Suivi de l’essai clinique de Pfizer à six mois : sûr et efficace ?

Suivi de l’essai clinique de Pfizer à six mois : sûr et efficace ?
“Prévenons tout de suite les « factcheckers » : ce sont ici les propres données de Pfizer, pas un avis personnel !”, l’auteur. © ALAIN JOCARD / AFP/Archives

TRIBUNE — Les malaises et arrêts cardiaques se multiplient dans le monde, mais les injections sont toujours hors de cause ! Pourtant, la propre étude de Pfizer à six mois, publiée le 28 juillet 2021 et sa version « revue par les pairs », publiée le 15 septembre 2021, passée complètement inaperçue, incrimine directement et clairement le vaccin Pfizer. (en version PDF).

Le laboratoire américain affirme dans son abstract et dans le résumé du texte principal ce que reprennent en boucle les khmers blancs sur les plateaux ainsi que le gouvernement et les autorités sanitaires : le vaccin est sûr, efficace et très bien toléré. Il est donc aujourd’hui quasiment impossible pour les familles des victimes de faire reconnaître leur statut et leur préjudice ou tout simplement de se faire entendre, car ce qui leur arrive est scandaleusement nié par le gouvernement et les autorités sanitaires.

Que dit cette étude de Pfizer sur le suivi de ses injections à six mois ? closevolume_off

Prévenons tout de suite les « factcheckers » : ce sont ici les propres données de Pfizer, pas un avis personnel !

Pour extraire les données importantes de ce suivi de l’essai clinique, il faut aller les chercher dans la partie « Appendix » dont les non-scientifiques, les incompétents médecins de plateaux ou encore les agences de santé ne connaissent même pas l’existence. Le texte principal ne contient que du blabla et des conclusions fausses ou d’importants mensonges par omission.

Dans la section Appendix, Table S4 p.11

Le suivi de l’essai clinique s’est donc fait sur un peu plus de 22 000 personnes dans les deux groupes vaccinés et placebo.

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Comme nous pouvons le voir, deux personnes sont décédées du Covid-19 dans le groupe placebo et un dans le groupe vacciné. Ils appellent cela « Covid-19 pneumonia » pour ne pas mettre seulement « Covid-19 » (formidable arnaque sémantique) ! Sur 22 000 personnes injectées, on empêche donc… une mort.

Statistiquement, ce vaccin n’empêche donc pas la mort par Covid-19, mais ce sont les seules données que nous ayons et qu’ils utilisent pour nous affirmer que le vaccin empêche les hospitalisations et la mort.

Il faut donc injecter 22 000 personnes pour éventuellement sauver une seule vie. Si les injections étaient sans aucun effet secondaire, pourquoi pas. Mais les effets secondaires dans le groupe vacciné sont énormes, faisant prendre des risques disproportionnés aux populations non à risque de faire une forme grave de la maladie.

Qu’en est-il de ces effets secondaires graves et de la mortalité induite par les injections ?

Combien de morts toutes causes dans ce tableau S4 ?

15 dans le groupe vacciné et 14 dans le groupe placebo qui n’apparaissent pas dans le texte principal ! À cela, il faut rajouter d’autres morts non rapportés dans ce tableau mais qui sont mentionnés dans le texte principal comme étant morts après qu’une partie du groupe placebo a été vaccinée. C’est vraiment la chasse au trésor.

Le suivi d’un essai clinique doit normalement se faire sans que les participants ne sachent s’ils ont reçu le traitement ou le placebo. Ne voulant pas garder de groupe placebo afin de couvrir les effets secondaires de ses injections, Pfizer a proposé aux personnes non-vaccinées de recevoir le vaccin début 2021, invoquant là des raisons éthiques. Une grosse partie du groupe placebo s’est donc vaccinée à cette date, durant la phase de suivi.

Résultat : une autre personne du groupe initialement vacciné est morte et deux fraîchement vaccinées qui étaient initialement dans le groupe placebo sont mortes également. Cela ramène donc à 20 le nombre de morts dans le groupe vacciné et 14 dans le groupe placebo.

Il y a donc plus de chance de mourir dans le groupe vacciné que dans le groupe non-vacciné.

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Pfizer ose affirmer que ces morts supplémentaires ne seraient pas liés à son vaccin. C’est un essai clinique, un suivi sur six mois. Tous les morts doivent y être répertoriés et surtout la cause de chaque décès doit en être précisée. Ils ne peuvent pas simplement faire disparaître ces informations capitales.

Résumé des morts :

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De quoi meurt-on dans le groupe vacciné Pfizer ?

Il y a surtout des décès en relation avec le système cardiovasculaire (quelle surprise !) et c’est ce que nous voyons en vie réelle depuis le début de la vaccination de masse. Une explosion des arrêts cardiaques et maladies cardiaques chez les jeunes.

Table S4 : Il y a eu quatre arrêts cardiaques dans le groupe vacciné contre un seul dans le groupe placebo.

Il y a donc quatre fois plus de chance de mourir d’une crise cardiaque dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo.

Il y a aussi beaucoup plus de morts par problèmes cardiaques dans le groupe « traité » mais peu dans le groupe contrôle : artériosclérose, arrêt cardiaque, insuffisance cardiaque, cardiopathie hypertensive, etc. Comment, avec ces données du suivi à six mois de l’étude de Pfizer, le ministre de la Santé, Olivier Véran, l’ANSM et les soi-disant médecins peuvent-ils encore nier les liens directs avec la vaccination ?

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Avec les données de ce tableau, il est donc impossible de démontrer un quelconque bénéfice de ces injections. Il vaut mieux être dans le groupe placebo que de se faire vacciner.

Résumé effets secondaires graves :

Pour cela, il faut regarder la table S3 « Adverse Event » dans la partie Appendix p.10 :

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Commençons par voir l’arnaque de ce suivi des effets secondaires. Le titre de l’étude stipule suivi sur six mois de la sécurité de ces injections. Pourtant regardez bien sous le tableau, ils ont arrêté le suivi après un mois seulement post-deuxième dose.

Un suivi sur six mois qui dure… un mois.

Pourquoi ?

Ont-ils remarqué une explosion des effets secondaires dans le groupe vacciné et ont-ils préféré cesser de les enregistrer ? Au bout d’un mois, il y avait déjà deux fois plus d’effets secondaires dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo ! Avoir arrêté le recensement des effets secondaires après un mois est une fraude, car ils violent le protocole initial. Ce qui était convenu, c’était bien un suivi de six mois, mais une fois de plus les autorités de régulation du médicament comme l’EMA ou la FDA ferment les yeux !

Après un mois : 13,9% d’effets secondaires dans le groupe placebo contre 30,2% dans le groupe vacciné. Ce qui fait plus du double !

Pour les effets secondaires graves mettant en jeu le pronostic vital, on est à 176 cas dans le groupe placebo et 283 dans le groupe vacciné, ce qui fait une augmentation de + 61% du risque d’hospitalisation.
Mais tout va bien : « Sûrs et efficaces » on vous dit !

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Cette étude ne montre donc absolument aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech.

Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé. Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces injections empêchent de mourir de la maladie, qu’elles sont sûres et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces injections ?

L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.

Un produit pareil en temps normal n’aurait jamais été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à six mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif ! En langage comptable, cela se nomme un déficit ou une perte dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…

De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice-risque est donc encore plus négative aujourd’hui.

En se basant sur les données du VAERS aux USA, Steve Kirsch est arrivé à la conclusion que dans la population des adolescents de 12-17 ans, pour sauver une vie de la maladie, c’est six ados en bonne santé qui meurent des injections Pfizer (Moderna n’étant pas approuvé pour les < 18 ans aux USA). Oui, vous avez bien lu !

Et c’est ce produit que certains politiques sans cervelle, comme certains sénateurs socialistes, veulent nous imposer via une obligation vaccinale dès la naissance ? Sans parler du gouvernement qui stigmatise en « évinçant » les ados et demain les enfants en leur imposant le pass de la honte pour forcer les parents à les vacciner tout en minimisant les effets cardiaques graves qu’ils subissent.

Ci-dessous, un résumé visuel de l’essai clinique depuis le début et du suivi à six mois : Pfizer a désormais vacciné tout le groupe contrôle. Il sera donc impossible de connaître les effets secondaires à moyen et long-terme comme l’apparition de cancers, de maladies auto-immunes ou neurodégénératives à prions dont les premiers signaux, pourtant commencent à être rapportés. Impossible aussi de prouver les ADE dont les vaccinés commencent pourtant à mourir.

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Tout ceci pose bien sûr la question de la sincérité de Pfizer dans toute cette affaire et la véracité des données de cet essai clinique.

Comme nous le disions, ce qui ressort de ce suivi à « six mois » ce sont les morts dues à des problèmes cardiaques dont quatre fois plus de crises cardiaques dans le groupe vacciné.

Toutefois, le chiffre de quatre crises cardiaques semble faible pour 22 000 injectés. Ceci est juste impossible aux USA, pays dans lequel s’est déroulé l’essai et voilà pourquoi :

Aux USA, le CDC rapporte chaque année en moyenne 659 000 morts d’arrêts cardiaques sur une population de 328 000 000.

Donc ramené à 22 000 participants dans cet essai clinique sur une période de 6 mois (la durée du suivi total) on aurait dû avoir 659 000/328 000 000 * 22 000 * 0,5 = 22 crises cardiaques dans chaque groupe (autour de 20) mais il n’en est rien.

Comment Pfizer arrive-t-il à ne trouver que quatre cas dans le groupe vacciné et un cas dans le groupe placebo dans son essai clinique ? Aucune chance que cela arrive par hasard. Quelqu’un a forcément joué avec les données pour arriver à ces chiffres aussi bas. Pourquoi personne n’a fait ce calcul de base en étudiant les données de l’essai clinique, ou ne serait-ce que poser la question ? Ces données ont forcément été bidonnées pour minimiser la prévalence de problèmes cardiaques dans le groupe traité. Qu’est ce qui a donc aussi été caché, modifié ?

Le professeur Peter Doshi et Steve Kirsch avaient déjà alerté sur le nombre important de personnes ayant été écartées du groupe vacciné pour cause inconnues sans qu’aucune investigation n’a été demandée par la FDA ou l’EMA. De bien belles violations du protocole clinique sans aucune conséquence.

Pfizer a rendu également très difficile la remontée d’effets secondaires et beaucoup ont été ignorés, car le laboratoire les a considérés comme n’étant pas liés aux injections alors que ce n’est pas à eux de décider de cela. Ceci est une autre violation du protocole !

De son côté, Facebook a effacé toutes les pages de témoignages de personnes vaccinées victimes d’effets secondaires graves, qui voulaient simplement témoigner de leur calvaire et demander de l’aide. Facebook a donc contribué à effacer toutes les preuves de cette fraude de Pfizer permettant ainsi la validation de ces produits qui deviennent quasiment obligatoires pour des millions de personnes qui n’en ont pas besoin.

Par exemple, la jeune Maddie De Garay, 12 ans, exclue de l’essai Pfizer « 12-15 ans » après avoir développé une paralysie généralisée permanente. Son cas n’a pas été répertorié par Pfizer qui considère que ce n’était pas lié à son produit !

En juillet 2021, le sénateur Ron Johnson a écrit aux PDG de Pfizer et Moderna pour leur demander comment ils comptaient prendre en charge les personnes victimes de leurs injections. À ce jour, il dit n’avoir reçu aucune réponse !

Rappelons ici que Moderna n’a jamais mis aucun produit sur le marché avant ces produits géniques expérimentaux et que Pfizer est la Big Pharma qui cumule le plus de procès et de records d’amendes versées pour les fraudes qu’ils commettent impunément depuis des décennies.

Alors pourquoi les autorités sanitaires ferment-elles les yeux ? Peut-être parce que les directeurs de ces agences passent ensuite dans les conseils d’administrations de ces mêmes firmes.

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Pour finir une question aux juristes qui liront cet article :

L’indication du vaccin Comirnaty de Pfizer est d’immuniser les personnes qui le reçoivent et donc d’empêcher la maladie Covid-19.

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Cf. site de l’Agence national de sécurité du médicament.

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Nous savons que ceci est faux : ce produit n’empêche ni l’infection, ni la maladie, ni l’hospitalisation, ni la mort. Au mieux, il diminue pour certains le risque de faire une forme grave de la maladie.

Ce produit ne remplit donc pas le rôle pour lequel il a été approuvé et ne peut pas prétendre à la nomenclature « vaccin ».

Avec les injections de rappel qui semblent se profiler tous les six mois, on ne peut parler au mieux que de traitement chronique par injection.

Par conséquent, peut-on encore imposer ces produits avec cette indication qui est fausse et sous l’appellation de « vaccin » ?

Peut-on encore exclure de la société des millions de citoyens français en imposant le pass de la honte pour les forcer à s’injecter ?

Rappel :

Les taux de survie sans traitement par classe d’âge :

Ou les taux de mortalité sans traitement par classe d’âge, qui sont plus parlants :

Cet article est tiré d’un fil Twitter de Marceau_2020.

Auteur(s): Le collectif citoyen, pour FranceSoir

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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