Les NoFakeMed et autres charlots morticoles vous ont menti
Ce qu’il y a d’extraordinaire dans cet article c’est le fait que les autorités déclarent cette maladie grave comme effet indésirable de la vaccination tout en continuant à vacciner. Ceci démontre également que la précipitation dans la fabrication et la commercialisation des vaccins a été une erreur lourde. Bien entendu, cela suggère également des études frauduleuses et falsifiées car les effets indésirables auraient dû apparaître dès le départ de l’essai clinique. C’est exactement le même cas concernant les myocardites et les péricardites qui n’auraient jamais pu échapper à l’essai clinique d’autant qu’il s’agissait d’une cohorte de 44 000 personnes vaccinées. Il y a obligatoirement eu fraude qui a consisté à camoufler les effets indésirables afin d’accélérer la commercialisation.
Quant aux charlatans des plateaux télé et autres influenceurs des réseaux sociaux, ces charlots affirmaient il y a à peine 3 mois qu’il n’existait pas d’effet indésirable vaccinal qui puisse apparaître 2 mois après l’injection. En réalité, il suffit de quelques secondes de recherche sur Internet pour découvrir que la narcolepsie cataplexie due à la vaccination contre la grippe A H1N1 de 2009 pour se retrouver sur le site de la Société de pneumologie de langue française pour y lire ce qui suit : « Une méta–analyse en cours de publication montre que le risque relatif d’être narcoleptique dans l’année suivant la vaccination par Pandemrix est de 14,32 (intervalle de confiance à 95 % : 8,92-22,99) chez l’enfant/ adolescent et de 7,01 (3,40-14,46) chez l’adulte. » ! D’ailleurs l’Agence du médicament (ANSM) affirme que les premiers symptômes de la maladie apparaissent « en moyenne moins de cinq mois après la vaccination. Toutefois, des délais pouvant aller jusqu’à deux ans ont été observés parmi les cas rapportés. » ! Concernant le vaccin contre la dengue de Sanofi dont les dégâts catastrophiques sont connus aux Philippines, l’effet indésirable apparaît lorsque l’enfant rencontre le virus ; ceci peut prendre un certain temps comme vous pouvez le deviner.
Lorsque le Pr Mathieu Molimard affirme partout qu’ « Il n’y a aucun exemple de vaccin qui a induit des effets indésirables à long terme qui ne s’étaient pas manifestés dans les 2 mois après la vaccination », il ment et il le sait. Idem pour Nathan Peiffer-Smadja qui reprend bêtement les mensonges du précédent sans aucune vérification. Qui se ressemble s’assemble. Il est extrêmement inquiétant de constater que des professeurs de médecine ainsi que des médecins puissent se tromper autant sur absolument tout ce qui concerne le Covid-19. C’est absolument spectaculaire de rater à ce point systématiquement toutes les cibles ! Ces gens font un mal fou au corps médical, ils le discréditent comme personne ne pourra le faire.
RECHERCHE – L’Agence européenne des médicaments répertorie depuis jeudi une maladie rare de la colonne vertébrale comme effet secondaire du vaccin Janssen. Comment se fait-il que des effets secondaires soient encore découverts, un an après l’arrivée sur le marché de ce produit ?
Le régulateur de l’Union Européenne, l’Agence européenne des médicaments (EMA), répertorie depuis le jeudi 11 novembre une maladie rare de la colonne vertébrale comme effet secondaire d’une injection de Johnson & Johnson. Ce type rare d’inflammation, appelée myélite transverse, se manifeste par une atteinte neurologique rare causée par une inflammation de la moelle épinière. Les symptômes, qui comptent engourdissements, perte de force complète ou partielle des membres, ou encore des difficultés de contrôle des intestins ou de la vessie, s’installent en quelques heures ou quelques jours.
« Dans l’histoire des vaccins, les effets secondaires sont toujours apparus dans les deux mois suivant l’administration », affirmait pourtant en juillet Paul Offit, directeur du centre d’éducation aux vaccins de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie. « Il n’y a aucun exemple de vaccin qui a induit des effets indésirables à long terme qui ne s’étaient pas manifestés dans les 2 mois après la vaccination », soutenait également en juillet sur Twitter le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie médicale au CHU de Bordeaux. Comment est-il possible, alors, que des effets secondaires soient encore répertoriés dix mois après les premières injections ?
Si la myélite transverse a été répertoriée jeudi, elle n’a pour autant pas été sortie du chapeau. Cette inscription comme effet secondaire d’une injection de Johnson & Johnson avait déjà été au cœur des arrêts d’essai dans les premiers stades de développement des vaccins d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson, qui sont basées sur une technologie similaire. Johnson & Johnson avait annoncé le 12 octobre suspendre les essais cliniques de son vaccin après que l’un des participants du test a contacté « une maladie non expliquée ». Début septembre, les essais cliniques menés par AstraZeneca et l’université d’Oxford avaient, eux aussi, été mis en pause pour la même raison avant de reprendre la semaine suivante.
Cet effet secondaire est donc connu depuis plusieurs mois et de nombreuses études portant sur divers cas à travers le monde ont été publiées depuis. C’est au regard de ces cas cliniques que l’EMA a décidé d’inscrire, jeudi, la myélite transverse comme effet secondaire au vaccin développé par le laboratoire américain Johnson & Johnson…
source:https://www.lelibrepenseur.org/
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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