Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Wikimedia Commons
Si l’on avait à décrire l’état du monde aujourd’hui, en 2021, l’image de la nuit serait assez adéquate.
Nous n’avons pas seulement été confinés loin de la lumière naturelle, mais aussi, et surtout, de la lumière spirituelle. Lorsque l’avortement, l’euthanasie, et le mariage contre nature semblent être devenus la norme, toute lueur de la Foi semble éteinte, ou du moins « cachée sous un boisseau ».
Mais en ce dimanche 28 novembre, premier dimanche de l’Avent, débute un temps de supplication, d’espoir, et d’attente de la lumière. Alors que le peuple hébreu a attendu 4000 ans la venue du Sauveur ; aujourd’hui, nous n’avons qu’à l’attendre 4 semaines.
Il ne suffit pas d’attendre. Nous devons prouver par nos prières et nos sacrifices que nous voulons ardemment la venue du Messie.
« L’Avent nous rappelle qu’aujourd’hui, dans notre société plongée dans des vices contre nature, nous avons plus que jamais besoin de supplier le Sauveur pour qu’Il nous sauve. (un article de la FSSPX) » La supplication nous permettra alors de comprendre notre état de créature, nous faisant acquérir l’humilité, la clé de notre salut.
Car comme nous rappelle un article de la FSSPX « … l’homme humble se tait… Ce silence produit en lui le détachement et la confiance : le détachement du créé et la confiance en Dieu, le recueillement en Dieu. Et ce silence, alors… pacifie [l’homme]. Cette paix, c’est le Christ, Rex pacificus, qui la cause dans notre âme par Sa croix, instrument de notre salut. »
Que cette nouvelle saison liturgique nous redonne ainsi l’espoir de voir apparaître la lumière, et de trouver notre force en notre Sauveur, qui seul peut dissiper la nuit.
N’oublions pas aussi d’invoquer la Sainte Vierge qui par son exemple nous apprendra, « l’humilité et le silence. »
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