par F. Meylan.
Je l’ai évoqué dans un précédent billet, nos gouvernements se sont engagés dans une fuite en avant, en matière d’imposition de la vaccination. Pour écouler des stocks faramineux de vaccins acquis au prix fort avec les deniers publics et dans l’espoir de taire tout discours contrariant à une doxa fabriquée à coups de subventions publiques à la faveur des médias mainstream. Les mêmes consultants et bureaux conseils sont aux commandes. La stratégie est toujours la même : avancer par « enfumage ».
En France, on commence par prescrire la troisième dose au personnel soignant puis on conditionne la validité du pass sanitaire pour les personnes âgées de 65 ans et plus à une troisième dose et seulement quelques jours plus tard on abaisse le seuil «d’éligibilité » – ou plutôt d’astreinte – à l’âge de 40 ans. Pourquoi 40 et non 42 ou 38 ans ? Ce n’est pas important. Le régime macronien a déjà fait savoir, fin de semaine dernière, que la troisième dose va rapidement être étendue à toutes et à tous : « C’est le sens de l’histoire » dixit l’autocratique Emmanuel Macron qui gouverne seul, à l’abri d’un conseil de défense, dont les présupposées activités sont au bénéfice du secret défense pour 50 ans !
Mais dans ce cas, pourquoi les nouvelles mesures ne s’appliquent qu’à partir du premier décembre et non immédiatement ? Puisque les médias mainstream s’appliquent à nous brosser un tableau des nouvelles contaminations des plus noirs et ce au quotidien. La réponse on l’a eu vendredi dernier sur le plateau de la chaîne télévisée LCI où un chef de clinique convié pour vendre les mérites de la troisième dose vaccinale – un de plus – a mis les pieds dans le plat. Il a admis, à demi mot, que c’était le rythme des livraisons de vaccins qui dictait l’adoption des nouvelles mesures. Plus fort encore, c’est la récente annonce du chancelier autrichien Alexander Schallenberg qui veut imposer la vaccination à toute sa population dès le 1er février prochain. Faisant fi des critères impératifs contenus dans la liste du « Code de Nuremberg. »
Reste à savoir comment cela va s’appliquer. Avec quels moyens ? Avec quelles méthodes ? Et comment les victimes des vaccins seront-elles reconnues et indemnisées ? Dès que la raison d’État impose un vaccin (fait rarissime), la collectivité devient de facto responsable non seulement moralement mais aussi pécuniairement. Nous sommes passés d’un paradigme de gestion de la maladie à celui de la distribution des stocks de vaccins.
Hors voilà, la baisse sensible de l’été dernier des contaminations n’est pas plus à mettre au bénéfice du vaccin qu’à la hausse des températures estivales. C’est du déjà vu. Nous avions vécu pareille accalmie au cours de l’été 2020 et sans vaccin. L’appareil propagandiste qui sait très bien imposer la formation du consentement par la peur sait aussi très bien taire les effets indésirables des vaccins ARN messager. L’arrivée de températures plus fraîches et de la saison d’hiver n’augmentent pas seulement le nombre de contaminations à la Covid-19 mais également les surréactions à la vaccination qui est toujours au stade expérimental. Attention, avec la vaccination des enfants puisque cette dernière vient au galop. On sait que les organismes de nos juniors pour lesquels le consensus scientifique reconnaît que la balance «risque – bénéfice » est clairement défavorable peuvent surréagir.
Une rapide observation du site Internet de Swissmedic nous apprend qu’en Suisse, entre le 12 octobre et le 3 novembre 2021, les réactions à la vaccination sont passées de 28’148 à 32’176 – depuis le début de la vaccination, soit en janvier dernier; que les effets graves recensés passent de 2978 à 3396 (+ 14 %); les décès présumés passent de 150 à 155 (+ 3.33 %) et que la population entièrement vaccinée ne progresse «que » de 5’646’798 à 5’750’670 (+ 1.83 %). La hausse des effets indésirables graves est exponentielle.
Quant à l’Union Européenne (UE), la résolution portant sur la création d’un Fond européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la Covid-19 et déposée le 23 octobre 2021 par la députée française Virginie Joron nous apprend ce qui suit :
1-) considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà environ un million de cas d’effets indésirables suite à l’injection de vaccins contre la COVID-19 :
– 435 779 pour le vaccin Pfizer BioNTech,
– 373 285 pour le vaccin AstraZeneca,
– 117 243 pour le vaccin Moderna,
– 27 694 pour le vaccin Janssen ;
2-) considérant que ces effets indésirables sont parfois sévères ; considérant qu’ainsi, environ 75.000 personnes auraient souffert d’effets neurologiques sérieux après le vaccin Pfizer;
3-) considérant que l’Agence européenne des médicaments affirme que les vaccins contre la COVID-19 ont eu, dans l’Union européenne, une issue fatale pour environ 5000 personnes :
– 4198 pour celui de Pfizer,
– 1053 pour celui d’AstraZeneca,
– 392 pour le vaccin Moderna,
– 138 pour le vaccin Janssen.
Les sources mentionnées dans le document de la courageuse députée et les données mentionnées se basent sur les chiffres officiels de l’Agence européenne des médicaments (en anglais EMA, pour European Medecines Agency).
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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