Le 16 novembre 2021, les médias ont rapporté que 15 flacons de variole avaient été découverts dans un congélateur du laboratoire Merck de North Wales, en Pennsylvanie. Alors que beaucoup paniquent à l’idée que la variole puisse être utilisée comme arme biologique contre les Étatsuniens — comme suggéré par Bill Gates il y a quelques semaines — la vraie question est la suivante : a-t-on vraiment trouvé des flacons, ou s’agit-il de provoquer la panique, de siphonner une autre caisse occulte et de potentiellement préparer un futur événement sous faux drapeau qui servirait [comme la soi-disant « pandémie » de Covid-19 – NdT] à dissimuler la construction du système d’asservissement humain tant désiré par les mondialistes ?
© Inconnu
VARIOLE
Qu’il s’agisse d’un faux drapeau imminent ou d’un événement futur qu’ils souhaitent mettre en place, la chronologie ci-dessous brosse un tableau très intéressant, en particulier le fait que sous couvert de « bioterrorisme » la FDA a récemment approuvé plusieurs vaccins et traitements médicamenteux contre la variole, et qu’elle continue d’ajouter des vaccins antivarioliques à son stock national stratégique. En outre, ce n’est pas la première fois que des fioles de variole auraient été trouvées en dehors du CDC. Cela s’est produit en 2014, lorsque l’on a trouvé six flacons dans une boîte en carton, rangés dans une chambre froide des Instituts de Santé. Ces laboratoires ont-ils fait des expériences avec la variole, ou des fioles ont-elles vraiment été trouvées à ces endroits ?
Seuls deux endroits dans le monde abriteraient le virus de la variole, l’un étant le CDC et l’autre le Centre de recherche d’État de virologie et de biotechnologie de Russie, également connu sous le nom d’Institut Vecteur, situé près de Novossibirsk en Sibérie.
Chronologie des principaux événements relatifs à la variole de 2001 à 2021
— 22-23 juin 2001 —
Simulation d’une attaque secrète de variole baptisée « Dark Winter » [Hiver sombre – NdT]
Le Center for Strategic and International Studies (CSIS), le Johns Hopkins Center for Civilian Biodefense Studies, Analytic Services, Inc. (ANSER) a conçu et lancé un exercice avec d’anciens hauts fonctionnaires pour répondre à une attaque bioterroriste à la variole contre des citoyens américains, et le général Dennis Reimer du Memorial Institute for the Prevention of Terrorism (MIPT) a financé « Dark Winter ».
En novembre 2020, Joe Biden a mis en garde contre un « hiver très sombre », au regard de l’augmentation des cas de Covid-19, et le 15 janvier 2021 a déclaré « nous sommes toujours dans un hiver très sombre ».
Note du traducteur : Sur « Dark Winter » :
Et également les deux articles magistraux de Whitney Webb sur Moderna cités dans une Note ultérieure.
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— 4 septembre 2007 —
Homologation par la FDA du vaccin antivariolique ACAM2000 de Sanofi Pasteur Biologics Co.
Le communiqué de presse de la FDA comprend les déclarations suivantes :
« Jusqu’à l’homologation de l’ACAM2000, le Dryvax, fabriqué par Wyeth Laboratories, Inc. était le seul vaccin [contre la variole – NdT] homologué par la FDA. La vaccination systématique du public américain a été arrêtée en 1972 après l’éradication de la maladie aux États-Unis. Cependant, la variole peut être délibérément utilisée par des terroristes comme une arme. Une grande partie de la population n’est pas immunisée et si la variole était libérée comme arme bioterroriste, le taux de mortalité pourrait être supérieur à 25 %.
Les deux vaccins sont dérivés de la souche de la vaccine du Conseil de santé de la ville de New York, mais le Dryvax a été cultivé sur la peau de veaux, puis essentiellement lyophilisé pour être stocké. Il a été homologué par la FDA en 1931 mais n’est plus fabriqué. L’ACAM2000, un vaccin antivariolique de « deuxième génération », est dérivé d’un clone de Dryvax, purifié et produit à l’aide d’une technologie moderne de culture cellulaire.
Le fabricant a déclaré que le vaccin ne sera pas disponible dans le commerce, ce qui signifie qu’il ne pourra pas être obtenu auprès d’un médecin. Il a été acheté par le gouvernement fédéral pour être inclus dans le stock national stratégique du pays, afin d’être distribué par le ministère de la Santé et des Services sociaux, au cas où il serait nécessaire.
Actuellement, le personnel militaire américain désigné reçoit le vaccin. »
Une étude publiée le 15 septembre 2021 montre les taux de myopéricardite, d’événements indésirables cardiovasculaires et neurologiques chez les militaires étatsuniens [emphase de l’auteur – NdT].
Note du traducteur : Est-ce à dire que ce « vaccin » de deuxième génération serait un « vaccin » à ARNm ? Rappelons que les militaires (notamment étatsuniens) sont des cobayes non consentants depuis le début des premières campagnes de vaccination au début du siècle dernier. Voir Le psychopathe Rockefeller est-il à l’origine de la pandémie de « grippe espagnole » de 1918 ?.
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— 1er juillet 2014 —
Six flacons de variole retrouvés dans une boîte en carton dans une chambre froide du NIH [Instituts de Santé des États-Unis – NdT]
Au total, 327 fioles ont été trouvées, dont 6 étaient des fioles de variole. Selon un rapport de 2016 de la FDA, voici ce qui est arrivé à ces flacons :
« Dès leur découverte, les 327 flacons ont été transférés au Responsable officiel du Programme des agents [infectieux – NdT] sélectionnés par le NIH. Le Responsable officiel a mis en sécurité les matériaux dans un laboratoire d’agents [infectieux – NdT] sélectionnés qui est enregistré auprès du CDC sur le campus du NIH à Bethesda, dans le Maryland.
Le responsable du NIH a ensuite immédiatement informé de cette découverte le FBI et la Division des agents sélectionnés et des toxines (DSAT) du CDC. Les six flacons étiquetés Variola (quatre flacons étiquetés Variola et deux flacons étiquetés Alastrim, Variola minor), un flacon étiqueté RSSE (Russian spring-summer encephalitis virus [« Virus printanier-estival de l’encéphalite russe » – NdT) et neuf autres flacons qui n’ont pas pu être identifiés de manière formelle par leurs étiquettes, ont été transférés au CDC le 7 juillet 2014, pour évaluation.
Ces flacons ont ensuite été détruits au CDC, sous l’observation de fonctionnaires de l’OMS, le 24 février 2015. Sur les 311 flacons restants, 32 ont été détruits sur le campus du NIH le 9 juillet 2014. Les 279 flacons restants ont été transférés au Centre national d’analyse et de contre-mesures en matière de biodéfense et finalement détruits (163 flacons) ou conservés pour la recherche (116 flacons) (voir le tableau 1 pour une description du sort réservé aux 327 flacons). »
Note du traducteur : Un « Responsable officiel » (RO en anglais) est la personne désignée par l’entité enregistrée avec l’autorité et la responsabilité d’agir au nom de l’entité pour assurer la conformité, ici en l’occurrence, avec la réglementation sur les agents infectieux sélectionnés.
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— Novembre 2014 —
Bill Gates, Chimerix, Wellcome Trust, l’université d’Oxford et la FDA — Le futur traitement contre la variole
En 2014, Bill Gates a financé le médicament Brincidofovir de la société Chimerix, basée à Durham [en Caroline du Nord – NdT], pour prétendument traiter Ebola. L’essai a été financé par le Wellcome Trust et dirigé par l’université d’Oxford, et la FDA a autorisé l’étude. Le Brincidofovir a ensuite été commercialisé sous le nom de Tembexa, en tant que premier médicament antiviral utilisé pour traiter la variole, approuvé par la FDA en juin 2021 (voir ci-dessous).
Note du traducteur : Voir les huit articles qui mentionnent le Wellcome Trust et détaillent son implication plus qu’évidente dans les événements qui ont cours depuis 20 mois avec la soi-disant « pandémie de Covid-19 ».
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— 6 octobre 2017 —
Emergent BioSolutions finalise l’acquisition de la division du vaccin antivariolique ACAM2000 de Sanofi Pasteur
Emergent BioSolutions restera dans l’histoire pour la dévastation causée par son vaccin BioThrax utilisé dans le cadre du programme obligatoire de vaccination contre l’anthrax pour le personnel militaire, lorsque 300 000 soldats ont subi des lésions ; cette dévastation constitue la plus grande dissimulation orchestrée jusqu’à l’ère du Covid. C’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles tant de personnes hésitent à se faire injecter des produits géniques nommés « vaccins anti-Covid-19 », car Emergent BioSolutions a également participé à ces produits soi-disant « vaccinaux ».
Emergent BioSolutions a ensuite aidé Astrazeneca et Johnson & Johnson à produire leurs soi-disant « vaccins anti-Covid-19 ». Ils ont contaminé 15 millions de doses des produits géniques anti-Covid-19 de Johnson & Johnson, ce qui a entraîné la fin du contrat de fabrication signé entre Johnson & Johnson et l’administration Biden, mais Emergent BioSolutions a continué à produire les vaccins dans le cadre d’un contrat distinct avec Johnson & Johnson.
Note du traducteur : Notons ce qui suit, tiré de l’article de NBC Chicago à propos de cette contamination :
« L’accord entre Emergent et le Département de la Santé a débuté sous l’administration Obama en 2012, et visait à préparer la production de masse d’un vaccin pour lutter contre un futur nouveau virus. La société a ensuite joué un rôle dans le plan de développement et de distribution de vaccins sous l’administration Trump dans le cadre de l’opération Warp Speed. Mais après avoir remporté un contrat auprès de l’administration précédente, Emergent a rapidement rencontré des problèmes de production. »
Comme Moderna ?
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— 13 juillet 2018 —
La FDA approuve le TPOXX (Tecovirimat) de SIGA Technologies, le premier médicament ayant une indication pour le traitement de la variole
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— 10 septembre 2018 —
SIGA Technologies signe un contrat pluriannuel TPOXX avec la BARDA pour un montant maximal de 629 millions de dollars
Le contrat entre SIGA et la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), porte sur la livraison pour le stock stratégique national de formulations orales et intraveineuses de TPOXX. La période de base du contrat est de cinq ans, avec une option supplémentaire de dix années, afin de maintenir un stock de 1,7 million de traitements antiviraux contre la variole.
Note du traducteur : La même BARDA que l’on retrouve dans les articles de Whitney Webb cité dans la Note précédente.
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— 3 septembre 2019 —
Emergent BioSolutions obtient un contrat de 10 ans avec le département de la Santé des États-Unis
Évalué à environ 2 milliards de dollars, il implique que l’entreprise doit livrer le vaccin antivariolique ACAM2000 pour le stock stratégique national. Comme pour la plupart des grandes entreprises pharmaceutiques, les deux principaux actionnaires d’Emergent BioSolutions sont Vanguard et BlackRock. Corey’s Digs a écrit un article sur BlackRock et sa prise de contrôle financière ainsi que sur son PDG Larry Fink.
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— 16 septembre 2019 —
Explosion dans le laboratoire russe qui est l’un des deux seuls au monde connus pour stocker des échantillons vivants du virus de la variole
Selon l’Organisation mondiale de la santé, l’explosion ne s’est pas produite près des stocks de variole ou d’autres virus, mais elle a suscité des inquiétudes quant à la conservation du virus de la variole.
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— 24 septembre 2019 —
La FDA approuve le Jynneos de Bavarian Nordic — le premier vaccin vivant non réplicatif pour prévenir la variole et la variole du singe
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— 15 novembre 2019 —
La FDA publie des directives finales pour le développement de traitements contre la variole dans le cadre des efforts de préparation critique
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— 25 juin 2020 —
SIGA Technologies livre pour 32 millions de dollars supplémentaires de TPOXX oral au département de la Santé des États-Unis
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— 11 mars 2021 —
Merck obtient plus de 300 millions de dollars de l’administration Biden et de la Fondation Gates
Biden a annoncé un accord gouvernemental pour obtenir 100 millions de doses du [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 de Johnson & Johnson. La semaine précédente, Merck s’était associé à Johnson & Johnson pour aider à produire tous les [soi-disant – NdT] vaccins dans les deux usines de Merck en Caroline du Nord et en Pennsylvanie. Le gouvernement a donné 105,4 millions de dollars pour « convertir, moderniser et équiper les installations de Merck », pour un montant total de 268,8 millions de dollars, obtenus par le biais du Defense Production Act.
Le même mois, Merck a reçu plus de 45 millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates pour prétendument développer une pilule orale à prendre une fois par mois pour la prévention du VIH.
[Pour rappel – NdT] Les six flacons de variole ont été découverts dans les locaux de Merck à North Wales, en Pennsylvanie, le 16 novembre 2021.
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— 4 juin 2021 —
La FDA approuve le tout premier traitement antiviral de la variole, le Tembexa (Brincidofovir) de Chimerix
Le Tembexa a fait l’objet d’un examen prioritaire et d’une procédure accélérée pour faciliter sa mise en œuvre. La variole a été éradiquée en 1980 et les États-Unis n’ont pas connu d’épidémie depuis 1947, mais ils s’inquiètent de son utilisation comme « arme biologique ». Il s’agit de la même société et du même médicament que Bill Gates et le Wellcome Trust ont financé en 2014.
Voici le communiqué de presse de Chimerix et la l’analyse du Tembexa.
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— 29 juillet 2021 —
SIGA Technologies annonce une collaboration avec l’université d’Oxford pour étendre l’utilisation de TPOXX au traitement de la variole du singe en République centrafricaine
Cette collaboration vise à étendre le protocole d’accès au traitement des personnes atteintes de la variole du singe en République centrafricaine (RCA). L’université d’Oxford parrainera le protocole et l’étude en RCA et SIGNA fournira gratuitement 500 traitements par TPOXX.
SIGNA cherche également à faire inclure auprès de l’Agence européenne des médicaments le traitement de la variole du singe, de la variole de la vache et de la variole dans les indications de la notice en vue d’obtenir une approbation réglementaire, et prévoit cette approbation d’ici la fin de 2021 ou le début de 2022.
SIGA a également conclu un partenariat avec Meridian Medical Technologies, une filiale de Pfizer, pour la commercialisation internationale de TPOXX. Elle a conclu deux contrats distincts avec le gouvernement canadien pour la livraison de TPOXX d’une valeur maximale de 47 millions de dollars, et vise également l’Europe, le Japon, la Corée du Sud et l’Australie.
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— 31 octobre 2021 —
Joe Biden signe le décret 14051 intitulé « Mise en place de mécanismes pour exercer l’autorité sur le stock de la défense nationale »
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— 9 novembre 2021 —
Bill Gates met en garde les gouvernements contre une attaque terroriste à la variole, tout en demandant des dizaines de milliards pour la recherche et le développement
Le milliardaire demande au moins un milliard par an pour disposer d’un groupe de travail sur les pandémies, capable de se livrer à des « jeux de germes » [mise en place de scénario, comme l’« Event 201 » ou « Dark Winter » – NdT] pour élaborer des stratégies en cas d’attaques bioterroristes, comme celle de la variole dans les aéroports. Cette somme viendrait certainement s’ajouter à son portefeuille déjà bien garni de caisses occultes.
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— 12 novembre 2021 —
L’OSHA suspend les obligations des entreprises à imposer la vaccination et les tests Covid-19
La Cour d’appel des États-Unis a accepté une requête de la Cour d’appel des États-Unis de la cinquième circonscription visant à suspendre la norme temporaire d’urgence de l’OHSA sur la vaccination et les tests Covid-19. La cour a ordonné que l’OSHA « ne prenne aucune mesure pour mettre en œuvre ou appliquer la norme temporaire d’urgence jusqu’à une nouvelle décision de justice ».
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— 16 novembre 2021 —
15 flacons présumés de variole trouvés dans les installations de Merck en Pennsylvanie
Comme sur des roulettes, sept jours seulement après l’avertissement de Bill Gates et quatre jours seulement après l’arrêt des obligations vaccinales imposées par l’OSHA, 15 fioles de variole sont apparues comme par magie dans un congélateur de l’usine Merck d’Upper Gwenydd, à North Wales, en Pennsylvanie. Ont-ils été « découverts » par un employé du laboratoire, ont-ils été placés là, ou n’étaient-ils en fait pas vraiment là ?
Si l’on en croit cet article de CNN, qui contient une vidéo effrayante d’une minute et demie sur le caractère mortel de la variole, ainsi qu’un lien vers un « article connexe » annonçant l’approbation par la FDA du premier médicament pour traiter la variole, le timing de tout cela semble un peu trop coordonné.
Le fait que tous les médias relaient cette histoire signifie qu’ils tentent d’alimenter la peur. Ce n’est pas le genre d’histoire qu’ils laisseraient sortir, à moins qu’ils ne veuillent faire passer un message, comme des menaces, de l’intimidation, et la prochaine étape de leur stratégie visant à imposer à tous un passeport numérique [soi-disant – NdT] vaccinal.
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— 17 novembre 2021 —
Le deuxième cas de variole du singe cette année est découvert dans le Maryland aux États-Unis
Quelles sont les probabilités pour que cela se produise le lendemain de la découverte des fioles de variole ? Un habitant du Maryland, rentré récemment du Nigeria, aurait contracté la variole du singe, et quelques mois plus tôt, un habitant du Texas, lui aussi rentré du Nigeria, l’aurait également contractée. La variole du singe sévit principalement en Afrique centrale et occidentale, mais le CDC indique qu’il y a eu une épidémie aux États-Unis en 2003 qui a donné lieu à 47 cas confirmés et probables dans six États. Aucun décès n’a été constaté.
Donc la question subsiste…
Sont-ils en train de préparer le terrain pour une opération sous faux drapeau afin d’effrayer davantage la population pour qu’elle se soumette et ait [soi-disant – NdT] besoin de [soi-disant – NdT] vaccins et de passeports numériques [soi-disant – NdT] vaccinaux ? S’agira-t-il de camoufler d’éventuels décès futurs de personnes ayant subi des effets [dits indésirables – NdT] du [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 expérimental ? Ont-ils vraiment l’intention de libérer la variole dans la population ? Il s’agirait certainement d’un moyen d’inciter les gens à faire la queue pour le [soi-disant – NdT] « vaccin » [anti-variole – NdT], tout en y incorporant éventuellement le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. S’ils devaient réaliser une opération de ce type, il s’agirait probablement d’une zone isolée [dans un premier temps ? – NdT], ciblant un petit groupe de personnes — juste assez pour effrayer le reste du pays et installer de nouvelles obligations — un peu comme ce qui a été fait avec l’« épidémie » de rougeole en 2018-2019, dont Merck était, par coïncidence [là aussi – NdT], le fournisseur exclusif du vaccin ROR [« épidémie » probablement due à ces mêmes vaccins – NdT]. Certains diront qu’ils veulent une dépopulation massive, et bien que cela puisse être le cas, l’histoire a montré qu’ils ont tendance à s’y atteler de manière parcellaire, tout en capitalisant sur les dégâts.
Tout le monde s’accorde à dire qu’ils préparent certainement quelque chose. La chronologie ci-dessus indique une planification, des tactiques de peur, un contrôle narratif, l’émergence de caisses occultes, des partenariats et des transactions financières, et un résultat souhaité qui se présentera probablement dans un avenir proche. Afin de construire leur système d’asservissement humain, ils poursuivront leurs manœuvres d’intimidation — ne vous laissez pas intimider, soyez simplement conscient de la situation.
Le fait que des citoyens étatsuniens financent une infrastructure d’armes biologiques avec l’argent de nos impôts — un système rongé par la corruption, qui n’a que peu de valeur pour la vie humaine et qui s’est avéré totalement indigne de confiance et non scientifique — devrait inciter chacun à réfléchir à la manière de mettre fin aux dépenses illégales et criminelles effectuées avec l’argent de nos impôts.
Cet article a été sponsorisé par The Solari Report [c’est-à-dire Catherine Austin-Fitts – NdT].
Source de l’article initialement publié en anglais le 18 novembre 2021 : Corey’s Digs
Traduction et emphases (sauf indication contraire) : Sott.net
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)
