Pr Doshi au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies »

Le scientifique a questionné les certitudes lors d’une table ronde, regrettant le manque d’esprit critique et de rigueur quant aux “vaccins géniques”.

Rédacteur au British Medical Journal (BMJ), Peter Doshi est l’un des seuls scientifiques à avoir critiqué les manquements graves des articles publiés dans le New England Journal of Medicine (NEJM) sur les vaccins géniques de Pfizer.

Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données.

Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.

Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.

  • Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.
  • Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.
  • Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici.

Au cours de cette table ronde au Sénat américain, intitulée Panel d’experts du sénateur Johnson sur l’obligation fédérale en matière de vaccins et les blessures causées par les vaccins, le Pr Doshi questionne quelques-unes des certitudes erronées de la « doxa » au sujet des injections géniques.

Selon lui, celles-ci ne devraient pas être appelées « vaccins ».

Nous retranscrivons ci-dessous l’intervention du Pr Doshi :
(traduit de l’américain par Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé et référent en santé publique pour Covidhub)

« Tout le monde sait que… »

« Merci, Sénateur, de nous accueillir tous. Bonjour, je suis Peter Doshi. Pour m’identifier, je suis membre de la faculté de l’Université du Maryland et rédacteur au British Medical Journal. Je n’ai pas de conflits d’intérêts pertinents, et les commentaires d’aujourd’hui sont les miens.

À l’école de pharmacie, j’enseigne un cours obligatoire sur l’évaluation critique de la littérature médicale.

Nous apprenons aux étudiants à aller au-delà du résumé d’une étude, et à commencer à décortiquer et évaluer de manière critique les études biomédicales, sans se contenter de les prendre pour argent comptant.

Je veux utiliser mes cinq minutes ici pour exploiter cet esprit de pensée critique.

Je suis attristé par le fait que notre société soit actuellement saturée par l’attitude du « tout le monde sait que…« , qui a fermé la curiosité intellectuelle et conduit à l’autocensure.

Permettez-moi donc de commencer par quelques exemples de « tout le monde sait que… » dont je ne suis pas sûr que nous devions être si sûrs :

  • Tout le monde sait… qu‘il s’agit d’une pandémie de personnes non vaccinées.
    Mais si les hospitalisations et les décès se produisaient presque exclusivement chez les non-vaccinés, pourquoi la troisième dose serait-elle nécessaire ? Ou pourquoi les statistiques seraient-elles si différentes au Royaume-Uni, où la plupart des hospitalisations et des décès dus au Covid concernent des personnes entièrement vaccinées (…) ? Il y a là un décalage. Il y a de quoi être curieux. Il y a quelque chose qui ne colle pas, et nous devrions tous nous demander s’il est vrai qu’il s’agit d’une pandémie de personnes non vaccinées. Qu’est-ce que cela signifie ?

Des injections efficaces pour sauver des vies ?

  • Tout le monde sait que… les vaccins anti-Covid sauvent des vies.
    En fait, nous le savons depuis le début de 2021. Les essais cliniques ont prouvé que c’était le cas, comme vous pouvez le voir ici dans la citation d’un article paru en février dans le Journal of the American Medical Association.Mais est-ce vrai ? Lorsque cette déclaration d’éminents responsables de la santé publique a été rédigée, il n’y avait eu qu’un seul décès parmi les 70’000 participants aux essais de Pfizer et Moderna.

Aujourd’hui, nous disposons de plus de données et vous pouvez constater que le nombre de décès était similaire dans les groupes vaccin et placebo. Les essais n’ont pas montré une réduction des décès. Même pour les décès dus au Covid par opposition à d’autres causes, les preuves sont minces, avec seulement deux décès dans le groupe placebo contre un dans le groupe vaccin. Je ne veux pas dire que je connais la vérité sur ce que le vaccin peut ou ne peut pas faire. Ce que je veux dire, c’est que ceux qui prétendent que les essais ont montré que les vaccins étaient très efficaces pour sauver des vies ont tort. Les essais n’ont pas démontré cela.

Une grande partie de la population mondiale répond à la définition d’antivaxx 

  • Maintenant, parlons des « anti-vaxx ».Tout le monde sait que… vous devez ignorer ce que les anti-vaxx ont à dire. Mais que signifie ce terme ?Le dictionnaire Merriam-Webster le définit comme « une personne qui s’oppose à l’utilisation des vaccins ou aux réglementations rendant la vaccination obligatoire« .Je m’attendais à la première partie de la définition. La deuxième partie m’a stupéfait.
    Il existe des pays entiers, du Royaume-Uni au Japon, qui n’imposent pas la vaccination des enfants. Ces deux pays atteignent des niveaux élevés de vaccination, mais pas par le biais de règlements rendant les vaccins obligatoires. Il n’y a pas d’obligation là-bas. Et je parierais qu’une grande minorité, peut-être une majorité, de la population mondiale, répond à la définition d’anti-vaxx.

Les « vaccins » à ARNm sont-ils bien des vaccins ?

Je fais partie des universitaires qui soutiennent que ces produits à ARNm, que tout le monde appelle des vaccins, sont qualitativement différents des vaccins classiques.

J’ai donc trouvé fascinant d’apprendre que Merriam-Webster avait modifié sa définition du terme « vaccin » au début de l’année.

Les produits à ARNm ne correspondaient pas à la définition du terme « vaccin » en vigueur depuis 15 ans chez Merriam-Webster. Mais la définition a été élargie de sorte que les produits à ARNm sont désormais des vaccins.

Je souligne ceci pour poser une question : que penseriez-vous de rendre obligatoires les vaccins COVID si nous ne les appelions pas des vaccins ? Et si ces injections étaient plutôt appelées médicaments ?

Voici donc le scénario :

Nous avons ce médicament, et nous avons la preuve qu’il ne prévient pas l’infection, ni n’arrête la transmission virale.

Mais le médicament est censé réduire votre risque de devenir très malade et de mourir du COVID.

Prendriez-vous une dose de ce médicament tous les six mois environ pour le reste de votre vie, si c’est ce qu’il faut pour que le médicament reste efficace ? Ne vous contenteriez-vous pas de prendre ce médicament vous-même, mais soutiendriez-vous les règlements exigeant que tous ceux qui vous entourent prennent ce médicament ?

Ou diriez-vous, « Attendez une seconde… » Peut-être diriez-vous que si c’est là toute l’utilité de ce médicament, pourquoi ne pas utiliser un médicament normal à la place ? Ceux qu’on prend quand on est malade et qu’on veut guérir. Et pourquoi exigeriez-vous l’imposition forcée à tout le monde de ce médicament ?

Le fait est que ce n’est pas parce que nous appelons cela un vaccin que nous devons supposer que ces nouveaux produits sont identiques à tous les autres vaccins pour enfants rendus obligatoires.

Chaque produit est un produit différent. Et si les gens sont d’accord pour « rendre obligatoire quelque chose simplement parce que c’est un vaccin et que nous rendons obligatoires d’autres vaccins, alors pourquoi ne devrions-nous pas rendre celui-ci obligatoire ? »… alors je pense qu’il est temps d’injecter un peu de pensée critique dans cette conversation.

Et j’espère que c’est ce que nous faisons aujourd’hui. Merci.

Source : https://www.covidhub.ch/pfizer-contre-pfizer-la-derniere-etude-est-frauduleuse/

Source : Résistance mondiale

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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