Sous couvert de protection de la faune et de la flore, ces poids lourds associatifs se posent de plus en plus en gestionnaires de patrimoine naturel, prompts à définir des politiques publiques lourdes de conséquences. Une partie de l’administration française de l’environnement n’y voit aucun inconvénient, au contraire. 480 000 km2, soit une surface équivalente […]
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