par Antonin Campana.
Quand un médecin pose un diagnostic, la première réaction du patient est souvent d’aller faire des recherches sur internet. Puisque nous sommes à une époque d’injections massives de produits expérimentaux, nous nous sommes donc demandé si le volume de recherches de certains mots dans Google reflétait les effets secondaires subis par les personnes injectées.
Pour faire ce petit travail, nous avons fait appel à Google Trends, un outil de Google Labs qui nous permet de connaître, sur une période donnée, la fréquence à laquelle un mot est saisi dans le moteur de recherche Google. Sur les tableaux qui suivent, les courbes évoluent entre 0 et 100, 100 représentant la quantité maximale de recherche du terme (ici pour la France), ou si l’on veut sa « popularité ». On ne visualisera donc pas ici un volume de recherche mais une évolution de « popularité » qui traduira les intérêts, les interrogations, voire les inquiétudes de la population.
Dans le tableau qui suit nous avons choisi comme terme de recherche « thrombose » :
La courbe est largement inhabituelle. On reconnaît une évolution atypique de la popularité du terme thrombose. De novembre 2016 à février-mars 2021, la popularité du mot ne varie pas. De mars 2021 à aujourd’hui la courbe atteint son maximum avant de retomber, sans atteindre son niveau des années précédentes. Il n’est pas possible de dissocier cette popularité exceptionnelle de la période de vaccination intensive [N.B. : la courbe des vaccinations en France grimpe à partir de la fin février (vaccination complète de 2.4% de la population au 01 mars) et jusqu’à la fin août (vaccination complète de 60.3% au 01 septembre). Depuis la fin août, elle forme un plateau faiblement ascendant (vaccination complète de 68.2% au 02 novembre). Le gros des vaccinations ont donc eu lieu entre mars et août. Durant cette période presque 46 millions de Français ont reçu au-moins une dose].
Mêmes observations pour le terme « péricardites » (agrandir l’image) :
Idem pour le terme « myocardite » :
Ou les termes associés « cardiaque vaccin » :
Ou encore les termes « problème vaccin » :
Voici pour les termes « effet secondaire vaccin » :
Ou même, les termes « signaler effet secondaire vaccin », termes qui n’expriment déjà plus une simple inquiétude ou angoisse suite à des effets secondaires inattendus, mais une volonté de « faire quelque chose » :
Nous voyons très clairement que l’intérêt pour certains termes relatifs aux effets secondaires des « vaccins » ne précède pas les injections, mais les suivent. Les gens commencent à s’interroger après avoir été piqués, notamment à partir du début mars 2021, quand commencent les injections massives. Globalement, la population a donc fait confiance au discours politique, médiatique et pseudo-scientifique et a rejoint les vaccinodromes les yeux fermés. Cela signifie que ces interrogations post-vaccinales manifestent une inquiétude relative à des effets néfastes réels, que les personnes constatent sur elles-mêmes ou sur leurs proches après avoir été injectés. Il est évident que sans les effets secondaires graves des « vaccins », la courbe des intérêts pour les termes « thromboses », « myocardites » ou « péricardites » serait sans doute restée aussi plate qu’en 2016-2017-2018-2019 et 2020. Plus grave probablement, la soudaine popularité des termes en question, assez techniques et peu médiatisés, montre qu’un diagnostic ou un avis médical a sans doute déjà été fourni par un professionnel de santé. Celui-ci a-t-il pris soin d’alimenter les données de pharmacovigilance ? Enfin, l’apparition, durant la même période, d’une volonté de signaler les effets secondaires des vaccins confirme que dans l’esprit des gens ces effets sont bien dus aux injections et non à quelque cause relevant du hasard.
Les courbes que nous présentons sont des indications (sommaires) que quelque chose de grave est en train de se passer. Elles valent ce qu’elles valent, mais nous semblent refléter à elles seules une tragédie qui ne fait sans doute que commencer.
source : http://www.autochtonisme.com
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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