement fonctionnel qui assure le remplissage des rayons, la circulation de l’énergie et nos maigres triomphes sur l’hostilité de la nature à notre égard.

Depuis des mois, nous sommes ouvertement menacés d’être privés de nos vies parce que nous n’avons pas mis à jour nos cartes d’inscription au parti. Nous avons tous lutté, à un certain niveau, contre notre incrédulité quant au fait que les choses puissent se dégrader à ce point et aussi rapidement.

L’Übermensch nous dit que nous pourrons redevenir amis si nous acceptons cette satanée injection.

Ce qu’il ne veut pas admettre, c’est que nous savons qu’il ment. Keith nous déteste pour le miroir que nous lui tendons. Regardez bien, c’est le visage de la honte.

Parce que les idéaux sont des juges. Ces idéaux ne font honte qu’aux hommes capables de l’admettre. Les autres sombrent dans le solipsisme et la folie.

Dans le roman de Rand, John Galt a construit le moteur qui pourrait changer le monde. Mais il a refusé de le donner au monde dans lequel il vivait.

Les Übermensch ne l’utiliseraient que pour perpétuer leur pouvoir, leur mal.

Qui est John Galt ? C’est cette meilleure version de nous-mêmes qui sait qui nous sommes, ce que nous voulons et où nous finirons. Et il est grand temps que nous arrêtions de craindre la perte qui vient en affirmant cela directement.

La grève de la productivité et la conscience de soi imaginée par Rand est là. Les pilotes de ligne, une classe d’Übermensch s’il en est une dans ce monde malade et triste, ont débrayé le week-end dernier, entraînant avec eux la majeure partie du personnel de Southwest Airlines.

Les Übermensches sont furieux, mentent ouvertement sur ce qui s’est passé et fustigent quiconque dit le contraire.

Mais nous ne devrions pas nous en soucier.

Tout comme nous ne devrions pas nous soucier du fait que Sanjay Gupta, après l’humiliation de Rogan, a été contraint de participer à une séance de lutte publique pour conserver sa place à CNN, prouvant ainsi au monde entier qu’il est un homme sans principes, sans idéaux et sans honte.

Au moment où j’écris ces lignes, le 15 octobre, les obligations vaccinales entrent en vigueur dans le monde entier, sous le contrôle du Davos. Des centaines de millions de personnes ont maintenant le choix. Devenir sa propre version de John Galt s’accompagne de pertes.

Il faut renoncer à quelque chose aujourd’hui pour conserver non seulement son intégrité, mais aussi pour donner de la force à ceux qui n’en sont pas encore là.

Tout repose sur le fait de leur donner votre consentement. Les Übermensches ne négocient pas, ils intimident.

Les brutes sont des lâches. Votre consentement aujourd’hui nourrit leur addiction à la peur.

Auparavant, je vous ai dit de leur dire calmement, « Dites juste non ». Maintenant, je vous dis que cela prend la forme d’un retrait complet du consentement, en risquant le confort d’aujourd’hui pour le bénéfice de demain. La force dont vous faites preuve aujourd’hui est le fondement d’un monde à reconstruire, un monde meilleur que celui qui disparaît.

J’ai eu de bons moments avec Sputnik Radio. Mais je ne leur devais rien. Et quand le masque de la civilité est tombé, il était temps de partir.

Nous portons tous ce masque de temps en temps, mais seulement avec ceux qui sont dignes de nous rendre la pareille.

Toutes les choses ont une fin, bonne ou mauvaise. Ce qui compte, c’est qui nous choisissons d’être, ce que nous voulons et ne pas avoir peur de là où ces choix nous mènent.

Remarque : ces images sont tirées du classique DC Comic des années 1980 The Question, numéro 5, dans lequel Vic manque de se tuer, tourmenté par sa culpabilité d’avoir déclenché l’effondrement final de la ville qu’il a juré de protéger, mais qui a sombré dans la dépravation, la violence et l’apathie.

Tom Luongo

Traduit par Zineb, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

Notes

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