SOTT FOCUS: Un bref historique des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles américaines

SOTT FOCUS: Un bref historique des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles américaines

« Le CDC n’est pas une agence indépendante. C’est une entreprise d’exploitations de vaccins. Le CDC détient plus de vingt brevets de vaccins. Il vend environ 4,6 milliards de dollars de vaccins chaque année. »

Robert F. Kennedy Jr.

bio warfare

Préambule

La guerre biologique, ou « guerre des germes », est « l’utilisation de toxines biologiques ou d’agents infectieux (bactéries, virus et champignons) dans l’intention de tuer ou de neutraliser des humains ». Historiquement, l’implication des États-Unis dans les armes bactériennes a été motivée par la concurrence et la paranoïa.

En 1918, vers la fin de la Première Guerre mondiale, le gouvernement a brièvement expérimenté sur la ricine – une protéine végétale naturelle mortelle – et le Chemical Warfare Service (CWS) a été formé pour superviser la recherche et le développement. Avec la signature du Protocole de Genève en 1925 (qui interdisait l’utilisation d’armes biologiques et chimiques dans les guerres internationales), l’intérêt du gouvernement américain s’est affaibli : jusqu’aux années 1940, les armes biologiques étaient largement considérées comme impraticables.

Peu de temps après Pearl Harbor, les États-Unis ont changé d’avis.

En 1942, le président Roosevelt a mis en œuvre le premier programme de guerre biologique ; soutenue par la National Academy of Sciences, l’initiative visait à développer des armes biologiques et à explorer la vulnérabilité des États-Unis à de telles attaques. Un organisme gouvernemental – le War Research Service (WRS) – a été créé pour superviser ces activités, et George W Merck (de la Merck Pharmaceutical Company) a été nommé à la direction. À la demande de son équipe, Fort Detrick, le « quartier général » de guerre biologique des États-Unis, a été construit dans la petite ville de Frederick, dans le Maryland.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement avait amassé un arsenal massif d’armes biologiques (utilisant l’anthrax et d’autres bactéries diverses) – le tout dans le « plus strict secret ». Bientôt, la justification de la poursuite de la recherche s’est déplacée vers le « besoin de défense nationale ».

Sous le commandement du professeur et bactériologiste de l’Université du Wisconsin, Ira Baldwin, un comité sur la guerre biologique a été créé en 1948. Lorsqu’un rapport ultérieur a déterminé que les États-Unis étaient « particulièrement sensibles » aux attaques, une série de « tests en plein air » a été ordonnée. . Le but de ces efforts ? Simuler les effets d’une attaque de guerre biologique réaliste.

Pour en savoir plus sur d’autres tests de guerre biologique aux États-Unis, reportez-vous au livre bien documenté de Leonard J. Cole, Clouds of Secrecy.

H. Genséric

L’opération Warp Speed ​​qui est entrée en vigueur au début de 2020, après que le COVID-19 a été officiellement reconnu comme une pandémie par l’OMS, était essentiellement une opération d’exercice de guerre biologique militariste pour fabriquer des vaccins très rapidement et pour faire appel au DOD (Department of Defense – NdE) pour la distribution des vaccins dans les hôpitaux et les cliniques de santé si besoin était. Avec le recul, il s’agit d’une entreprise d’envergure qui a été pilotée par des entités telles que la DARPA, la Fondation Bill et Melinda Gates et son associée GAVI, le CDC, les NIH (National Institutes of Health – NdE) et leur porte-parole de Big Pharma pour le National Institute of Allergies and Infectious Diseases (NIAID) – le Dr Anthony Fauci – comme moyen non seulement de verrouiller l’ensemble de l’économie mondiale en vue d’un plan élaboré par le Forum économique mondial (WEF) pour une réinitialisation mondiale, mais aussi d’amener des milliards de personnes dans le monde à se faire injecter des vaccins expérimentaux très dangereux.

Même si leur article affiche un parti-pris pro-vaccination, Bloomberg a révélé de quelle manière six grandes sociétés pharmaceutiques incroyablement rentables qui avaient reçu de l’argent du gouvernement pour développer des vaccins contre le SRAS-CoV-2 ont profité de contrats attribués de manière opaque dans le cadre de l’Operation Warp Speed (OWS) :

Au cours des six semaines suivantes, l’OWS a passé des contrats d’une valeur de plus de 8 milliards de dollars pour soutenir cinq vaccins supplémentaires – ceux de Johnson & Johnson, Moderna, Novavax, Pfizer, et Sanofi conjointement avec Glaxo. Au cours de l’été, le gouvernement a publié à contrecœur certains de ces contrats – fortement expurgés – en réponse à des demandes formulées en vertu de la loi sur le droit à l’information. M. Slaoui estime que cette agitation est inutile : « Ce sont des contrats ordinaires. Ils n’ont rien de spécial, si ce n’est la quantité d’argent, qui correspond au coût du développement des vaccins. » À la mi-octobre, le groupe de défense Public Citizen a intenté une action en justice pour exiger la publication des contrats relatifs aux vaccins contre le coronavirus. Fin octobre, le HHS a rendu public un contrat Moderna, fortement expurgé.

Les accords OWS ont conduit à d’énormes gains pour de nombreux dirigeants de l’industrie pharmaceutique. Les dirigeants de Moderna ont réalisé un bénéfice de 115,5 millions de dollars en vendant des actions de leur entreprise du 15 mai au 31 août, selon Accountable Pharma, un groupe de surveillance non partisan. Un porte-parole de Moderna a déclaré que les ventes d’actions avaient été effectuées dans le cadre de programmes planifiés au préalable et conformément à la réglementation sur les délits d’initiés. Les dirigeants d’Emergent ont récolté 5 millions de dollars en vendant des actions au cours de la même période, et en septembre, le président exécutif de la société, Fuad El-Hibri, a vendu 80.000 actions supplémentaires pour un bénéfice net de 8,1 millions de dollars. Emergent a déclaré dans un communiqué que les dirigeants vendaient régulièrement des actions, conformément à toutes les lois régissant les transactions financières. Les actions d’Emergent ont grimpé de 78% cette année jusqu’au 23 octobre.

« C’est un business parfait », déclare Eli Zupnick, porte-parole d’Accountable Pharma, des sociétés OWS. « Leurs inconvénients sont couverts par les contribuables et leurs avantages sont déjà dans leurs poches. »

Maintenant que des millions d’Américains et des millions d’autres dans le monde ont reçu ces « vaccins » de thérapie génique de Pfizer-BioNTech, Moderna, Astro-Zeneca et Johnson & Johnson, nous avons déjà vu plus d’effets indésirables et de décès au cours de l’année où ils ont été administrés que nous n’en avons vus avec la totalité des 70 vaccins combinés ces 10 dernières années, selon les propres chiffres VAERS du CDC.[2]

Et étant donné qu’il est extrêmement fastidieux de remplir tous les documents nécessaires pour signaler ces effets indésirables et le fait qu’ils ne sont presque jamais signalés après 48 heures, ajouté au biais inhérent au système allopathique en ce qui concerne les vaccins, vous pouvez être sûr que le nombre d’effets indésirables graves et de décès est bien plus élevé que ce qui est signalé (dix fois plus au moins, mais la réalité est probablement plus proche de 100 [3] ). Cependant, aussi fou que cela puisse paraître, il ne faut pas oublier que le gouvernement américain a une longue et tortueuse histoire d’expériences biologiques sur ses propres citoyens avec divers agents dont des agents pathogènes, généralement sans en informer les citoyens au préalable. Ce qui suit est une brève chronologie, loin d’être exhaustive, d’une poignée de ces expériences biologiques que nous connaissons et qui ont été documentées (voir les hyperliens indiqués).

– 1763 : Dans l’un des premiers cas enregistrés de guerre biologique sur le sol américain, le capitaine Ecuyer a rencontré deux chefs indiens sous prétexte d’amitié. Il leur a ensuite donné des couvertures récupérées dans un hôpital où les patients étaient infectés par la variole. Au cours des mois qui ont suivi, la variole a décimé les tribus indiennes de la région de l’Ohio.

– 1918 : La pandémie de grippe, également connue sous le nom de « grippe espagnole », a été une énorme tragédie aux proportions épiques, tuant quelque 50 millions de personnes dans le monde. Elle aurait été « lâchée » sur le monde comme une pandémie de pneumonie bactérienne induite par un vaccin, plutôt que comme une pandémie naturelle, par l’Institut Rockefeller qui aurait injecté à des soldats-cobayes de la Première Guerre mondiale des vaccins contre la méningite bactérienne dérivés d’un sérum de cheval.[4]

Cette pandémie a été aggravée par les conditions de vie des soldats entassés dans les tranchées, et par le fait qu’à cette époque le système immunitaire des gens était gravement compromis par les fréquences radio des rayonnements électromagnétiques, comme le documente l’excellent livre The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life (L’arc-en-ciel invisible : une histoire de l’électricité et de la vie) d’Arthur Firstenberg.

– 1942 : L’armée impériale japonaise a établi un camp de recherche en Nouvelle-Guinée pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout comme ils l’avaient fait auparavant dans le tristement célèbre Camp 731 en Mandchourie, les soldats-scientifiques japonais ont mené des expériences sur la tribu indienne Fore. La tribu a reçu une injection de cerveau haché de moutons malades contenant des prions du virus Visna, qui a causé la maladie de Creutzfelt-Jacob, l’équivalent humain de la maladie de la « vache folle ». Au bout de cinq ou six ans, les membres de la tribu Fore ont développé ce qu’ils appelaient le «kuru», dépérissant littéralement alors que leurs cerveaux se transformaient en bouillie. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Dr Ishii Shiro (le médecin généraliste en charge du développement, des tests et du déploiement de la guerre biologique au Japon) a été capturé par les États-Unis. On lui a donné le « choix » : soit être mis à mort en tant que criminel de guerre, soit venir travailler pour l’armée américaine. Sans surprise, il a choisi la deuxième solution, et dans les années qui ont suivi, il a aidé les spécialistes américains de la « guerre bactériologique » à développer leur propre agent militaire de la maladie à prion kuru / MCJ/ESB (maladie de CJ/Encéphalopathie spongiforme bovine).

unit 731

1946 : le Dr George Merck, alors qu’il était encore directeur de la recherche américaine sur la guerre biologique, admet que les États-Unis ont appris à cristalliser les toxines bactériennes. Notez que c’est le même Merck de Merck Pharmaceuticals qui allait développer de nombreux vaccins comme celui contre la polio, qui était contaminé par le SV40 (Simian Virus 40), un cancérogène humain reconnu.

– 1949-1969 : L’armée américaine pulvérise sur au moins 239 zones peuplées des agents de guerre biologique et de soi-disant « simulants biologiques » qui incluent, entre autres, de l’Aspergillus fumigatus (un champignon connu pour causer la mort), du sulfure de zinc et de cadmium, du Bacillus subtilis (une bactérie qui partage des caractéristiques avec l’Anthrax) et la bactérie Serratia Marcescens (qui est connue pour causer la méningite).[5]

– 1955 : La CIA pulvérise de grandes quantités d’Haemophilus Pertussis (bactérie de la coqueluche) lors d’« essais sur le terrain » le long de la côte du golfe de Floride. Les dossiers médicaux de cette époque montrent que l’incidence de la coqueluche a triplé par rapport à l’année précédente. (Voir aussi le livre Clouds of Secrecy.: The Army’s Germ Warfare Tests Over Populated Areas de Leonard Cole)

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– 1957 : L’une des premières épidémies de syndrome de fatigue chronique à Punta Gorda, en Floride, est déclenchée par des moustiques infectés par la bactérie Brucella, sous la houlette du Dr Guilford B. Reed de l’Université Queen’s au Canada. Les moustiques ont été élevés à Belleville, en Ontario, et relâchés à Punta Gorda, où au moins 450 personnes ont contracté la maladie pour la première fois.

– 1962 : agissant sur une directive émise en janvier 1961, l’administration Kennedy a autorisé le DOD à lancer le projet 112 ainsi que son projet dérivé SHAD (Shipboard Hazard and Defense ; Risque et défense à bord des navires) qui a expérimenté, sur les soldats et les citoyens américains, des armes chimiques et bactériologiques appelées « stimulants » (euphémisme). Au moins 13 navires de la marine américaine ont été exposés dans le cadre du seul projet SHAD à des attaques chimiques et biologiques simulées, ce qui a été nié jusqu’en mai 2000, lorsque CBS News a finalement révélé l’histoire publiquement.

– 1969 : le président Richard Nixon met théoriquement fin aux recherches et aux tests sur la guerre bactériologique menés sur les citoyens américains, avec l’adoption d’un décret. Cependant, les preuves qui suivent démontreront clairement que les tests et les expérimentations se sont poursuivis.

– 1969 : le Dr Donald MacArthur, lors d’une réunion secrète à huis clos avec un sous-comité du Congrès portant sur l’approbation budgétaire du budget noir du Pentagone pour l’année 1970, a déclaré : « Il est possible qu’avec un financement approprié, nous puissions développer dans les 5 à 10 ans un virus synthétique pour lequel il n’y a pas d’immunité naturelle connue. C’est précisément ce qui deviendrait le virus du sida, créé à partir d’une bactérie Brucella mutée avec un virus visna et la toxine éliminée sous forme de particule d’ADN appelée mycoplasme.

– 1971 : Le Service de santé publique des États-Unis publie un rapport détaillant ce qu’on appelle le « Special Virus Cancer Program» créé par la CIA et le NIH pour développer un agent pathogène mortel pour lequel l’humanité n’a pas d’immunité naturelle (c’est-à-dire le syndrome d’immunodéficience acquise, le SIDA), qui était déguisé en guerre contre le cancer mais faisait en réalité partie du projet MKNAOMI. (Par exemple, voir : « The Special Virus Cancer Program : Progress Report No. 8 » ainsi que le livre Dr. Mary’s Monkey d’Edward T. Haslam)

– 1974 : Le National Security Study Memorandum 200, surnommé « The Kissinger Report », indique que pour réduire la croissance démographique :

 » Un certain nombre d’actions majeures dans le domaine de la création des conditions d’une baisse de la fécondité peuvent être financées à partir des ressources disponibles pour les secteurs en question (par exemple, l’éducation, l’agriculture). D’autres actions, dont les services de planification familiale, les activités de recherche et d’expérimentation sur les facteurs affectant la fécondité, relèvent du fonds [des Nations unies – NdE] pour la population…  »

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– 1974-1979 : Le vaccin contre la variole est administré en Afrique centrale et le vaccin contre l’hépatite B est administré à la population homosexuelle de New York et de San Francisco, et l’on assiste aux premiers cas de sida qui explosent à plein régime dans les années 1980.

– 1991 : le brevet américain n° 5 242 820 montre que Shyh-Ching Lo est « l’inventeur » du mycoplasme pathogène, qui peut provoquer des « maladies pseudo-grippales » et d’autres maladies débilitantes et mortelles, comme je l’ai déjà dit.

– 1994 : Le rapport Riegle détaille comment les États-Unis ont envoyé des armes biologiques et chimiques aux agences irakiennes tout au long des années 1980. Ces agents biologiques et chimiques comprenaient l’anthrax, le virus du Nil occidental, les gaz neurotoxiques, etc. (Voir « US Was Key Supplier to Saddam » Seattle Post Intelligencer, Sept. 24, 2002)

– 1997 : US Public Law 95-79, Title 50, Chapter 32, Section 1520 est finalement modifié. Avant sa modification, on pouvait lire : « L’utilisation de sujets humains sera autorisée pour les tests d’agents chimiques et biologiques par le département américain de la Défense. »

– 1999 : Une infection par le virus du Nil occidental sans commune mesure avec l’épidémie d’origine naturelle s’est déclarée à New York. Près de la moitié des corbeaux et de nombreuses autres espèces d’oiseaux sont morts, et l’épidémie s’est prétendument propagée aux humains via les moustiques. Au 8 octobre 2002, le CDC avait signalé un total cumulé de 2 768 infections au VNO, avec 146 décès enregistrés. Ce n’est qu’au milieu des années 90 que le VNO a commencé à causer un grand nombre de décès d’oiseaux, et la souche virale la plus proche du virus NY99 était celle qui circulerait en Israël de 1997 à 2000. À l’époque, l‘une des personnalités clés à la tête du Bureau de la gestion des urgences était l’ancien homme de Kroll Associates lié au renseignement sur le 11 septembre, Jerome Hauer. Après avoir dirigé pendant quelques années des opérations de pulvérisations massives et sans doute très dangereuses de pesticides qui semblaient viser non seulement les moustiques mais aussi les humains, il a tenté d’imposer d’autres expériences biologiques, comme le vaccin contre la variole, sous la « Emergency Health Powers Act », jusqu’à ce que la California Association of Nurses exprime son refus et qu’ils soient obligés de reculer. Il est ensuite devenu vice-président de SAIC, l’un des poids lourds de l’État profond du complexe militaro-industriel. Quelques bons candidats pour la source de la souche génétiquement manipulée du VNO sont les principaux laboratoires américains de développement biologique et viral de Ft. Detrick [5] et Plum Island, cette dernière étant située de manière suspecte près de Long Island. Rétrospectivement, il semble probable que le VNO ait été délibérément déployé pour au moins deux raisons principales : 1) Comme fonction d’un « exercice de préparation au bioterrorisme » utilisant un virus vivant au lieu d’un « stimulant », et 2) Pour créer « un marché de plusieurs millions de dollars » pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE) OraVax, ainsi que d’autres médicaments majeurs développés par la suite, comme la Cipro de Bayer utilisé pour l’anthrax. Fait intéressant, George W. Bush et les membres de son cabinet prenaient déjà de la Cipro avant que les lettres suspectes contenant de l’anthrax ne soient envoyées à NBC et à des opposants politiques clés comme le chef de la majorité au Sénat, Tom Daschle. (Voir le livre Death in the Air du Dr Leonard G. Horowitz)

death air

– 2014 : Début décembre 2014, le Centre de surveillance épidémiologique (CVE) du ministère brésilien de la Santé a annoncé la vaccination obligatoire des femmes enceintes entre la 27e et la 36e semaine de grossesse avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTaP). En mai 2015, un grand nombre de bébés naissaient avec une microcéphalie : tête rétrécie et malformée, et d’autres malformations congénitales sévères. La majorité des cas se sont produits dans la région nord-est de Pernambouc, au Brésil, où la plupart des vaccins DTaP ont été distribués. En décembre 2015, le gouvernement brésilien a déclaré une urgence nationale après la naissance de 2400 bébés atteints de microcéphalie. L’OMS a ensuite imputé l’épidémie de microcéphalie au virus Zika, découvert en Ouganda en 1947 et propagé par les moustiques. Cependant, il n’y a aucune preuve que le virus Zika provoque une microcéphalie, alors que c’est un effet possible des vaccins. Les vaccins utilisés en 2014 qui sont les principaux suspects de l’épidémie de bébés nés avec une tête mal formée en raison d’une microcéphalie étaient le Refortrix de GlaxoSmithKline (connu au Brésil sous le nom de Boostrix) et l’Adacel de Sanofi Pasteur produit en France.

En résumé, permettez-moi de citer Catherine O’Driscoll dans un article intitulé « Vaccines, Biowarfare, and Betrayal » (Vaccins, guerre biologique et trahison ) publié dans Nexus Magazine, Vol. 24, No. 3, May-June 2017 :

« Les agences gouvernementales, y compris les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, le National Cancer Institute (NCI), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le ministère de la Défense, le US Public Health Service ainsi que l’Institut Pasteur et le Centre international de recherche sur le cancer en France, Porton Down en Angleterre, l’Institut Ivanovsky en Russie et d’autres – des scientifiques du monde entier au sein des départements gouvernementaux et des sociétés pharmaceutiques – étaient (et sont toujours) en train de jouer avec les virus dans des laboratoires, épissant et mélangeant différents virus de différentes espèces et créant des super virus sous le couvert de la santé préventive, tout en délivrant de puissantes armes biologiques et en les partageant les uns avec les autres ! »

NOTES de H. Genséric

[1] Le 15 mai 2020, Moncef Slaoui est nommé par Donald Trump coordinateur de la stratégie vaccinale de son administration contre la Covid-19 (programme gouvernemental Operation « Warp Speed »). Cette mission s’achève avec l’arrivée de l’administration Bidenen janvier 2021

[2] Le gouvernement britannique publie la 32e mise à jour sur les effets indésirables des vaccins Covid-19

Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme

Maux de tête, fausse couche, surdité, cécité, accident vasculaire cérébral, décès – les réactions indésirables aux vaccins ARNm Covid-19

HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré

La vaccination dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans tuera 117 enfants pour sauver UN SEUL de la mort par COVID !

Vax tueurs. Il y a 6 fois plus de décès chez ceux qui sont entièrement vaccinés que chez les non vaccinés

Une effrayante vague de surmortalité en Europe, aux Etats Unis et ce n’est pas la covid….

Le sang contaminé nouveau est arrivé

Pandémie vaccinale. Pour 10 mille vaccinés, il y a 5400 effets secondaires et 7 morts



[3] Officiel. Les « vaccins » Covid-19 sont 100 fois plus mortels que TOUS les autres vaccins réunis

USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards

HOLOCAUSTE SECRET : Des millions de victimes du vaccin disparaissent-elles dans des fosses communes ?

Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts. Au contraire : les chiffres le démontrent



[4] Bis repetita. La « Grippe Espagnole » de 1918 était une pandémie mondiale provoquée par Rockefeller et l’armée américaine

Un nouveau développement historique qui a évolué depuis quelques années et qui est maintenant mis en évidence à cause du COVID-19, est la soi-disant «grippe espagnole» de 1918, il y a donc un siècle.

Des rapports et des documents récurrents émergent pour nous dire que cette «plus grande pandémie de L’histoire n’était [1] ni «espagnole», [2] ni «une grippe» et ni [3] un événement naturel mais le résultat du bricolage humain fait avec des vaccins.


Cela ne vous rappelle-t-il pas comment le virus fabriqué du COVID-19 s’est échappé des labos américains pour infecter le mode entier ??

[5] Les États-Unis ont fabriqué la bio-arme Covid et l’ont d’abord disséminée en Chine et en Iran. Ils ont contaminé le Monde

Implication israélienne dans la création du COVID-19 à l’Université de Caroline du Nord (censuré / supprimé)

La Chine exhorte l’OMS à enquêter sur le biolab militaire américain à la recherche des origines de Covid

USA. Le virus Covid-19 se serait échappé du laboratoire dès juillet 2019

Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine

France. Quand la CIA empoisonnait au LSD les habitants de Pont Saint Esprit (Gard)

Covid-19: une guerre bioterroriste voulue par Fauci, l’armée US, la CIA, les chinois, la France, et les pharmaceutiques!

Le projet pour un nouveau siècle américain et l’ère des armes biologiques : 20 ans de terreur psychologique

Le Covid-19 participe de la course aux armements biologiques, visant à fabriquer et répandre des agents pathogènes mortels!

Traduction et commentaires : La cause du peuple.

Corrections : Sott.net

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Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)

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