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Campagne de dons Octobre 2021
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par Sébastien Renault.
Avec l’avancée de la « culture de l’annulation » (du déni de la réalité) axée sur le « signalement vertueux » (moyennant les plateformes numériques de la grande théâtralité narcissique universelle), la réappropriation génétique et genrée du discours et des objectifs politiques, et le sous-bassement philosophique orientant le plus grand nombre des études universitaires dans les voies de la « post-vérité », la surdétermination sémantique de la pensée dite aujourd’hui « admissible » (politiquement autorisée) nous oblige à faire l’effort d’en sortir autant que possible, pour nous efforcer de redonner à la pensée sa liberté première, d’essence d’abord rationnelle.
Exercice en réalité assez difficile, puisqu’on ne peut l’accomplir en prétendant s’affranchir du cadre linguistique inhérent à la pensée elle-même. En effet celle-ci, même lorsqu’elle se dit à elle-même, doit encore se dire effectivement, et implique donc déjà une certaine forme de langage, de verbe réflecteur de la pensée elle-même, médiateur en quelque sorte imitatif de celle-ci, la pensée fournissant le point d’appui exemplatif premier de celui-là.
La manipulation du langage et des concepts qu’il véhicule comme moyen de prise de contrôle sur la conception, l’orientation et l’élaboration des décisions politiques (celles donc qui affectent l’organisation et la régulation des affaires de la cité des hommes, au sens propre du terme grec sous-jacent de πόλις) est au cœur de la problématique programmative qui caractérise notre situation contemporaine, en proie à la normalisation du sanitarisme élitaire covidien et aux différentes tendances de la guerre culturelle ambiante qui se joue d’abord, à de nombreux égards, sur le terrain lexicologique. L’enjeu est ainsi clairement indiqué par l’importance qu’il faut accorder à chaque choix terminologique que nous posons pour donner un relief linguistique intelligible, c’est-à-dire d’abord rationnel, à la pensée que nous entendons par là véhiculer.
Le spectre politicien au sein duquel se décline la pensée démocratique contemporaine (se voulant toujours la norme centrale du progressisme indépassable) se réduit en substance aux enjeux dictés par la globalisation libérale et financière et par l’identitarisme communautariste. L’objectivisme structurel transpolaire (la dogmatique néolibérale tant gauchiste que droitiste) et le subjectivisme fractionniste victimaire y sont ainsi subsumés, pour mieux délimiter les frontières épistémiques et linguistiques de la narrativité jouissant aujourd’hui du pouvoir sans partage.
Au gré des pièges sémantiques, la révision subreptice de définitions comme celles du « racisme » et du « fascisme », en vue de faire accepter un argumentaire bien précis, participe de la réduction susmentionnée – celle du lien intime entre néolibéralisme, capitalisme mondialiste financier, et impératif identitaire victimaire.
C’est dans le contexte de cette réduction unificatrice que l’effort ultra-libéral de ré-imagination du réel à l’image d’aspirations sociales antidogmatiques aboutit en définitive au dogmatisme libéral qui règne aujourd’hui en maître sur la pensée bienpensante ambiante.
On remarquera, ce que nous abordons en deuxième partie de ce texte, que l’instauration aujourd’hui d’un régime de sanitarisation sans frein de la société participe du même effort de ré-imagination du réel à contre-courant de la raison, cette fois sur la base d’aspiration bio-sécuritaires totalitaires, au nom de la « protection de tous ». Le conditionnement infantilisant de la population à la servitude hygiéniste participative ne constitue dès lors ni un progrès moral vers la « liberté responsable » (de tout sacrifier au dieu santé, y compris la liberté elle-même), ni quelque solution réelle à une menace virale aujourd’hui relativement négligeable. La saine rationalité ne dicte-t-elle pas que les mesures de défense doivent être proportionnées à la réalité du danger ?
L’établissement d’une société de domestication hygiénique a voulu se légitimer sur la base d’un logiciel narratif entièrement piloté par l’administration étatique et la technostructure médico-sanitaire. La règle macronienne stipule, en conséquence, de diviser la population en deux camps : les fidèles (ceux qui obtempèrent pour jouer le jeu, avec ou sans conviction, de la domestication hygiénique) et les excommuniés (ceux qui réprouvent ce domptage étatique infligé à coups de pass sanitaire et d’injections géniques). La domestication reste pour autant une gageure, puisque les efforts liberticides de l’État total ne portent pas les fruits escomptés, au vu de l’étendue réelle des forces de résistance à l’œuvre à travers le territoire français – l’occasion, par ce texte, de saluer tous ceux et celles qui contribuent, au prix souvent très lourd de sacrifices personnels, à toutes les actions de riposte rationnelle et paisible à ce désordre discrétionnaire sans précédent.
Le contenu du programme en place n’est en aucun cas quelque chose de mystérieux : contrôler et injecter pour mieux imposer le règne de la redéfinition du réel sanitaire. L’idéologie hygiéniste covidique, comme l’idéologie raciale anti-suprémaciste, sont deux faces « antidiscriminatoires » d’un même pouvoir mentalement hégémonique s’exerçant sur la base de la manipulation médiatique, de la discordance accusatoire (par violence de nature auto-contradictoire), et de la révocation sémantique de la vérité objective. En raisonnant contre la raison, il impose une confusion autobloquante et souvent culpabilisatrice chez ses victimes plus ou moins disposées à être induites en erreur et manipulées, par paresse intellectuelle et frilosité morale.
Il y a bien, dans les deux cas, prétention prométhéenne de redéfinition du réel, racial et sanitaire, au profit d’une idéologie et d’une mystique mondialiste d’aspiration transhumaine et pan-hygiénique. La menace d’une épidémie n’est dès lors plus déterminée par les données factuelles du réel empirique apolitique, mais bien par les mesures politiques de prévention et de contrôle imposées par le pouvoir étatique. De même, la menace raciale exercée par les populations blanches et la toxicité masculine homophobe n’est plus aujourd’hui déterminée par l’objectivité de faits sociétaux proprement attestés, mais bien par un agenda trans-racial et transsexuel des plus immondes, visant au remodelage artificiel de la nature et de la société humaines.
Congédier la raison « suprémaciste » : vers la « Grande narrative »
Le problème fondamental qui semble sous-tendre le pouvoir envahissant de ce libéralisme auto-contradictoire est celui dont parle E. M. Jones en termes de « rébellion contre le Logos ». La raison humaine, qui par la syndérèse dispose et meut l’âme dans son activité spéculative et pratique, reflète par similitude ce Logos en tant que « règle » intérieure – base axiomatique de la pensée et de l’agir librement conformes à une finalité rationnelle. Les forces contraires au Logos pourraient être caractérisées, aujourd’hui comme hier, par ce que les penseurs médiévaux qualifiaient de « répugnant à la nature de l’être » (aliquid repugnat rationi entis), en ce que ces tendances suivent la contre-logique de la subjectivité révolutionnaire exacerbée, source d’aberrations et de finalités contrenatures (en cela « répugnantes à la nature de l’être »). […]
|…] Manichéisme fonctionnel : le mode de penser covidien
L’extension débridée de l’emprise étatique et technocratique sur la société au moyen de la crise sanitaire n’est certes plus à démontrer, tant le cauchemar est aujourd’hui solidement implanté au sein des populations et prédominant sur le plan pratique et psychologique. À l’heure où nous rédigeons ces lignes, il n’est pas question de la part du gouvernement français de mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire et à toutes les dérives auxquelles donne lieu le maintien de ce régime démesuré, au regard d’une épidémie pourtant inexistante. Non qu’il n’y ait pas de virus, désigné sous le nom de SARS-CoV-2. Mais il faut être maintenu sous hypnose, ou simplement prêt à accepter une contrevérité amplement documentée pour continuer à prétendre que nous sommes confrontés à une épidémie au sens propre et technique de ce terme. Cela est tout simplement faux.
Les « parias » qui résistent encore à l’injection mondialiste, dont nous sommes et serons toujours, ont été tournés en ridicule et conspués comme les pires dangers publics depuis le début de l’enivrement « vaccinal » au service de l’entérinement du doctrinarisme sanitaire d’État, parce que nous désavouons la narrativité des pouvoirs propagandistes et plaidons pour la raison, ses principes, son universalité, etc.
Ce qui perdure malheureusement, au-delà même de ce spectacle consternant d’une France livrée à l’incompétence affichée et au mépris de ses dirigeants revendiquant l’apanage de la raison, c’est le mode de penser covidien. Force est de constater que l’injection obligée (moyennant le sophisme grossier d’une intimidation morale pourtant inepte) et la généralisation du traçage des Français sont maintenant entrées dans les mœurs d’un grand nombre (sans minimiser ici la réalité et le courage, éprouvé dans la durée, des foules d’insoumis manifestant depuis plusieurs mois dans les rues de la France tous les samedis), pour implémenter en outre un dressage de la pensée, sur le modèle de ce que nous avons décrit en première partie de ce texte.
L’instauration du mode de penser covidien repose simplement sur une division de l’univers politico-social français en deux camps de citoyens : il y a ici les personnes qui se conforment, et là-bas celles qui ne le font pas ; les personnes vaccinées et les antivaccins. La prémisse tacticienne de ce manichéisme rudimentaire tient, non dans le fait de la division elle-même, mais dans celui de revendiquer, presque de pétitionner – ne serait-ce qu’implicitement, en jouant considérablement sur le pouvoir de l’émotionnel – l’injection pour tous (comme pour magiquement récuser l’existence de la fracture déclenchée par la division intentionnelle susmentionnée) pour mieux consacrer un règne visant à sa prolongation prochaine sur la base du protectionnisme sanitaire (un hygiénisme politique psycho-mental qui peut se prévaloir d’une emprise subconsciente, presque occulte, sur les masses en cela doublement inoculées).
Pourquoi faire reposer cet objectif sur une manœuvre a priori si désespérée, voire même complètement suicidaire ? N’oublions pas que les mesures politiques de préventions coercitives du modèle français de gestion de la crise Covid ont largement révélé l’an dernier l’étendue de la faillite sur laquelle n’a cessé de présider un Macron arrogant, tartufe et réprimeur. État de choses copieusement confirmé en 2021. Mais à ses propres yeux, Macron le pervers narcissique ne peut s’empêcher d’assumer et de revendiquer le rôle de sauveteur de la nation, quels que soient ses succès réels en tant que chef de l’État depuis 2017.
C’est comme si plus l’homme se dévoilait, plus la lumière se faisait sur le mensonge qu’est Macron lui-même, et plus il croyait et embrassait lui-même ce mensonge pour le voir finalement, comme par magie, encore davantage consacré (à ses propres yeux comme aux yeux de ceux qui participent activement à ce mensonge, à commencer par « Brigitte »). D’où le côté et les ramifications occultes d’un tel phénomène, nous semble-t-il.
D’où, également, le phénomène particulier de mégalomanie macronienne, complexe paternaliste mal contrôlé, mais nécessaire à l’exercice d’un pouvoir ordonné à replacer la France et les Français sous l’égide toujours plus inclusive de l’État providence.
La nouvelle dimension covidique, qui englobe et conditionne toutes les autres dimensions de la vie depuis mars 2020, correspond bien à la manière césariste de penser et d’opérer de l’esprit macronien. Le directivisme sans regrets de l’ancien banquier d’affaires rothschildien se trouve ici conforté, par l’entremise d’une crise qui favorise à dessein, depuis le départ, le bâillonnement des libertés les plus fondamentales. Macron aime à l’asséner : « Quoi qu’il en coûte ! ». Certes, l’ancien bankster en sait quelque chose. Et l’autoritarisme politique consubstantiel au macronisme toujours en marche n’en déroge pas, pour motiver et consacrer, « quoi qu’il en coûte », toutes les dérives autocratiques qu’il estime justifiables pour raison d’état d’urgence sanitaire.
Ce pourquoi l’antilibéralisme macronien rime au demeurant si bien avec l’antiviralisme de son programme sanitaire acharné. Le centralisme bureaucratique y règne en maître de cérémonie, pour protéger la mise en œuvre toujours plus autocratique de raisonnements liberticides autojustifiés. L’accaparement de la « raison scientifique » vient couronner l’auto-bénédiction de l’État providence tel que personnifié par la figure de Macron lui-même, flanqué de son Conseil constitutionnel, de son Conseil d’État, et même de son « Conseil scientifique ».
La méthode Macron, c’est la méthode de l’état d’exception indéfini, de la marche vers le prolongement sans fin du passe sanitaire, vers l’incitation accentuée à faire goûter la piqûre mondialiste aux « obscurantistes » récalcitrants non-vaccinés, quand bien même la pandémie ne constitue plus une menace véritable. C’est la méthode liberticide décomplexée d’un homme se gargarisant simultanément des Droits de l’Homme et du Citoyen, dont il se considère comme le plus grand garant (ce qui serait certes la prérogative de son état présidentiel).
Le cas Macron illustre donc à lui seul le propos de notre texte : partant à la défense des valeurs des démocraties libérales, au moins en paroles, le président de la République française ne craint pas la chute dans le dirigisme sanitaire infantilisant pour circonscrire les libertés publiques de son peuple, quand bon lui semble. Macron le dirigeant pragmatique et chantre fervent des Lumières rationalistes ne craint pas plus la chute régulière dans l’irrationalisme sanitaire. Certes, « Lumières » et « liberté » sont deux maîtres mots du credo macronien. Et pourtant… Tel est l’esprit de contradiction reptilien de ces esprits rompus à la duplicité impudente.
Comme le covidisme, le macronisme n’est qu’un produit entièrement politique de sélection oligarchique. Mais, comme le covidisme encore, il est à craindre qu’il persistera, au-delà de ce premier et navrant quinquennat…
Conclusion : une nouvelle rationalité pour un « homme » nouveau
La foi en la raison, fondement et instrument de la pensée dite « libérale », a donné naissance à l’humanisme au nom duquel tant d’inhumanités ont été commises depuis la Révolution française jusqu’à aujourd’hui. La Révolution organisée et menée contre l’influence du Logos est encore d’un autre ordre, en ce qu’elle ne cherche pas les « Lumières » de l’hubris rationaliste, qu’elle suppose déjà, de droit, en sa possession. Il s’agit aujourd’hui d’aller beaucoup plus loin, de donner naissance à un nouveau « Discours », à une nouvelle « Parole » de « création » visant à légitimer un nouveau « Logos » opérant contre la raison connaturelle à la nature humaine.
Le mondialisme, compris ici comme ce nouveau « Logos » fondateur de sens alternatif et d’organisation subversive du monde, incorpore en lui-même les mécanismes fondamentaux du socialisme et du capitalisme. C’est lui, « Principe » régulateur nouveau, qui prescrit les règles de la gouvernance mondiale, c’est-à-dire de la gestion centralisée et du contrôle législatif, politique et monétaire sur des fondements supranationaux. De lui sort donc la nouvelle société universelle, celle de l’assimilation de la culture, de la politique et du marché économique sans frontières. Ce « Logos » ne différencie plus, il assimile, pour imposer une uniformité de pensée et de comportement (une « Grande narrative ») à travers tout son empire.
Le phénomène du multiculturalisme manifeste cette unification programmative vers ce que nous avons appelé ici le « trans-homme », l’homme qui passe l’homme sans l’homme, notamment au moyen du façonnement d’hommes génétiquement modifiés, transsexualisés et trans-raciaux.
Pour parvenir à normaliser effectivement l’idéologie du multiculturalisme, il était nécessaire au « Logos » mondialisant de définir une « nouvelle moralité », un système de valeurs et de croyances dérivées des principes de l’hégémonie culturelle progressiste. En pratique, ce système repose sur ce que nous avons appelé ici, comme dans d’autres textes, l’opinionisme.
Ayant accepté cet outil d’oppression et de confusion intellectuelle pour faire de la « justice sociale » au nom d’enjeux politiques identitaires, on finit sans tarder par s’enfoncer dans ses contradictions internes inéluctables. Et tel est le propre du mode de penser (covidien et autres) imposé aujourd’hui par la tyrannie du politiquement correct au service du « Logos » de l’indifférenciation mondialiste : la soumission servile à la classe dirigeante.
Or la conformation de la population au programme de la « Grande narrative » des utopistes de la « Grande remise à zéro » ne signifie rien d’autre que la fin de la civilisation telle qu’elle repose sur les critères du Logos à proprement parler – la mise à mort du « monde d’avant » pour forger, moyennant le « Logos » révolutionnaire de l’inversion systématique (proprement luciférienne), une nouvelle réalité (historique, raciale, sanitaire) reposant sur les critères de l’antiracisme, de LGBT-isme, de la reproduction artificielle (contrôlée de manière techno-scientifique), de l’environnementalisme post-industriel, et de l’hygiénisme totalitaire.
C’est cette fausse rationalité, destinée à guider l’ « homme » nouveau jusqu’aux fonds des enfers de l’hubris et de l’absurde, que nous rejetons de toutes nos forces.
Demeure sauve, à contrario, la vraie et pérenne rationalité, prenant une part active et libre dans tout acte authentiquement humain de connaissance et d’affinité harmonieuse aux « raisons exemplaires » (rationes exemplares), dirait un saint Bonaventure. En effet, la ressemblance exemplaire par laquelle les formes intelligibles et sensibles du monde expriment leurs natures respectives se rapporte, en dernière instance, à l’essence divine elle-même, qui est une avec le Logos véritable. Là réside la liberté ultime de l’esprit proprement rationnel, à savoir dans son adhésion cognitive à la règle de « l’Art suprême en tant que lumière et vérité ».
« Haec autem portio superior est illa, in qua est imago Dei, quae et aeternis regulis inhaerescit et per eas quidquid definit certitudinaliter iudicat et definit ; et hoc competit ei, in quantum est imago Dei ».
C’est ce que dira lui aussi, à sa manière, le poète Rilke, en ces termes :
« “Le sentiment que l’on est créateur” […] [donc libre] n’est rien sans cette confirmation perpétuelle et universelle du monde, sans l’approbation mille fois répétée des choses et des animaux […] Dans le profond tout est loi [règle, logos] ».
Puis, en référence à Dieu, que l’on attend – comme un enfant – dans l’acte de s’unir le réel en état de donation gratuite (dans l’acte de connaissance du monde où se manifeste, pour l’intelligence, la trace de son Créateur) :
« Le moins que nous puissions faire, c’est de ne pas plus Lui résister que ne résiste la Terre au Printemps, quand il vient ».
source : https://plumenclume.org
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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