Par Douglas Farrow – Photo : SvetlozarHristov/Pixabay
7 octobre 2021 (Edward Pentin) – Le professeur Douglas Farrow écrit que « la santé et l’environnement » est la nouvelle idéologie « du sang et du sol », soutenue par des signes de l’ancienne violence.
L’ouvrage The World at War [Le monde en guerre] de Jeremy Isaacs comprend une interview dans laquelle la secrétaire personnelle d’Hitler, Traudl Junge, rapporte que le Führer, dans ses derniers jours, a répondu comme suit à une question sur l’avenir de l’Allemagne : « Je crois qu’il n’y aura plus de parti national-socialiste; l’idée mourra avec moi. Mais peut-être qu’il y aura, dans une centaine d’années, une autre idée nationale-socialiste, comme une religion ». [1]
Cela ne fait pas encore cent ans, mais je commence à voir ce qu’Hitler voulait dire. Du Pacifique Sud à l’Atlantique Nord, même des pays démocratiques comme l’Australie et le Canada sont en train de basculer rapidement dans le nazisme. [2] Nous vivons depuis dix-huit mois maintenant sous un régime d’« urgence sanitaire » dans laquelle la règle du décret a remplacé la règle de droit. En Australie, des balles en caoutchouc sont tirées pour réprimer la résistance à ce perpétuel état d’exception. Dans ces deux pays, ainsi qu’en Amérique, des camps d’isolement sont construits à la poursuite du fantasme COVID-zéro (« Un seul est un de trop ») ou, plus exactement, du complot COVID-zéro. [3]
Qui savait que les droits constitutionnels pouvaient être suspendus pour une période aussi longue et indéfinie, avec un renouvellement régulier des pouvoirs d’urgence par les personnes mêmes qui les exercent? Qui savait que cela pouvait se faire au nom de la santé et de la sécurité, alors que les personnes qui meurent à cause des mesures spéciales sont plus nombreuses que celles qui meurent à cause de la menace sanitaire qui les requiert prétendument? Qui savait que pour « protéger » les soins de santé, le gouvernement pouvait en annuler une grande partie ou en rendre l’accès difficile; construire et doter en personnel des camps de quarantaine au lieu d’hôpitaux, alors que ni les uns ni les autres ne sont nécessaires; imposer des mandats coercitifs qui violent les principes les plus fondamentaux du Code de Nuremberg; licencier les médecins et les travailleurs de la santé qui s’opposent aux tactiques malhonnêtes et osent dénoncer les mensonges du gouvernement?
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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