par
Ce qui est vrai aux USA l’est-il en France ?
Là-bas comme ici, l’immunité naturelle acquise suite à une infection est regardée comme peu fiable – lorsqu’elle n’est pas simplement ignorée -, ce qui sert de justification à la perte de droits de milliers de salariés. Là-bas comme ici, l’obligation vaccinale qui concerne certains métiers ou certains personnels s’applique aussi bien aux personnes guéries du Covid-19 qu’aux autres. En France, les soignants non vaccinés, par exemple, sont suspendus et privés de revenus mêmes s’ils ont eu dans le passé une infection au Covid-19 et en ont guéri.
Or, le cabinet de l’avocat états-unien Aaron Siri a récemment fait jouer le FOIA (« Freedom of Information Act », loi sur la transparence des documents administratifs) pour demander aux CDC (« Centers for Disease Controls », à peu près l’équivalent du Ministère de la Santé) de lui fournir tout document existant faisant état de cas observés où « une personne préalablement infectée par le SARS-CoV-2, puis guérie, puis réinfectée, aurait contaminé quelqu’un d’autre ».
La réponse – qu’en vertu du FOIA les CDC étaient obligés de donner à l’avocat – est saisissante : « Une recherche dans nos données n’a permis de trouver aucun document correspondant à votre demande ».
Ainsi, aucune situation de ce type n’a été documentée : pas une seule fois depuis le début de la « pandémie », la puissante administration chargée de surveiller et d’étudier les questions de santé aux USA n’a observé qu’une personne guérie du Covid-19 avait par la suite contaminé quelqu’un d’autre.
Il n’existe donc aucune preuve aux États-Unis qu’une personne guérie du Covid puisse être réinfectée et transmettre le virus à autrui. Cette hypothèse, brandie comme argument par les autorités états-uniennes pour exiger la vaccination des personnes guéries, est donc, jusqu’ici, purement artificielle.
Peut-on en déduire que l’infection par le Covid-19 procure une immunité extrêmement solide ? Dans la mesure où les CDC justifient sans honte l’absence de document par le fait que « ce type d’informations n’est pas collecté », on laissera les chercheurs traiter cette question.
Peut-on en déduire qu’une part d’arbitraire préside à des décisions destructrices pour les droits des personnes ? Et que l’on ne prend pas la peine de chercher une justification scientifique avant d’imposer des mesures coercitives et des sanctions sévères ? Aux USA, cela semble désormais certain. Et en France ?
source : https://www.covid-factuel.fr
Adblock test (Why?)
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International