Dessine-moi une flotte de flotte

Dessine-moi une flotte de flotte

par Gilbert Guingant.

L’art d’écrire pour décrire ! Que célèbre ce texte. Car, avec ses expressions «heureuses», il nous aide carrément. Disparu il serait, se chuchote-t-il…puisque le fric acéphale n’en a pas besoin. Tu vas vite voir ce qu’il perd en énorme…Pourquoi ainsi ? Tout reprendre en main, surtout nos vies complètes – c’est le minimum vital… Puisque ? Temporairement, mais nul.le ne sait quand, sonnera la fin de cette Folie installée. Et ? Nous sommes mieux inspirés à ressentir complètement tous les trésors collectifs cumulés (tout en poursuivant conjointement les argumentations serrées et la critique qui solutionne leurs aberrations liberticides…Ceci ajoute et ne retire rien !)…Comme ceci :

Décrire d’écrire…mais encore ?? Anastasiya, une de ces si rares personnes qui vous donne l’impression qu’elle vous attendait. Qu’elle vous connaissait déjà. Que tout en vous lui est familier. Qu’elle vous serre dans ses yeux comme l’on sert sur un cœur. Que vos retrouvailles forment son plus grand souhait. Que, qui que vous soyez, il sonne absolument parfait que vous soyez exactement tel que vous êtes. Anastasiya vous donne une sensation de votre présence, que vous-même ne vous offrez que si rarement. Les draperies de la passion ardente largement éployées autour d’elle : avec chaque autre individualité, elle semble présenter la même figure…Pas une seconde qui ne soit intensément intense…

Sa peau comme toute nappée et nimbée de jaune doré. Due à l’échelle de lumière, tamisée par de la légère poussière, sans cesse escaladée, redescendue par la patience d’une foule de grains phosphorescents. Semble toute émerger d’un œuf profond enturbanné de brumes vaporisées (la trace mnésique de l’œuf de la Vie … ?).

D’un tout décompte de fée. Les genres de calculs qui ne peuvent aboutir qu’aux bons résultats. Ne lisons nous pas, en bas de page, la devise « tout ce qui compte, ne se compte pas! », relativisant toute la tyrannie (si peu probante) du chiffre manié par l’inhumain en l’homme ? Avez-vous déjà croisé les chiffres rendus à la danse cosmique ? Les savoirs ne sont pas…séparés (sinon ils ne constitueraient pas de ces connaissances destinées à faire,…toutes et tous, à faire connaissance oui oui !! Salut, et la connaissance te fait direct connaissance …), sous les apparences volontaires d’une mise en disciplines intellectuelles distinctes. Mais tout se montre… unifié : si les chiffres semblent arithmétiques, ils sont aussi sensuels, une danse, des couleurs et odeurs, participant à une architecture d’une beauté à couper le souffle. Séparés, les chiffres ne disent plus rien ; ils ne se cognent plus que dans les approximations. Desséchés et taris de tout, ils ne saluent plus que les abstractions. Attracteurs étranges qui ne tournent plus tout à fait, tant de leurs à-coups crantés s’élevant puis comme aspirés dans des gouffres de secousses. Rencontrer Anastasiya ne se peut chiffrer, ne parvient pas à se compter. Elle semble déborder de partout. Jamais elle ne te va dénombrer des nombres, non elle te va les sortir de l’ombre : chacun est bien un évènement unique et…si indispensable à l’Humanité entière. T’imagine une tête qui pense-ressent cela ? Plus la peine d’imaginer tu l’as là en si véridique !

A ce stade de votre progression, ne trouvez-vous guère étrange que personne ne se soit intéressé à la plénitude ? Oui. La plénitude c’est quoi ? Être tout empli de l’univers joyeux et sensuel et de soi-même…en passe de le devenir aussi ? Plénitude ? Un plein qui supplante tous les vides ? Un ample débordement, si vous aimez oser les images, qui évide tous les avides ? Une présence qui excède toutes les absences? Un plein entier, complet, global, exhaustif, le tour de la question donc le retour de la réponse…etc.

Bien serait-ce un avant-goût plantureux ? Oui oui, mais ceci ne nous explique absolument pas d’où partirait la plénitude d’abondance et de profusion? Et comment faire pour la reTenir ? Se dé-Ployer. Se tirer de tout ce qui vous/nous ploie, plie, pèse, écrase, amenuise, encombre, démembre…

Le soulagement semble, alors, tel que toutes les…

courbatures en perdent leurs courbes lasses.

L’art de décrire n’existe donc plus ? Ah bon… Pourquoi-ne-pas-vouloir-de-l’expérience-des-autres

Anastasiya ? De savoir qu’elle aurait des jambes charnières, entre le charnu et l’élancé, est-ce bien utile? Des épaules garçonnes, plus charpentées que les habituelles féminines, de le connaître vous apporte-t-il plus que l’extinction d’une curiosité, qui ne demeure salutaire qu’à rester vigilante? Ses attaches fines et ses mains sans cesse en arabesques. «Décrivant», peut-être, plus la réalité qu’elles tentent de transcrire, que ses mots, articulés d’une voix profonde mais aux échos d’une douceur persistée, flanquant sans cesse un début de chair de poule. Mélodieuse.  Autant le sens que le son s’y verrait honorés. Corps silhouetté, dansé, chair que l’on se dit comestible avec la peau qui demeurerait, telle une onctueuse pelure de pèche sur la langue.  Et ces flaques bletties sur la blancheur porcelaine de son épiderme qui vous fait venir le cœur tout au bord des lèvres. Fesses galbées, à vouloir jouer la musique de l’instrument. Visage en triangle bien élargi vers le haut. Ses yeux en amandes jettent un éclair fauve dans la géométrie allégée de la frimousse. Les lèvres humides entrouvertes semblent espérer un éternel baiser. Le nez droit attire encore plus le regard, fasciné par la sérénité gourmande du minois. Vous sauriez tout ceci que vous n’auriez même pas un résumé entre les mains.

A la peau ennuagée de pollen suspendu comme d’un éventail solaire illuminé de biais. Ou bien ce qui vous donne envie de sommeiller de voluptés afin de faire durer plus longtemps cette certitude que vous êtes au… centre de l’harmonie universelle.

Une rencontre voulue par l’harmonie universelle?

…l’harmonie universelle…

En tout cas, cette phrase a une sacrée gueule. Elle assure.

Une rencontre voulue par l’harmonie universelle?

Anastasiya, le cœur comme une main, le cœur devant soi, le cœur le plus à l’extérieur de soi. Tel une sonde impossible à tromper, le cœur inspecte tous les espaces devant elle, lorsqu’elle se met à se déplacer. Anastasiya, le cœur qui approfondit tous ses apprentissages, en  sait, à la longue, si long dans ces éruditions qui ne « comptent pas » (tout ce qui compte ne se compte pas!). Elle vous « connaît » d’un nuage doré, où les références de bases ne se pourcentagent pas, ne s’expertisent pas, ne se chiffrent pas. Où la « réussite » est, trop souvent, inverse de ce qui se décrète dans les domaines matériels. Tous ces indiscutables… très discutables d’aujourd’hui ! C’est que : à partir de positions spatiales et de vos géométries de déplacements, elle vous devine et discerne tout entier. Avec vos intensités cordiales (qui appartiennent au cœur ; un cœur reste un cordial !), la/les couleurs qui vibrent avec (les couleurs étant des vibrations répondent vraiment aux longueurs d’ondes), les/la formes qui se créent autour de votre intention affective. Anastasiya a, entièrement, dessiné la carte de votre cœur avant que vous ayez pu dire le moindre mot. Avec cette sensation, en vous, d’un massage essentiel…Là où la masse te masse…

Ou, autrement dit, une sonde qui partage l’info, avec vos cellules profondes, en vous donnant, en échange, la splendeur d’une compréhension entièrement complice. Comme si Anastasiya prévoyait ce qui reste de votre potentiel… d’après la courbe de votre trajectoire entamée. Elle forme un accueil bien centré qui ne juge pas (pas de risques de désagréables tressautements lorsque vous avancez!). C’est comme la bienveillance toute de l’univers qui vous fait vous sentir plus grand, plus profond, plus étendu. Comme si elle appartenait aux émotions en ribambelles, aux sentiments si diversifiés – chaque seconde déplie, déploie, étend, étale, déroule une amorce nouvelle de courbe. Et la journée s’escalade elle-même toujours plus haut. Aucun ennui n’est possible en de telles draperies. Changeantes et si incroyablement fidèles. Le cœur redondant, sachant les fins de toutes phrases avant même leur prononciation.

Qui refuse la voie du cœur s’achemine vers l’aridité imbuvable, vers les privations sensuelles, vers la plénitude de la joie etc. – puisque (il ne vous reste qu’à l’admettre) devenir un millionnaire de la vie intérieure induit dix mille fois plus de (ré)-jouissances que d’être un bref millionnaire d’objets. Le cœur demeure à la pointe de toute invention, de toute découverte ou de toute trouvaille. Et donc…reTrouvailles !

Oui comme promis, l’appui de la Littérature ! Dessine-moi une flotte de flotte …Pourquoi donc ce titre ? Oui lorsque vacillent toutes les objurgations à suivre un pouvoir vraiment… «repoussant», tous les possibles cognent aux vitres. Et de nouvelles formulations balbutient le tremblé de ce qui n’est pas encore complètement formé. Pas tout à fait né. Dessine-moi une flotte de flotte ? Une flotte de flotte ? Oui mais qui est en-dessus ou en-dessous ? La flotte ou la flotte. La flottaison  ou ce qui se laisse boire ? L’escadre, l’armada ? Avec la pluie comme résultat et la matière liquide de ce résultat même ? Avec, aussi, la boisson ? Puisque tu sais combien les contenus n’ont pas encore de contenants bien définis et liserés (et quelle «contenance», attitude alors prendre ?). Fermement dessinés, affirmés, cadrés…tout flotte dans le bien trop large. Cela ne colle pas encore impeccablement au corps. C’est que la vapeur frissonnée de ce qui… est établi n’est pas vraiment nette. Ce qui est établi qui doit, alors de nouveau, confirmer qui ou quoi l’a… établi. Et où est l’établi de l’œuvre qui le fonda ? La table massive de la gestation sur des mois de sa naissance bientôt prévue ?

Dessine-moi donc une flotte de flotte. Flottilles en multitudes ou abondances inépuisables de liquides ? Comment alors dessiner les deux à la fois ? Il paraît (encore si erroné…) de proclamer et réclamer que l’art de décrire n’existe plus. Partout…martelé ! Genre, tu vois, prêcher le faux, là, pour avoir…tout faux. Le mieux c’est d’aller y voir ? Plutôt écouter, non !!

Oui-être-dans-la-lune-rend-Plus-intelligent-!

Qui aurait cru que rêvasser ou être dans la lune était une bonne chose ? « C’est pourtant ce que disent des neuroscientifiques dans une étude canadienne. Pourquoi ? La raison est que lorsque nous sommes dans la lune, le système qui gère notre attention reflète l’activité primaire de notre cerveau (oui le cerveau tout entier se voit …sollicité…). »… C’est-à-dire que nos pensées se déplacent facilement d’une idée à l’autre, ne se cantonnent pas à une seule …stérile, et nous permettant ainsi, inconsciemment, d’être plus créatifs.  Tellement plus…Et ainsi ? « Rêvasser n’est pas une activité localisée dans le cerveau, mais plutôt un réseau de circuits interconnectés, ce qui nous permet d’atteindre des pensées parfois plus profondes ou complexes qui sont les plus bénéfiques pour la résolution de problèmes par exemple…Plus qu’Incroyable !! »…Incroyable : rêver éveillé est le plus …difficile alors que se débiliter par une idée fixe c’est cela le…simplisme arriéré. Oui se déguiser en costard-cravate c’est à la portée de toutes les vulgarités – mais se laisser entraîner par la force qui rêve (avant de se concrétiser) cela est hors de portée de ces trop…cupides stupides ! Voici qui change véritablement tout…le monde a changé de bases et nous n’étions même pas au courant…

Maintenant que nous le sommes, vivons sur ces nouvelles bases…le rideau vient de se fermer sur les vieilleries du néolibéralisme, sur les vains médias qui mentent et sur la police « ex-nationale » qui a virée en milice privée… Ce qui signifie que le rêve flottant se prouve infiniment plus profond que les idéologies ou les faux raisonnements qui…

…n’alignent que des conformismes desséchés…et à mourir d’ennui !

Alors que nous avons trouvé (…à la place) la ligne vers toutes les beautés

Dessine-moi une …flotte de flotte ?

Indice ? là où il y a flotte il y a Flottement !!

La-vie-s’-avance

Lorsque abondances de nuisent pas : 45 pages de toutes les calligraphies et styles d’écritures…La langue française recelant tant de mystères, tel ce dessine-moi une flotte de flotte. Qui ne trouvera jamais une réponse…

définitive !
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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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