Le variant Omicron du SARS-COV-2 est non seulement une souche hautement géopolitique mais semble lié à des échéances sportives comme les jeux olympiques d’hiver de Beijing. Les réactions disproportionnées et, il faut le préciser, totalement ridicules, de certains pays face à cette nouvelle campagne mensongère et théâtrale incluant des éléments classiques de la fabrique de la peur sont d’autant plus incongrues que l’Afrique Australe, zone où ce variant a été signalé, n’est pas une région du monde impactée par la fabrique de la peur.
La fermeture des frontières est une fausse réaction ridicule rappelant le grand vaudeville universel de 2020 avec son lot de gros mensonges quotidiens et de grossière propagande. Certains pays d’Afrique souffrent depuis longtemps d’un manque chronique de vaccins pour des maladies infantiles. Dans beaucoup de régions, les enfants non vaccinés qui survivent à la malnutrition, les eaux usées, l’absence d’eau potable ou à mille autres aléas développent une immunité naturelle très forte ainsi que des capacités physiques assez remarquables (endurance, résistance à la douleur physique, etc.). Lors de l’apparition épisodique du terrible Ebola, que beaucoup d’Africains soupçonnent d’être le résultat d’une manipulation humaine, des médecins de l’OMS ont été surpris de constater que certains individus locaux affectés par le virus parvenaient à se rétablir sans l’aide d’un traitement.
Isoler l’Afrique, c’est punir l’Afrique, selon les termes des officiels sud-africains. Pour le Malawi, pays très lourdement touché par le VIH (SIDA), cet isolement injustifié est une autre poussée d’afrophobie.
Pour le Secrétaire Général des Nations Unies, l’Afrique est lésée par une politique immorale des vaccins. En réalité, les africains demeurent dans l’ensemble rétifs aux vaccins et il faut les mettre au pas pour qu’ils acquièrent des stocks de vaccins refusés par leurs populations. Des millions de doses acquises par des pays africains sont parvenues à leur date d’expiration faut d’un engouement pour le produit. C’est la raison pour laquelle la demande est en stagnation. Une situation intolérable pour les grandes multinationales pharmaceutiques.
Omicron n’est donc qu’un prétexte bidon sur fond de rivalité géopolitique et économique entre blocs.
On ne se rappellera jamais assez de l’hystérie des médias dominants contre la tenue des derniers jeux olympiques d’été à Beijing avec son lot de mauvaise foi, de coups tordus, de propagande de très bas étage et de dénigrement dans un contexte sportif où la politique devait être exclue. Avec Omicron, les propagandistes de caniveau disposent de l’argument imparable. O’Micron devrait être le label d’une bière mais qu’importe : la fabrique de la peur, telle qu’elle a fonctionné avec l’épouvantail du terrorisme thématisé “islamiste”, doit désormais tabler sur les dizaines de mutations de la protéine Spike d’un virus star des hasards d’une ingénierie génétique loin de maîtriser un processus encore fort mal connu du vivant.
L’évocation des effets secondaires de tous les vaccins anti-COVID est presque un acte puni par la loi. Cependant, nous avons actuellement assez de recul pour affirmer, sans l’ombre du moindre doute, que tous les vaccins anti-COVID affectent indirectement la pression artérielle et aggravent les facteurs pouvant aboutir à des thromboses et dans bien des cas des AVC chez des personnes saines. Mais bon, pour les Fauci, les Veran et leurs clones, le bénéfice des vaccins dépasse ce type de risque. En suivant ce raisonnement, mieux vaut un AVC que cinq jours de grippe. Le message est clair. Dans certains pays du Sud de la Méditerranée, on mène une campagne de vaccination contre la grippe saisonnière en concomitance avec celle du SARS-COV-2, histoire d’être en règle avec les Big Pharma et d’éviter d’être engueulés par les puissants avec en prime un chantage au FMI ou en matière d’investissement étrangers directs. On survit comme on peut dans ce monde impitoyable.
La situation en Europe orientale est bien plus dangereuse que cette menace d’Omicron au marketing défectueux. Et pourtant, l’effet de Panurge produit des miracles. Au mépris du temps, on stagne depuis 2020 faute d’imagination politique. l’Empire ne dispose plus d’idées nouvelles et s’entête à nous faire passer en boucle des films périmés. Comme ce film ne passe pas trop, la coercition directe ou indirecte est de rigueur. Les portes-paroles de certains gouvernements ne s’en cachent même pas. Ils nous menacent des pires tourments si nous persistons à refuser leur plan foireux. C’est pour cette raison que le variant Omicron ne sera pas l’Oméga et qu’il y aura une suite en boucle faute d’imagination au pouvoir, à moins que des missiles hypersoniques s’abattent quelque part et c’est une hypothèse qui est fort plausible en ce moment de tension extrême.
En attendant, des populations entières se retrouvent prises au piège, soumises à un chantage ignoble et privées des droits les plus élémentaires sous un prétexte aussi faux que ne le fut la fausse guerre contre la drogue dans les années 90 ou encore la fumeuse guerre sans fin contre la terreur dans les années 2000. C’était les feuilletons de l’époque. Maintenant on a la fade série des variants d’un vecteur biologique et la fabrique de la peur (et du consentement par contrainte)…On n’a pas évolué d’un iota. On régresse.
Omicron devrait être rebaptisé O’Micron au risque de heurter quelques sensibilités irlandaises. O’Micron, la menace bidon! Voilà le titre d’un navet de série Z ou d’un nanar. Sauf qu’on est en train de le vivre. Avec son lot de fanatiques en sus.
Courage! Fermons les portes et les fenêtres! O’Micron va sauver la bourse des aléas du marché énergétique et même plus…C’est pourtant bien une guerre hybride d’un genre nouveau.
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