Aux Pays-Bas, la police aurait tiré à balles réelles sur des civils manifestant violemment contre les mesures sanitaires prises par le gouvernement. D’après les vidéos circulant en ligne, les policiers néerlandais ont fait usage de leurs armes pour tuer et non pour des tirs de sommation. Plus étrange est la participation de membres de l’AIVD (Algemene Inlichtingen- en Veiligheidsdienst), la principale agence de renseignement néerlandaise, dans la répression des manifestations de Rotterdam. Des informations indiquaient que l’AIVD participait depuis des mois à un programme de fichage systématique des personnes et des groupes exprimant leur opposition aux vaccins et passes sanitaires. Une pratique redoutable de par son efficacité et rappelant un peu trop celles de la défunte STASI de l’ex-République Démocratique Allemande (RDA).
En Guadeloupe, la population est en état d’insurrection contre les mesures sanitaires prises par le gouvernement. Blocage des établissements hospitaliers, jets de pierres contre les forces de l’ordre, grèves, pneus brûlés et désobéissance civile. Paris envoie des renforts policiers et militaires et le préfet local y décrète le couvre-feu. C’est la première fois qu’un couvre-feu est instauré en raison de “mouvements sociaux et actes de vandalisme”. Un nouveau palier dans la répression des populations est franchi en temps de paix. l’État central y envoie le GIGN et le RAID, les meilleures unités d’élite de la Gendarmerie et de la police pour mater l’insurrection d’une population qui ne réclame ni indépendance ni de nouveaux droits mais juste la fin de la “connerie”. C’est la répression.
Ces deux exemples confirment que le prétexte COVID-19 n’est qu’un outil de manipulation politique de masse visant le renforcement du contrôle des population et l’affranchissement du semblant de démocratie. Le message est simple: soit vous vous soumettez à nos mensonges flagrants et les mesures stupides ou irrationnelles qui les accompagnent , soit on vous écrase, par la force si nécessaire.
Il ne s’agit plus de croire ou de ne pas croire en une narration souffrant de graves lacunes en matière de cohérence mais de se soumettre dans tous les cas de figure à des acteurs non-étatiques ayant relégué ce qui reste des États-Nation (un concept obsolète) en simples machines de répression et de contrôle au profit des multinationales. C’est une forme de corruption institutionnelle qui préfigure un avenir dans lequel des conglomérats financiers auront la primauté absolue sur les États.
Le sujet est grave. Il y aura toujours des dérives. Par expérience, la casse n’est pas toujours spontanée. Il existe un marché de casseurs à louer. Le noyautage de la petite délinquance et du grand banditisme par le capital où les services de l’État n’est pas une nouveauté. Les faux semblants et les actes de vandalisme, réels ou sous faux drapeaux, serviront à réprimer les honnêtes gens pour leur opinion, leur pensée, leur objection ou même leur capacité de résilience face à la bêtise institutionnelle.
Ce n’est pas une insurrection, c’est une révolte des laissés pour compte souffrant du chômage, d’une inflation réelle à deux chiffres, un manque d’eau potable, de racket, de l’exclusion et des déprédations des mafias du foncier qu’on veut transformer en cobayes à traire jusqu’à ce que mort s’en suive. Et quand ces gens-là se révoltent, le gouvernement ne trouve d’autre solution que la force comme au bon vieux temps des colonies. Cela fait des semaines que les grèves en Guadeloupe sont passées sous silence. Que des tribunes sont censurées, que des personnes sont harcelées pour délit d’opinion, que les patrons de presse, grands amis des politiques et des pontes du régime, font mine d’ignorer.
Autre détail troublant: les processus de prise de décision en matière sanitaire aux Etats-Unis où l’apprenti sorcier Fauci sombré dans le délire mais également dans les pays d’Europe occidentale se basent depuis quelque temps sur les conclusions d’équipes israéliennes dont on ignore la composition réelle, la qualification ou même le type de recheches qu’elles effectuent (la pratique courante de faux rapports est un sport de choix en Israël). C’est un scénario revisité d’un improbable dialogue aux enfers entre Faust et Mengele. Un cauchemar souriant et paisible dans le meilleur des mondes. Un monde où on vous contraint à vous faire piquer régulièrement pour accroître le rythme des bénéfices des Big Pharma à la seconde sous peine d’être abattu par un commando d’élite comme un dangereux terroriste. C’est la fabrique de la peur qui vient de se recycler. Le mythe du terroriste islamiste ayant été épuisé puisque tous les pays de la zone MENA sont à terre, il fallait un puissant anxiogène universel avant de revenir à la confrontation globale. Les populations, portion congrue, tout juste bonnes à consommer et faire marcher le cycle non vertueux, doivent être maintenue dans la terreur douce. Les forts en tête seront ciblés et éliminés. Les autres seront des cobayes d’une expérimentation à ciel ouvert. Une sorte de palestination du monde sur fond d’une confrontation entre blocs géants. L’humain ne compte plus.
La contrainte, c’est pour votre bien. Une balle dans la tête en cas d’objection. Merci aux piètres menteurs qui font semblant de gouverner.
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